
Gaza: Israël défend la "légitimité" de ses opérations
Face à la pression de la communauté internationale, le ministre des Affaires étrangères israélien, Eli Cohen, dit "s'efforcer d'élargir la fenêtre de légitimité" des opérations de Tsahal à Gaza.
Face à la pression de la communauté internationale, le ministre des Affaires étrangères israélien, Eli Cohen, dit "s'efforcer d'élargir la fenêtre de légitimité" des opérations de Tsahal à Gaza.
Le 7 octobre, Ouriel Balas participait à la rave-party lorsque les terroristes du Hamas ont attaqué. Il s'est alors réfugié sur un arbre pour fuir les tirs.
Le Premier ministre britannique Rishi Sunak a limogé sa ministre de l'Intérieur Suella Braverman et l'a remplacée par le chef de la diplomatie James Cleverly, qui cède lui-même sa place à l'ancien Premier ministre David Cameron, ont annoncé lundi ses services. Suella Braverman avait mis en cause la semaine dernière l'impartialité des forces de police, qu'elle avait sous son autorité et auxquelles elle reprochait d'avoir autorisé une manifestation pro-palestinienne qui a réuni plus de 300.000 personnes samedi à Londres, provoquant une énième polémique depuis sa nomination.
Depuis les attaques du Hamas le 7 octobre dernier, aucun carburant n'est autorisé à entrer dans la bande de Gaza, qui subit un siège total et un pillonage sans relâche de la part d'Israël.
Des rassemblements pro-palestiniens ont provoqué des réactions auprès des étudiants juifs sur des campus universitaires. Des renforts policiers ont été envoyés dans l'une d'entre elles face au risque de débordement.
Plus d’un mois après les attaques terroristes du Hamas en Israël, la contre-offensive de Tsahal se poursuit avec des bombardements sur Gaza qui touchent aussi les hôpitaux. Les soignants doivent travailler dans des conditions très précaires, notamment à cause du manque d’électricité.
Un festivalier de 26 ans raconte comment il a survécu, caché dans un arbre, à la sanglante attaque du Hamas sur la rave-party Super Nova, le 7 octobre.
L'hôpital al-Chifa, le plus grand de la bande de Gaza, est privé d'eau et d'électricité et pris au piège des combats qui font rage entre le Hamas et l'armée israélienne. Le Hamas affirme que cette situation aurait causé la mort de plusieurs patients.
Le président de la République a assuré qu'il présidera "prochainement" une cérémonie d'hommage national "à la mémoire de nos compatriotes disparus."
Dans une interview donnée à NBC News, le Premier ministre israélien a évoqué l'éventualité d'un accord pour les otages. Hadas Calderon, mère franco-israélienne de deux enfants otages, réagit à cela en direct sur BFMTV ce lundi matin.
Les deux enfants de cette mère de famille Franco-israélienne, qui a déjà rencontré Emmanuel Macron en personne lors de sa visite au Proche-Orient, ont été enlevés par le Hamas lors des attaques terroristes du 7 octobre.
Les médias israéliens ont commenté la marche contre l'antisémitisme qui a eu lieu ce dimanche dans plusieurs villes de France. Les Franco-Israéliens y voient un message positif.
Dans les établissements de santé de l'enclave, bombardée chaque jour, le travail des professionnels de santé se fait avec des moyens de plus en plus rudimentaires.
L'Union européenne condamne l'utilisation par le Hamas des civils et des hôpitaux comme "boucliers humains". Les hôpitaux de Gaza se trouvent en effet pris dans l'étau des combats. Selon l'OMS, au moins 20 établissements sont hors service.
"Je pense que moins j'en parle, plus j'augmenterai les chances que ça se matérialise". Dans une interview donnée à NBC News, le Premier ministre israélien a évoqué l'éventualité d'un accord pour les otages.
L'armée israélienne justifie ces frappes sur des ambulances par le fait que le groupe terroriste "sacrifie la neutralité de ces institutions" et "viole le droit international".
