Des tirs israéliens sur une foule affamée et une vaste bousculade pendant une distribution d'aide qui a tourné au chaos dans le nord de Gaza ont fait plus de 110 morts et 760 blessés selon le Hamas.
Plus d’une centaine de personnes sont mortes ce jeudi lors d’une distribution d’aide alimentaire à Gaza. Selon le Hamas, l’armée israélienne a ouvert le feu sur la foule. Israël reconnaît de son côté des “tirs limités” de soldats se sentant “menacés” et assure que la plupart des personnes tuées l’ont été dans une bousculade
Plus d’une centaine de personnes sont mortes ce jeudi lors d’une distribution d’aide alimentaire à Gaza. Selon le Hamas, l’armée israélienne a ouvert le feu sur la foule. Israël reconnaît de son côté des “tirs limités” de soldats se sentant “menacés” et assure que la plupart des personnes tuées l’ont été dans une bousculade
Plus d’une centaine de personnes sont mortes ce jeudi lors d’une distribution d’aide alimentaire à Gaza. Selon le Hamas, l’armée israélienne a ouvert le feu sur la foule. Israël reconnaît de son côté des “tirs limités” de soldats se sentant “menacés” et assure que la plupart des personnes tuées l’ont été dans une bousculade
Au moins 104 personnes sont mortes et 760 blessées ce jeudi matin lors d’une distribution d’aide humanitaire dans le nord de l’enclave palestinienne, selon le ministère de la Santé de l'enclave palestinienne. Le Hamas fait état de tirs d’origine israélienne tandis qu’Israël évoque également un mouvement de foule à l’origine du bilan.
Une porte-parole du Pentagone, Sabrina Singh, a par la suite précisé que le ministre américain de la Défense "citait une estimation du ministère de la Santé du Hamas".
Des tirs israéliens ont tué 104 Palestiniens qui se ruaient sur des camions d'aide humanitaire à Gaza, a annoncé jeudi le Hamas en dénonçant un "massacre", alors que la guerre entre Israël et le mouvement islamiste a déjà fait plus de 30.000 morts dans le territoire menacé de famine.
Au moins 104 personnes sont mortes ce jeudi matin lors d'une distribution d'aide humanitaire à Gaza City. Le Hamas dénonce des tirs israéliens, tandis qu'Israël évoque aussi un mouvement de foule. L'armée israélienne va enquêter sur la provenance des tirs.
Des tirs israéliens ont tué 104 Palestiniens qui se ruaient sur des camions d'aide humanitaire à Gaza, a annoncé jeudi le Hamas en dénonçant un "massacre", alors que la guerre entre Israël et le mouvement islamiste a déjà fait plus de 30.000 morts dans le territoire menacé de famine.
Des tirs israéliens ont tué 104 Palestiniens qui se ruaient sur des camions d'aide humanitaire à Gaza, a annoncé jeudi le Hamas en dénonçant un "massacre", alors que la guerre entre Israël et le mouvement islamiste a déjà fait plus de 30.000 morts dans le territoire menacé de famine.
Selon le Hamas, "plus de 30.000" personnes sont mortes à Gaza. La guerre a aussi forcé 1,7 million de Palestiniens à fuir leurs foyers.
Le Hamas a annoncé le lancement de missiles sur le nord d'Israël depuis le sud du Liban.
Le Programme alimentaire mondial (PAM) a alerté ce mardi devant le Conseil de sécurité de l'ONU d'une "famine imminente" dans le nord de la bande de Gaza, où aucun convoi humanitaire n'a pu se rendre depuis le 23 janvier.
Des vivres et des médicaments ont à nouveau été largués ce mardi au profit de l'enclave palestinienne par les forces françaises et jordaniennes.
Des avions français, égyptiens, jordaniens, qataris, et émiratis ont survolé Khan Younès, Rafah et Deir al-Balah pour larguer quelques dizaines de parachutes transportant de la nourriture ainsi que des médicaments pour les Gazaouis. Cette aide survient alors que l’ONU a une nouvelle fois alerté sur une “famine de masse” qui menace la population gazaouie.
"J'ai espoir que d'ici lundi prochain, nous ayons un cessez-le-feu", a affirmé le président américain ce lundi 26 février, près de cinq mois après le début de la guerre entre Israël et le Hamas.
