EN DIRECT - Présidentielle: Schiappa "préfèrerait que le président soit au second tour face à un candidat du champ républicain"

Marlène Schiappa sur notre plateau ce mercredi soir. - BFMTV
Pour Marlène Schiappa, Eric Zemmour a "des positions racistes" et ne "respecte personne"
Toujours face à notre journaliste Yves Calvi, Marlène Schiappa a évoqué le cas Eric Zemmour. Celle qui a ferraillé à plusieurs reprises sur les plateaux avec l'essayiste et chroniqueur - notamment dans son émission Zemmour & Naulleau - a jugé: "Oui, je considère qu il a des positions racistes mais pas uniquement". "Mon principal problème avec Eric Zemmour, c'est qu'il ne respecte rien, ni personne", a-t-elle aussitôt précisé.
"Il ne respecte pas les journalistes: il a accusé une journaliste de s'être 'couverte de ridicule' sur votre plateau alors qu'elle n'avait fait que son travail. Il ne respecte pas les femmes, il a traité Ruth Elkrief de 'folle'. Il ne respecte pas les immigrés, les juifs, il a tenu des propos révisionnistes en assurant que Vichy avait protégé les juifs français". "Il est dans l'outrance permanente", a encore lancé la ministre chargée de la Citoyenneté.
Schiappa "préfèrerait que le président soit au second tour face à un candidat du champ républicain"
Marlène Schiappa, ministre chargée de la Citoyenneté auprès du ministre de l'Intérieur, était notre invitée ce mercredi soir. Elle s'est projetée sur une nouvelle campagne présidentielle d'Emmanuel Macron, et a livré sa préférence quant à un éventuel second tour. "Je préfèrerais que le président soit au second tour face à un candidat ou une candidate du champ républicain". "Je ne fais pas partie de ceux qui font le pari du pire en se disant: 'Tant mieux, s'il est face à Marine Le Pen parce qu'il gagnerait plus facilement", a-t-elle complété.
"Au moins, on parlerait du fond", a-t-elle argué, ajoutant dans une référence directe à de récentes déclarations d'Eric Zemmour: "Et on ne serait pas en train de débattre pour savoir si on a le droit de s'appeler Mohamed Ou Latifa, ou de faire du révisionnisme."
"Débattre avec Xavier Bertrand, Valérie Pécresse, Anne Hidalgo ou Yannick Jadot - des personnes qui sont dans le champ républicain et respectent le débat politique, ça fait tout à fait partie de la démocratie", a-t-elle achevé.
Pour Nicolas Sarkozy, la montée du populisme est le résultat d'une droite qui "ne dit plus rien"
Invité à la convention nationale du Parti populaire (PP) espagnol, à Madrid, l'ancien président français est revenu sur la montée du populisme à travers l'Europe. Et selon lui, c'est le résultat direct du manque de force au sein de la droite:
"Nous sommes raisonnables mais ça ne veut pas dire que nous sommes faibles. Nous sommes de droite mais ça ne veut pas dire que nous sommes des conservateurs" lance l'ancien chef d'Etat. "Je suis pour le mouvement, pour la prise d'initiative, pour la passion dans le débat politique. Et aujourd'hui, où il y a autant de populistes, ne croyez pas que les populistes sont talentueux. C'est parce que nous, nous ne disons plus rien... Et donc ceux qui n'ont rien à dire le disent avec cette force et cette irresponsabilité. Mais le problème vient de nous, pas d'eux."
Après avoir rencontré Jadot, Rousseau déplore un dialogue "peu constructif"
Alors qu'elle multiplie les avertissements à son vainqueur à la primaire écologiste depuis sa défaite mardi, Sandrine Rousseau a fait le bilan mercredi soir sur RTL de sa rencontre avec Yannick Jadot dans l'après-midi: "C'était un dialogue, à ce stade, peu constructif".
"Mais c'est normal aussi. On est 24 heures après la primaire, ce sont des moments de négociations, qui ne sont simples pour personne", a-t-elle toutefois reconnu. Sandrine Rousseau a poursuivi: "Il a gagné, aucun doute là-dessus, mais qu'il entende que c'était une victoire courte".
"Je n'ai pas l'impression qu'il ait perçu la dynamique. Je n'ai pas senti qu'il ait perçu l'importance de porter la radicalité comme transformation de notre société, de notre économie, de la structure du pouvoir", avait-elle déjà regretté auprès de la radio: "Mais je suis sûre que maintenant, et à la suite de notre rencontre, il y a plein de possibilités pour qu'il l'entende".