Des milliers de Palestiniens espèrent lundi quitter le site de l'hôpital al-Chifa, le plus grand de la bande de Gaza, sans eau ni électricité depuis quelques jours et pris au piège de combats entre le Hamas et l'armée israélienne. Benjamin Netanyahu a évoqué la possibilité d'un accord pour permettre la libération des plus de 240 otages du Hamas.
Interrogé par la chaîne américaine NBC, le Premier ministre israélien a expliqué que "les choses ont commencé à changer" vers un accord potentiel quand Israël a débuté ses opérations au sol dans la bande de Gaza.
Interrogé par la chaîne américaine NBC, le Premier ministre israélien a expliqué que "les choses ont commencé à changer" vers un accord potentiel quand Israël a débuté ses opérations au sol dans la bande de Gaza.
Ces frappes contre deux sites liés à l'Iran ont été menées en réponse aux attaques contre du personnel américain dans en Irak et en Syrie, selon le secrétaire américain à la Défense. Huit combattants affiliés à l'Iran ont été tués selon des ONG.
Josep Borrell, le chef de la diplomatie de l'UE, a condamné "l'utilisation par le Hamas d'hôpitaux et de civils comme boucliers humains" dans la bande de Gaza, tout en appelant Israël à une "retenue maximale" afin de protéger les civils dans la guerre en cours.
Lors d'une interview accordée à la chaîne américaine CNN, le Premier ministre israélien a assuré que la question "doit être posée", mais a insisté sur la nécessité d'"unir le pays" pour remporter la guerre.
Interrogé par la chaîne américaine NBC, le Premier ministre israélien a expliqué que "les choses ont commencé à changer" vers un accord potentiel quand Israël a débuté ses opérations au sol dans la bande de Gaza.
Depuis l’attaque du Hamas du 7 octobre et la contre-offensive israélienne à Gaza, les actes antisémites flambent en France. Plus de 1100 ont été recensés en un mois, trois fois plus qu’en 2022. Dans la communauté juive, le sentiment de peur est présent depuis longtemps. Une équipe de Ligne Rouge a rencontré un couple de Lyonnais qui se sont installés en Israël cet été. Malgré l’irruption de la guerre contre le Hamas, ils disent se sentir plus en sécurité là-bas que dans leur ancienne vie en France.
Lors d'un interview à la BBC, le président français a exhorté Israël à cesser “les bombardements qui tuent des civils à Gaza”.
L'armée israélienne a déclaré samedi qu'elle allait aider à l'évacuation de nourrissons du plus grand hôpital de la ville de Gaza, où deux bébés prématurés sont morts après l'arrêt forcé des soins intensifs néonataux faute d'électricité, selon une ONG. Tsahal dément aussi avoir ciblé ciblé l'hôpital al-Chifa, tandis que des ONG rapportent des combats autour de cet établissement.
À Londres, ce samedi 11 novembre, 300.000 personnes ont participé à une marche en soutien à la Palestine, selon la police.
Dans une interview accordée à la télévision britannique, le président français a exhorté Israël à arrêter de tuer des civils sans "raison" ni "légitimité" à Gaza. Hadas Kalderon, mère de deux enfants enlevés par le Hamas, regrette qu'Emmanuel Macron n'ait pas eu un mot pour les otages.
D'intenses combats opposent se déroulent autour du plus grand hôpital de Gaza, où deux bébés prématurés sont morts après l'arrêt forcé des soins intensifs néonataux faute d'électricité, a rapporté samedi une ONG israélienne.
Yaël Perl Ruiz, petite-fille d'Alfred Dreyfus, explique pourquoi elle a interpellé Emmanuel Macron au sujet de la marche contre l'antisémitisme, rassemblement auquel le président de la République ne se rendra pas.
Dans une interview accordée à la télévision britannique, le président a estimé qu'il n'y a "pas d'autre solution qu'une pause humanitaire" et qu'un "cessez-le-feu" à Gaza.
Plusieurs manifestants se sont rassemblés ce samedi après-midi à Marseille pour demander un cessez-le-feu à Gaza.