Cette décision s'explique par "un besoin urgent d'un consensus interpalestinien", à l'heure où les tractations en coulisses s'intensifient pour réformer le leadership politique palestinien dans le cadre de "l'après-guerre" à Gaza.
Les forces françaises et jordaniennes ont largué ce lundi 26 février du fret humanitaire, préparé à Toulouse et parachuté jusqu'à Gaza pour les populations prises au piège par la guerre entre Israël et le Hamas.
Cette décision s'explique notamment "à la lumière des développements liés à l'agression contre Gaza" et à "l'escalade" en Cisjordanie occupée, a expliqué le Premier ministre Mohammed Shtayyeh.
Cette annonce survient avant une offensive israélienne attendue à Rafah, ville surpeuplée du sud de l'enclave palestinienne, présentée par Benjamin Netanyahu comme le "dernier bastion" du Hamas.
Le cabinet de guerre israélien avait donné son aval samedi 24 février à la poursuite des discussions en vue d'une nouvelle trêve à Gaza, où la situation humanitaire ne cesse d'empirer.
Une délégation israélienne s'est rendue ce vendredi 23 février à Paris pour un suivi sur un projet de trêve discuté fin janvier dans la capitale.
Alors que les bombardements continuent dans la bande de Gaza, de nouvelles discussions sont prévues à Paris pour tenter d'obtenir une trêve entre Israël et le Hamas, assortie d'une libération des otages.
Selon les autorités, les deux terroristes ont été "neutralisés" après l'attaque qui s'est produite près de la colonie de Maale Adumim, dans les faubourgs de Jérusalem.
Selon des images diffusées le 15 février, l’Égypte serait en train de construire un mur dans le Sinaï, à la frontière avec Rafah, ville du sud de la bande de Gaza où sont massés plus d’un million de Palestiniens. Cette zone fermée de 13 km² entourée de murs de sept mètres de haut, pourrait abriter “plus de 100.000 personnes” en cas d’offensive israélienne sur Rafah et d’exode de réfugiés gazaouis.
Le chef de la diplomatie palestinienne a appelé la Cour internationale de justice à reconnaître l'occupation illégale d'Israël et à ordonner d'y mettre fin "immédiatement, totalement et sans condition".
Le patron de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) Tedros Adhanom Ghebreyesus s'exprime ce dimanche 18 février sur la situation de l'hôpital Nasser, dans la bande de Gaza, qui est visé par un assaut israélien.
L'ONG "Road to Recovery" aide des enfants palestiniens à bénéficier de soins en Israël. Depuis les attaques du 7 octobre perpetrées par le Hamas, l'association est confrontée à des appels malevillants. Plus de la moitié des bénévoles a preféré arrêter.
L'armée israélienne affirme avoir arrêté 20 suspects des attaques du 7 octobre 2023 menées par le Hamas, alors qu'elle mène actuellement un assaut sur l'hôpital situé dans le sud de la bande de Gaza.
Le plus grand hôpital du sud de Gaza fait l'objet d'une "opération ciblée" par l'armée israélienne. Cette dernière affirme vouloir retrouver les "corps d'otages" qui seraient présents dans le bâtiment.
Israël a lancé une "opération" au sein de l'hôpital Nasser de Khan Younès, au sud de la bande de Gaza, ce jeudi 15 février, où étaient réfugiés des milliers de Palestiniens.
Au début du conflit, Israël a appelé les Gazaouis à fuir vers le sud afin d’échapper à la contre-offensive contre le Hamas. Désormais massés à Rafah, 1,4 million de Palestiniens sont menacés par la nouvelle opération de l'armée israélienne.
Dans les heures qui ont suivi les attaques du 7 octobre, Israël a appelé les Gazaouis à fuir vers le sud afin d’échapper à la contre-offensive. À mesure que Tsahal progressait, elle ordonnait l'évacuation de la population toujours plus vers le sud. Une grande partie est maintenant dans la ville de Rafah, le long de la frontière égyptienne. Bastion stratégique pour le Hamas, Rafah est aujourd’hui menacée par Israël au grand dam des Gazaouis.