Pour le moment, Jean-François Copé ne soutient "personne" au congrès des Républicains
Pour le moment, il ne semble convaincu par aucun des candidats de la droite. Sur le plateau de BFMTV, Jean-François Copé a affirmé qu'il ne soutenait "personne" pour le congrès des Républicains:
"Je laisse les trois candidats exprimer leurs positions et on verra ce qu'il en sera le moment venu. Comme vous le savez, les choses ne sont pas réglées à droite aujourd'hui", déclare l'ancien président de l'UMP, qui en évoquant "trois candidats" en oublie plusieurs: "Ca se joue entre Xavier Betrand, Valérie Pécresse et Michel Barnier" selon lui.
"Bien-sûr", Jean-François Copé se dit prêt à débattre avec Éric Zemmour
"Il ne faut rien lâcher" contre Eric Zemmour selon Jean-François Copé. L'actuel maire de Meaux se dit même prêt à débattre avec le polémiste "quand il le faudra, et aussi souvent qu'il le faudra":
"Il faut rien lâcher, comme on a jamais rien lâché avec Le Pen", estoùe Jean-François Copé. "Au nom de quoi il y aurait Le Pen avec laquelle il ne faut pas parler, et Zemmour "ah c'est pas mal Zemmour, c'est intéressant"?".
Interrogé sur la proximité de certains Républicains avec Eric Zemmour, l'ancien ministre délégué au Budget sous Jacques Chirac regrette qu'il n'y ait "plus de chefs à droite". Selon lui, sa famille des Républicains est "perdue":
"Si je prends autant la parole depuis 48 heures, c'est parce que j'en ai assez. Il va bien falloir qu'on siffle la fin de la récréation. Oui il faut débattre pour tordre une bonne fois pour toutes le cou à un certain nombre d'idées reçues qui consistent à banaliser des propos qui sont ceux de l'extrême droite française", estime-t-il.
Jean-François Copé: "Éric Zemmour bénéficie d'une impunité intellectuelle qui est indigne"
Invité sur le plateau de BFMTV ce mercredi, l'actuel maire LR de Meaux et ancien ministre s'est exprimé sur la montée en puissance du polémiste et probable candidat à la présidentielle Eric Zemmour:
"Je trouve qu'il bénéficie d'une indulgence, d'une impunité intellectuelle qui est indigne, de la part d'une atmosphère parisienne qui en d'autres temps a su être beaucoup plus violente à l'égard de tels ou tels propos qui pouvaient éventuellement choquer", lance Jean-François Copé.
"À une semaine près je gagnais": Sandrine Rousseau avertit Yannick Jadot au lendemain de sa défaite à la primaire écologiste
Mardi, peu après l'annonce de sa défaite in extremis au second tour de la primaire - avec près de 49% des suffrages exprimés -, Sandrine Rousseau a promis de "soutenir la suite de l'aventure" écologiste, que devra désormais incarner le candidat désigné Yannick Jadot. Ce mercredi, au micro de France Inter, elle a cependant multiplié les mises en garde à l'intention de ce dernier.
"La balle est dans le camp de Yannick Jadot aujourd'hui, c'est lui qui a gagné. On était à deux doigts de transformer le récit de la présidentielle. Je pense que la dynamique était vraiment derrière moi", a-t-elle d'abord estimé.
Celle qui s'est imposée comme la tenante de l'écoféminisme et d'une écologie "radicale", en opposition à la ligne plus réformiste de Yannick Jadot, durant ce débat interne a poursuivi: "C'est à Yannick Jadot de voir s'il est en mesure de le transformer. On ne peut pas ignorer ce qu'il s'est passé derrière la candidature que je porte et on ne peut pas non plus juste reprendre des éléments de langage."
Sandrine Rousseau et Yannick Jadot, qui dès mardi lui a réservé une "place essentielle" dans son dispositif de campagne, doivent se rencontrer dans l'après-midi. Elle a livré une bande-annonce d ecette entrevue: "Je vais lui dire qu'il doit entendre que les courbes étaient en train de se croiser."
Tandis que son intervieweur lui demandait si elle croyait qu'à "une semaine près, elle gagnait" la primaire, elle a rétorqué: "Je pense, il n'y a même pas tellement de doute."
