L'armée américaine a dévoilé mercredi de premières images et vidéos de son opération commando en Syrie qui a abouti à la mort du chef de Daesh Abou Bakr al-Baghdadi, cinq autres membres du groupe jihadiste, et deux "jeunes enfants". Lors du raid, Donald Trump avait pu suivre l'évolution de la situation en direct grâce aux caméras embarquées des soldats.
Une équipe de l’Agence France-Presse a pu pénétrer dans une prison kurde, où des dizaines d’anciens combattants de l’organisation terroriste sont retenus. Leurs conditions de détention sont extrêmement précaires. Les Kurdes redoutent qu’ils ne cherchent à venger leur ancien chef de guerre.
"Abou Bakr al-Baghdadi est mort." Donald Trump a annoncé ce dimanche lors d'une annonce officielle que le chef de Daesh Abou Bakr al-Baghdadi avait été tué dans la région d'Idleb (nord-ouest de la Syrie) lors d'une opération militaire américaine. Le président américain a livré un récit détaillé du raid au cours duquel le chef de l'organisation terroriste a été acculé par les forces américaines puis s'est fait sauter avec sa ceinture d'explosifs.
Repéré il y a deux semaines par les forces américaines, le leader autoproclamé de Daesh est mort dans la nuit de samedi à dimanche dans la région d'Idleb, dans le nord-ouest de la Syrie.
La mort d'Abou Bakr al-Baghdadi, chef autoproclamé de Daesh, est un coup dur porté à l'organisation jihadiste mais elle a déjà prouvé sa résilience et anticipé la disparition de son leader, estiment des experts.
Donald Trump a annoncé ce dimanche, depuis la Maison-Blanche, la mort du chef de Daesh, Abou Bakr al-Baghdadi.
Donald Trump a annoncé la mort du leader de Daesh, Abou Bakr al-Baghdadi, ce dimanche depuis la Maison-Blanche
Le président américain Donald Trump a confirmé ce dimanche la mort d'Abou Bakr al-Baghdadi, lors d'une opération de l'armée américaine dans le nord-ouest de la Syrie.
Donald Trump a annoncé ce dimanche la mort du leader de Daesh, Abou Bakr al-Baghdadi
Donald Trump a annoncé la mort du leader de Daesh, Abou Bakr al-Baghdadi, ce dimanche depuis la Maison-Blanche
Donald Trump annonce la mort du leader de Daesh Abou Bakr el Baghdadi depuis la Maison-Blanche ce dimanche.
Donald Trump a annoncé de dimanche la mort du leader de Daesh, Abou Bakr al-Bagadadi
Le président américain Donald Trump fera une annonce "très importante" ce dimanche matin depuis la Maison Blanche, alors que des informations non confirmées font état de la possible mort du leader de Daesh, Abou Bakr al-Baghdadi, lors d'un raid américain en Syrie.
Des combats entre forces pro-Ankara et les Kurdes soutenus par l'armée syrienne ont fait samedi 15 morts dans le nord-est de la Syrie.
Des tirs et des bombardements ont de nouveau lieu ce vendredi matin en Syrie malgré le cessez-le-feu de cinq jours négocié hier.
La Turquie va suspendre son offensive dans le nord de la Syrie pendant cinq jours et y mettre fin si les forces kurdes se retirent de la zone de sécurité de 32 km souhaité par les Turques dans le nord de la Syrie après 8 jours de combats.
Après sa rencontre avec le président turc Recep Tayyip Erdogan ce jeudi, le vice-président américain a annoncé qu'un cessez-le-feu avait été décidé à Ankara. Les forces kurdes sont prêtes à respecter cette initiative.
Le vice-président américain Mike Pence a rencontré le président Erdogan à Ankara. À la suite de cette rencontre, un cessez-le-feu de 120h a été adopté. La Turquie mettra fin à son offensive après un retrait des forces kurdes de ce secteur durant ce délai.
Les Turcs continuent d'avancer en Syrie après le début de leur offensive, il y a plus d'une semaine. Les combats ont déjà provoqué l'exode d'au moins 140.000 personnes dans le nord de la Syrie. Ces civils décrivent l'horreur et continuent d'affluer à Hassaké.