Le représentant de l'OMS dans les territoires palestiniens occupés a fait savoir que moins de la moitié des opérations humanitaires de l'organisationà Gaza avaient pu être menées depuis le début de la guerre.
Le médecin humanitaire Raphaël Pitti, qui était dans la bande de Gaza il y a encore quelques jours, décrit une situation humanitaire extrêmement tendue sur place. Dans les hôpitaux, les soins médicaux ne peuvent être prodigués à la population palestinienne, réfugiée en masse dans cette ville-frontière.
Josep Borell, le chef de la diplomatie européenne, s'inquiète d'un projet israélien de déplacement des civils palestiniens à Rafah. Il a pris la parole ce mardi 13 février pour dénoncer les déclarations de Benjamin Netanyahu.
Au lendemain du 7 octobre, l'armée israélienne a pressé les Gazaouis de s'enfuir vers le Sud pour échapper à la contre-offensive. Désormais massés à Rafah, 1,4 million de Palestiniens sont menacés par la nouvelle offensive de Tsahal.
Au moins 67 Palestiniens sont morts selon les autorités locales dans un bombardement mené lundi dans la nuit par l'armée israélienne sur la ville de Rafah, au sud de Gaza, où se sont réfugiées 1,4 million de personnes ayant fui le nord du pays.
Selon Al Jazeera, le correspondant Ismaïl Abou Omar et son caméraman ont été blessés par une frappe dans le secteur de Rafah.
Le président américain a par ailleurs annoncé qu'un accord de libération des otages détenus à Gaza, accompagné d'une pause "d'au moins six semaines" dans les hostilités entre Israël et le Hamas, était actuellement en discussion.
Dans un communiqué, le quai d'Orsay annonce qu'à "la demande de la France", 42 personnes ont pu être évacuées de la bande de Gaza, via le point de passage de Rafah ce lundi 12 février.
La pression internationale est très forte autour de l'opération israélienne à Rafah. Au cœur des préoccupations: le sort des 1,4 million de civils sur place. Les médias étrangers ne peuvent pas pénétrer dans cette zone. Une équipe de journalistes palestiniens a fait parvenir à BFMTV un reportage tourné au cœur de la ville assiégée
Israël a libéré lundi deux otages détenus à Rafah, dans la bande de Gaza, lors d'une opération commando nocturne accompagnée de frappes meurtrières sur cette ville où sont réfugiés des centaines de milliers de civils palestiniens. Selon le ministère de la Santé du Hamas, plus de 100 personnes sont mortes dans ces bombardements.
Alors que le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a annoncé une offensive terrestre sur Rafah, le Quai d'Orsay a renouvelé son appel à arrêters les combats dans la bande de Gaza.
La fillette et sa famille cherchaient à fuir les combats dans la ville de Gaza, lorsque leur voiture s'est retrouvée face à des chars israéliens, qui auraient ouvert le feu. Hind, âgée de 6 ans, avait dans un premier temps survécu et contacté les secours, des appels largement relayés sur les réseaux sociaux.
Après avoir ordonné mercredi à son armée de préparer une offensive sur Rafah, dans le sud de la bande de Gaza, le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, lui a demandé vendredi de lui soumettre un "plan combiné" d'"évacuation" des civils et de "destruction" du Hamas dans cette ville.
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a ordonné à Tsahal de préparer une offensive sur Rafah, dans le sud de Gaza, pour "détruire" le Hamas dans cette ville. Il a également appelé à "évacuer" les civils, en grande majorité des réfugiés de guerre. La communauté internationale s'inquiète de cette nouvelle attaque, qui pourrait faire des milliers de morts.
"Je pense, comme vous savez, que la riposte à Gaza, dans la bande de Gaza, a été excessive", a affirmé le président américain lors d'une conférence de presse depuis la Maison Blanche ce jeudi 8 février.
Il s'appelle Hussam Al-Attar et a 15 ans. Réfugié dans un camp de Rafah, il a fabriqué sa propre éolienne pour obtenir de l'électricité à sa famille. Quatre mois après le début de la guerre, il est surnommé "le Newton de Gaza" et rêve de devenir scientifique.
Un nouveau cycle de négociations sur une trêve dans la bande de Gaza débutera ce jeudi 8 février au Caire, en Égypte.
