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États-Unis

Le Premier ministre britannique Starmer sera reçu par Biden le 13 septembre

Le Premier ministre britannique Keir Starmer prend la parole lors d'une visite à la mosquée The Hub - Solihull à Solihull, dans les West Midlands, le 8 août 2024.

Le Premier ministre britannique Keir Starmer prend la parole lors d'une visite à la mosquée The Hub - Solihull à Solihull, dans les West Midlands, le 8 août 2024. - Joe Giddens / POOL / AFP

Ils discuteront entre autres du "soutien solide à l'Ukraine" et de la volonté d'arriver à une trêve à Gaza, ainsi que de la coopération pour "sécuriser les chaînes d'approvisionnement" et "améliorer la résistance au changement climatique", a indiqué Karine Jean-Pierre, porte-parole de l'exécutif américain.

Le Premier ministre britannique Keir Starmer sera reçu le 13 septembre par le président américain Joe Biden, a annoncé ce vendredi 6 septembre la Maison Blanche, au moment où les postures des Etats-Unis et du Royaume-Uni face à Israël divergent.

Ils discuteront entre autres du "soutien solide à l'Ukraine" et de la volonté d'arriver à une trêve à Gaza, ainsi que de la coopération pour "sécuriser les chaînes d'approvisionnement" et "améliorer la résistance au changement climatique", a indiqué Karine Jean-Pierre, porte-parole de l'exécutif américain.

Elle a également affirmé que Joe Biden entendait "continuer à renforcer la relation spéciale" entre les deux alliés.

Suspension d'une trentaine de licences d'exportation d'armes

Londres a annoncé lundi suspendre une trentaine de licences d'exportation d'armes à Israël sur un total de 350, en évoquant un "risque" qu'elles soient utilisées en violation du droit international à Gaza. Le ministre de la Défense israélien, Yoav Gallant s'est dit "profondément déçu".

Faut-il craindre une attaque iranienne "significative" contre Israël?
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Le porte-parole du Conseil national de sécurité américain John Kirby avait lui déclaré qu'"au moment où nous parlons, les Etats-Unis n'ont pas établi qu'(Israël) avait violé le droit international humanitaire", et qu'il n'y avait donc pas de raison pour Washington de remettre en cause son soutien militaire

C.Bo. avec AFP