Malgré les sanctions américaines, le président turc Recep Tayyip Erdogan a d'ores et déjà exclu de "s'asseoir à la table des terroristes". L'expression désigne les YPG, la milice kurde des Unités de protection du peuple.
Le président turc a répété hier soir qu'il était hors de question de négocier un cessez-le-feu. La population turque, elle, semble ne rien attendre de la visite américaine de Mike Pence à Ankara.
Tandis que le vice-président américain, Mike Pence, devrait arriver d'ici quelques heures en Turquie, on apprend que Donald Trump a écrit une lettre au président truc Erdogan. Une lettre au ton peu diplomatique et qui pourrait expliquer la fermeté d'Ankara.
Le ton de la lettre de Donald Trump au président turc Erdogan surpend les Américains. Révélée ce mercredi soir, elle a été écrite le 9 octobre dernier. "Ne jouez pas au dur ! Ne faites pas l'idiot !", lance le président américain à son homologue turc.
Le vice-président des Etats-Unis, Mike Pence, doit rencontrer Recep Tayyip Erdogan en Turquie pour réclamer un cessez-le-feu immédiat. Ce dernier ne compte pourtant pas arrêter l'offensive tant que les Kurdes n'ont pas évacué les zones de combat. Une semaine après son déclenchement, le conflit a fait plus de 300 morts, dont au moins 71 civils selon l’Observatoire syrien des droits de l’Homme.
Recep Tayipp Erdogan rencontrera jeudi des responsables américains à propos de l’offensive turque au Nord-est de la Syrie. Une semaine après son déclenchement, les combats ont fait plus de 300 morts, dont au moins 71 civils selon l’Observatoire syrien des droits de l’Homme. Et Turcs comme Kurdes ne semblent pas prêts à conclure une trêve.
"La Turquie ne déclarera jamais de cessez-le-feu". C'est ce qu'à martelé le président turc Erdogan, une semaine après le début de l'offensive turque dans le nord de la Syrie.
Jean-Yves Le Drian, ministre de l’Europe et des Affaires étrangères était l’invité de Bourdin Direct ce matin sur BFMTV. Revenant sur la nécessité, d'après lui, de réunir les Européens face à l'offensive turque, il "pense" qu'il y aura un sursaut européen car "c'est la sécurité des Européens qui est en jeu"
Jean-Yves Le Drian, ministre des Affaires étrangères est l’invité de Jean-Jacques Bourdin ce mercredi matin.
Jean-Yves Le Drian, ministre des Affaires étrangères est l’invité de Jean-Jacques Bourdin ce mercredi matin.
Jean-Yves Le Drian, ministre de l’Europe et des Affaires étrangères était l’invité de Bourdin Direct ce matin sur BFMTV. Revenant sur l'offensive turque et sur le risque de fuite de prisonniers jihadistes, il affirme: "À l'heure actuelle", les camps dans lesquels sont emprisonnés des jihadistes sont toujours tenus par les kurdes.
Jean-Yves Le Drian, ministre des Affaires étrangères est l’invité de Jean-Jacques Bourdin ce mercredi matin.
La Turquie "ne déclarera pas de cessez-le-feu." Ce sont les mots du président turc Recep Tayyip Erdogan dans les colonnes du quotidien Hurriyet. Voilà qui donne le tempo à la veille de la rencontre à Ankara avec le vice-président américain Mike Pence. C'est le 8e jour de l'offensive contre les forces kurdes. Une ville clé reste à conquérir: Ras al-Aïn.
En Syrie, les combats se poursuivent alors que l'aide humanitaire est presque à l'arrêt.
Le président turc Recep Tayyip Erdogan doit rencontrer jeudi le vice-président américain Mike Pence, avec l'objectif affiché pour les Etats-Unis d'obtenir un "cessez-le-feu immédiat" dans le nord de la Syrie.
En Syrie, l'offensive militaire turque a provoqué en une semaine le déplacement d'au moins 160.000 personnes, dont 70.000 enfants, selon l'ONU. Ce mardi, Médecins Sans Frontières évacue ses équipes de la zone, devenue trop dangereuse.
