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Aube: Élise Berlemont retrouvée saine et sauve, deux mois après sa disparition à Joncreuil

La jeune femme de 30 ans a disparu pendant deux mois (photo d'illustration).

La jeune femme de 30 ans a disparu pendant deux mois (photo d'illustration). - JULIEN DE ROSA / AFP

La femme de 30 ans a été retrouvée mardi 9 septembre en bonne santé, deux mois après avoir disparu. D'après les autorités, sa disparition relève d'un "acte volontaire".

La femme de 30 ans est saine et sauve. Élise Berlemont, une habitante de Joncreuil (Aube), a finalement été retrouvée mardi 9 septembre après deux mois de disparition, a annoncé L'Est Eclair.

D'après le journal local, la trentenaire a contacté ses parents via des commentaires Facebook, avant de les appeler. Les autorités considèrent que sa disparition est "un acte volontaire".

D'importants moyens de recherche

Élise Berlemont, née à Provins (Seine-et-Marne), avait disparu au début du mois de juillet après avoir quitté son domicile familial à pied. L'inquiétude a rapidement gagné ses proches, car la trentenaire s'est volatilisée sans téléphone, sans argent et sans vêtements.

Un appel à témoins avait été lancé le lendemain, le 5 juillet, par la gendarmerie nationale pour "disparition inquiétante".

Durant l'été, les autorités ont engagé de nombreux moyens pour la retrouver. Divers bâtiments de la commune de Joncreuil, notamment des granges et maisons à vendre, ont été passés au peigne fin.

D'importants moyens de recherche déployés

Des agents ont également été mobilisés pour réaliser des fouilles dans la forêt, ainsi que des plongeurs de la gendarmerie de Dienville et de Metz pour inspecter les points d'eau situés aux alentours, notamment un étang situé à une centaine de mètres de la maison d'Élise Berlemont.

Un hélicoptère avait survolé les champs autour de son village et un drone avait été utilisé pour scruter le lieu de sa disparition.

En parallèle, une enquête de voisinage en porte-à-porte avait été engagée par les gendarmes de Bar-sur-Aube pour reconstituer son emploi du temps. Le domicile familial d'Élise Berlemont a en outre été investi par les techniciens de la brigade de recherches de la gendarmerie de Troyes.

Mélanie Hennebique