La députée Danièle Obono dépeinte en esclave: Valeurs actuelles condamné pour injure raciste
L'hebdomadaire Valeurs actuelles qui avait publié en août 2020 un récit dépeignant la députée France insoumise Danièle Obono en esclave, vient d'être condamnée pour injure publique.
Le directeur de publication du magazine, renvoyé devant le tribunal pour ce délit, ainsi que le directeur de la rédaction et le rédacteur de l'article, jugés pour leur part pour complicité, ont été condamnés à une amende de 1.500 euros chacun et à verser 5.000 euros de dommages et intérêts à l'élue.
La parlementaire s'est félicitée sur Twitter de ce jugement.
Retrouvez notre article qui résume l'affaire.
Hollande appelle à faire "la part des choses entre poussées médiatiques et la réalité de la France"
En marge d'une visite dans l'Indre-et-Loire, François Hollande a appelé à "faire la part des choses entre des poussées médiatiques, des modes et (...) la réalité de la France".
"Il y a comme ça des pulsions qui arrivent dans des campagnes, des traductions qui peuvent être conjoncturelles et qui ne sont pas forcément durables. Mais il y a le risque que les thèses extrémistes (...) finissent par contaminer les propos politiques", a également ajouté l'ancien président de la République.
Le gouvernement veut se laisser la possibilité de recourir au pass sanitaire "jusqu'à l'été", annonce Gabriel Attal
Le pass sanitaire étendu jusqu'à l'été? C'est une possibiité que voudrait se réserver le gouvernement. Lors de la conférence de presse hebdomadaire tenue à l'issue du Conseil des ministres, Gabriel Attal a affirmé la volonté de l'exécutif de prolonger le pass sanitaire, bien au-delà donc de l'échéance du 15 novembre initialement prévue.
Un projet de loi sera proposé en Conseil des ministres le 13 octobre, prévoyant de recourir à ces dispositifs "pendant plusieurs mois encore":
"Ce que nous voulons et allons proposer au Parlement, c'est de maintenir pendant plusieurs mois encore, jusqu'à l'été, la possibilité d'y recourir", a précisé le porte-parole du gouvernement.
Le porte-parole du gouvernement confirme le test de nouveaux protocoles sanitaires à l'école dans dix départements
Terminées les classes fermées au premier cas de Covid détecté? Le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal a confirmé lors de la conférence de presse le test dans 10 départements d'un nouveau protocole sanitaire à l'école.
Alors que les indicateurs de l'épidémie de Covid-19 continuent de baisser plus de trois semaines après la rentrée scolaire, le ministre de l'Education Jean-Michel Blanquer avait annoncé hier déjà réfléchir à un nouveau protocole dans les établissements scolaires, sur France Info ce mardi.
"L'expérimentation consiste, à chaque fois qu'il y a un cas positif, à tester toute la classe et à ne renvoyer à la maison que ceux qui sont positifs", avait détaillé le ministre de l'Éducation.
Alors qu'actuellement, une classe est fermée dès qu'un cas positif est détecté, avec ce nouveau schéma, si un enfant est testé négatif, il continuera ainsi à suivre les cours normalement, ce qui devrait limiter les fermetures de classes.
Gabriel Attal appelle à l'accélération du rappel vaccinal
Lors de la conférence de presse hebdomadaire qui se tient à l'issue du conseil des ministres, le porte-parole du gouvernement a martelé l'importance du rappel vaccinal contre le Covid-19:
"Nous avons des exemples à l'international qui montrent que l'immunité diminue avec le temps, qui montrent qu'il y a un risque pour les personnes qui ont schéma vaccinal complet, que les défenses immunitaires diminuent. C'est très important que ce rappel vaccinal se fasse" a-t-il affirmé.
Le porte-parole du gouvernement a également rappelé qu'un million de personnes concernées avaient eu recours au rappel vaccinal jusqu'ici, et que la campagne de vaccination pour cette fameuse troisième dose était poursuivie dans les Ephad.
La Ligue de Défense Noire Africaine officiellement dissoute, selon Gérald Darmanin
La LDNA a été officiellement dissoute ce mercredi, selon le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin. Il y a quelques jours, le locataire de Beauvau avait annoncé le lancement d'une procédure de dissolution de cette organisation, qu'il qualifiait de "raciste" et appelant à "la haine et à la discrimination".
