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Gouvernement

Valls sur NDDL: "Si on empêche la consultation, il n'y aura pas d'alternative"

Selon Manuel Valls, "si on empêche la consultation", "les travaux démarreront" à Notre-dame-des-landes - Jeudi 18 Février 2016

Selon Manuel Valls, "si on empêche la consultation", "les travaux démarreront" à Notre-dame-des-landes - Jeudi 18 Février 2016 - AFP

Le Premier ministre Manuel Valls a affirmé que "si on empêche la consultation" sur le transfert de l'aéroport de Nantes à Notre-Dame-des-Landes, "il n'y aura pas d'alternative, et les travaux démarreront de toute façon à l'automne". 

Manuel Valls a ainsi affirmé qu'"il ne sera pas possible de poursuivre le projet" en cas de non. "Si on empêche la consultation, il n'y aura pas d'alternative, et les travaux démarreront de toute façon à l'automne".

Une consultation locale nécessaire

"Parce qu'il faudra assumer cette expulsion au mois d'octobre, avec un engagement très important des forces de l'ordre, pour que les travaux puissent commencer, cette consultation locale est nécessaire", déclare le Premier ministre au quotidien, sans jamais employer l'expression de "référendum local".

"Une consultation, c'est un vote, avec des urnes et des bulletins. Je me suis donné quelques jours pour en définir les modalités", ajoute Manuel Valls, suggérant à nouveau que le périmètre du scrutin soit celui de la Loire-Atlantique. 

A.-F. L. avec AFP