Des milliers de personnes ont commencé à se rassembler à Londres pour une marche pro-palestinienne organisée sous haute surveillance policière en ce week-end de commémorations de l'armistice de la Première Guerre mondiale. Un important dispositif de sécurité a été déployé dans la capitale britannique pour éviter d'éventuels débordements lors de cette manifestation organisée contre l'avis du gouvernement, et qui a tourné à la crise politique ces derniers jours.
Une vingtaine de tentes se sont installées devant le QG de Tsahal, l'armée israélienne, à Tel Aviv. Une opération menée par des familles d'otages, pour ne pas qu'ils sombrent dans l'oubli.
Au 36e jour de la guerre entre Israël et le Hamas, la situation humanitaire dans la bande de Gaza est toujours aussi alarmante, selon l'Organisation mondiale de la santé. Emmanuel Macron a renouvelé son appel à un "cessez-le-feu" et demande à Israël de "cesser" de tuer des civils.
Dans un entretien à la BBC, Emmanuel Macron a exhorté "Israël à arrêter" les bombardements qui touchent les civils et qui n'ont "aucune raison ni légitimité".
Devant le Conseil de sécurité de l'ONU, le patron de l'OMS a alerté sur l'état du système de santé de la bande de Gaza. Il a affirmé que la moitié des 36 hôpitaux de l'enclave ne fonctionnaient "plus du tout".
Le comité international de la Croix-Rouge (CICR) a appelé à la fin de la destruction des hôpitaux à Gaza et déclaré que le système de santé du territoire palestinien avait atteint "un point de non-retour".
Israël a revu son bilan à la baisse après avoir identifié des corps comme étant ceux des hommes du Hamas ayant participé à l'attaque.
Raphaël Pitti, médecin humanitaire UOSSM France et spécialiste en médecine de guerre, était en direct sur BFMTV ce vendredi soir.
L'armée israélienne a accepté de réaliser des "pauses" humanitaires quotidiennes pour permettre aux civils de fuir le nord de la bande de Gaza, où se concentrent les bombardements. Pour autant, l'État hébreu a balayé toute perspective de "cessez-le-feu" avec le Hamas, qui signifierait "une reddition" selon le Premier ministre, Benjamin Netanyahu.
Le commissaire général de l'agence onusienne pour les réfugiés palestiniens (UNRWA), Philippe Lazzarini, annonce la mort de 100 de ses employés et appelle à la fin du "massacre" à Gaza.
Après 2 à 3 jours d'accalmie, des sirènes ont retenti dans la ville de Tel-Aviv, ce vendredi. De nouvelles salves de roquettes ont été tirées sur Israël dans les territoires limitrophes de la bande de Gaza mais aussi à Tel-Aviv. Aucune n'a touché sol grâce à la défense antiaérienne israélienne appelée, le Dôme de fer.
L'armée israélienne a accepté d'observer des pauses de 4 à 6 heures, chaque jour, dans le nord de la bande de Gaza, pour permettre aux civils palestiniens de quitter cette zone. Une décision qui fait suite à une demande des États-Unis.
Des témoins ont rapporté que les chars israéliens se rapprochaient de plusieurs autres hôpitaux de l'ouest de la ville de Gaza. D'autres font état de violents combats dans le nord de la l'enclave.
Le Premier ministre Netanyahu dit avoir accepté de laisser les civils quitter le nord de Gaza vers le sud pendant un temps donné et dans une région précise. Des milliers de Palestiniens étaient encore sur les routes jeudi.
Le Premier ministre Netanyahu dit avoir accepté de laisser les civils quitter le nord de Gaza vers le sud pendant un temps donné et dans une région précise. Des milliers de Palestiniens étaient encore sur les routes jeudi.
Ce chauffeur de VTC, âgé d'une vingtaine d'années, s'était rendu dans l'enclave palestinienne pour se marier. Il est parvenu à passer le poste-frontière de Rafah la semaine passée, mais a du mal à obtenir des nouvelles de son épouse.
"Nous ne cherchons pas à l'occuper, mais nous cherchons à lui donner, ainsi qu'à nous, un avenir meilleur", a déclaré le Premier ministre israélien.
"Nous allons continuer jusqu'à éradiquer le Hamas", a promis le Premier ministre israélien, écartant une nouvelle fois tout cessez-le-feu.