"Un deuxième George Washington": Stallone se dit "admiratif" de Trump, un "personnage mythique"

Une comparaison coup de poing. Plus d'une semaine après son succès triomphal lors des élections présidentielles américaines, Donald Trump multiplie les prises de parole en parallèle de la constitution de sa nouvelle administration, qui l'accompagnera à partir de son intronisation officielle prévue le 20 janvier prochain.
Jeudi 14 novembre, lors d'un gala dans son fief de Mar-a-Lago à Palm Beach en Floride, il s'est félicité de ses propres nominations fracassantes à la Santé, la Justice, la Défense et à une commission pour l'"efficacité gouvernementale" confiée à Elon Musk.
"Admiratif"
Avant son discours, plusieurs personnalités ont pris la parole, dont le président argentin Javier Milei, mais aussi l'acteur Sylvester Stallone, qui n'a eu de cesse d'encenser le nouveau locataire de la Maison Blanche.
"Nous sommes en présence d’un personnage vraiment mythique. J’adore la mythologie. Personne au monde n’aurait pu faire ce qu’il a fait, je suis donc admiratif", a-t-il commencé.
Puis, l'interprète de Rocky et de Rambo s'est risqué à une comparaison historique:
"Je dirai juste ceci et le pense vraiment. Lorsque George Washington a défendu son pays, il ne se doutait pas qu’il allait changer le monde, car sans lui, vous pouvez imaginer à quoi ressemblerait le monde. Devinez quoi, nous avons le deuxième George Washington, félicitations!", a-t-il lancé, devant une foule conquise.
La star a ensuite accueilli le président élu sur scène et les deux hommes se sont salués lors d'une étreinte.
Photomontage
L'admiration et l'amitié entre Trump et Stallone semble réciproque. En novembre 2019, alors qu'il était en fin de premier mandat comme président des États-Unis, Donald Trump avait publié sur X (alors appelé Twitter) un photomontage montrant sa tête sur le corps de l'acteur à l'époque où il interprétait le boxeur au cinéma.
Selon certains observateurs, il s'agissait d'une réponse à des critiques concernant son état de santé.
Jeudi lors de son discours tenu en Floride, Donald Trump a également demandé que son deuxième mandat "commence le 5 novembre (date de sa victoire, NDLR) parce que les marchés ont (depuis) crevé les plafonds et l'enthousiasme a redoublé".