Alors que l'offensive turque continue contre les forces kurdes au nord de la Syrie, la diplomatie se réveille. Donald Trump a changé de ton. Ce lundi, le président des Etats-Unis a personnellement téléphoné a Recep Tayyip Erdogan pour demander un cessez-le-feu. Avant le début des offensives, la Maison Blanche a invité le président de la Turquie à Washington, le 13 novembre prochain. Ce rendez-vous n'est pour le moment pas annulé.
Au sujet de l'offensive turque en Syrie, le Premier ministre répond à une question de Jean-Luc Mélenchon, et déclare qu'il "souhaite que la Turquie prenne ses responsabilités".
L'offensive turque se poursuit en Syrie. La situation sur place est très préoccupante, de nombreuses ONG internationales ont décidé de "suspendre temporairement leurs opérations". Seuls les ONG locales continuent leurs aides.
Sur le sujet de l'offensive de la Turquie en Syrie, le premier ministre déclare vouloir "maintenir le dialogue avec Ankara".
Pas de répit dans le nord-est de la Syrie, l'armée turque poursuit son offensive contre les kurdes. Les combats risquent d'être plus compliqués que prévu pour Ankara. Les premiers soldats syriens viennent d'arriver sur les zones de combat après l'alliance passée entre les kurdes et Damas. Comment se conflit est-il perçu en Turquie ? L'armée a t-elle le soutien de la population?
L'armée syrienne a commencé, ce lundi, à se déployer au sud de Ras al-Aïn dans le nord de la Syrie. Elle est à 6 kilomètres de la frontière où les combats font rage.
Alors que l'offensive turque continue contre les forces kurdes au nord de la Syrie, la diplomatie se réveille. Emmanuel Macron était au téléphone hier soir avec Donald Trump, le Président turc Recep Tayyip Erdogan et le Président irakien Barham Salih. Le Président américain, lui a brusquement changer de ton en demandant un cessez-le-feu.
Six jours après le début de l’offensive turque contre le Kurdistan syrien la situation est de plus en plus tendue sur place. Plusieurs villes kurdes sont tombées dans le nord de la Syrie. Mais leur déroute n’est pas totale: dans le même temps, l’armée syrienne de Bachar al Assad avance en direction des combats faisant craindre à la communauté internationale une escalade des violences.
Dans le Nord-Est de la Syrie, l’opération turque baptisée "Printemps de la paix" se poursuit. Dans cette région du Rojava occupée par les kurdes. La situation des civils est catastrophique. Le bilan humain s’alourdit de jour en jour. À quelques centaines de kilomètres de là, les Kurdes d’Irak observent leurs proches mourir et appellent à l’aide.
En Syrie, l'offensive militaire turque a provoqué en une semaine le déplacement d'au moins 160.000 personnes, dont 70.000 enfants, selon l'ONU.
Dans une enquête vidéo de 8 minutes s'appuyant notamment sur des enregistrements radio russes, le quotidien new-yorkais affirme que des avions militaires de Moscou ont détruit intentionnellement quatre hôpitaux syriens en mai dernier. Ce qui constitue un crime de guerre, selon le droit international.
L'avocate de familles de jihadistes Marie Dosé a appelé ce lundi à "faire pression sur la Turquie pour qu'il y ait un cessez-le-feu et organiser les rapatriements", après que des milliers de jihadistes se son enfuis des camps kurdes dans lesquels ils étaient retenus.
Au sixième jour de l'offensive turque contre les kurdes en Syrie et Ankara semble en passe d'achever la première phase de cette offensive. La Turquie s'est déjà emparé d'une quarantaine de villages dans la région frontalière. Cette offensive a provoqué le déplacement de 130.000 selon les Nations Unies.
Y a-t-il un risque majeur d'embrasement ? L'offensive turque, lancée il y a six jours, se poursuit et les kurdes en Syrie lâchés par Washington ont décidé de s'allier à Damas. Des dizaines de milliers de civils sont poussés à l'exode. L'annonce du retrait d'un millier de soldats américains du nord de la Syrie ne va évidemment rien arranger.
Emmanuel Macron met en garde contre une possible résurgence de Daesh dans la région.