Le décret de dissolution a été finalement présenté en conseil des ministres aujourd'hui, "conformément aux instructions du Président de la République", selon Gérald Darmanin:
"Zemmour, c'est radio Kaboul", estime Gérard Larcher
Interviewé ce matin sur Europe 1, le président du Sénat a tenu des propos très durs à l'encontre du polémiste.
"Sur son positionnement vis-à-vis des femmes en politique, j'ai l'impression d'entendre radio Kaboul", juge le patron du Palais du Luxembourg.
Figure respectée de la droite, Gérard Larcher tente de clore le débat sur une éventuelle participation d'Eric Zemmour au Congrès des LR le 4 décembre prochain.
Si Christian Jacob, le patron du parti, a fermé la porte à toute candidature, François-Xavier Bellamy a jugé que la droite avait "besoin du débat le plus ouvert et le plus large possible".
Retrouvez notre article sur le sujet.
Damien Abad propose un débat télévisé à Eric Zemmour
Le patron des députés LR a envoyé un courrier au polémiste pour lui proposer de débattre à la télévision.
"J’entends ici ou là qu’Eric Zemmour aurait des convictions en partage avec la droite républicaine (...). Les Français ont droit à un débat éclairé pour comprendre ce qui différencie la droite républicaine d’Eric Zemmour Je l’invite à s’y confronter en débattant ensemble", explique le parlementaire.
Il fait notamment référence à l'eurodéputé François-Xavier Bellamy qui a déclaré ne "pas voir ce qui empêcherait" la participation du journaliste au Congrès des LR hier sur Public Sénat.
Christian Jacob, le numéro un du parti, a pour sa part, fermé la porte à une candidature Zemmour au Congrès.
Retrouvez notre article sur les déchirements de la droite autour de la probable candidature de l'écrivain.
"Une sorte de lâcheté": Véran "effaré" par les propos de Taubira sur la vaccination
Interrogé sur les propos de l'ancienne garde des Sceaux Christiane Taubira, qui se refusait à appeler les Guyanais à la vaccination, estimant ne pas disposer "des éléments d'information" nécessaires, Olivier Véran a critiqué une forme de "lâcheté" de la part de l'ancienne ministre.
"J'ai été effaré d'entendre cette incapacité, cette espèce de paralysie, cette peur, cette forme de lâcheté qui consiste à dire 'moi je suis vaccinée, mais je n'ai pas de conseil à donner'", a lancé le ministre.
Olivier Véran a par la suite appelé Christiane Taubira à revoir sa position sur ce point.
"Quand on aime profondément la Guyane et les Guyanais, comme Christiane Taubira, on prend ses responsabilités et on leur dit: 'protégez-vous'", a lancé le ministre.
Darmanin: "Nous travaillons à mettre en place le vote à distance"
Alors que l'année 2022 sera marquée par des échéances électorales majeures avec l'élection présidentielle et les législatives, Gérald Darmanin a indiqué sur BFMTV-RMC que le gouvernement planche sur le vote à distance, non pas pour ces prochains scrutins, mais pour ceux à suivre.
"Le président de la République, dans son programme, a dit qu'il était favorable au vote à distance. Donc je travaille sous son autorité à mettre en place le vote à distance", a ainsi déclaré Gérald Darmanin.
"C'est une question difficile car on doit vérifier l'identité de la personne qui vote. (...) Le vote à distance est techniquement possible, il va avec l'identité numérique".
Olivier Véran signera ce matin les décrets d'application de la PMA pour toutes
Interrogé sur France Inter sur la question de l'application de la loi autorisant la PMA pour toutes les femmes, le ministre de la Santé Olivier Véran a affirmé qu'il signerait les décrets d'application dès ce mercredi.
"Aujourd'hui, dès ma sortie de ce studio", a-t-il même précisé.
Les décrets d'application de cette loi très attendue sont parus ce matin au Journal officiel, ouvrant la voie aux premières grossesses de couples de femmes.
Darmanin: "Marine Le Pen reste sur ses vieilles lunes identitaires"
Au micro de Jean-Jacques Bourdin, Gérald Darmanin a également réagi au projet de référendum sur l'immigration porté par Marine Le Pen, qu'elle mettrait en oeuvre si elle accédait à l'Elysée.
"Marine Le Pen reste sur ses vieilles lunes identitaires", a estimé le ministre de l'Intérieur. "Un débat sur l’immigration, c’est comme si vous faisiez un référendum sur le beau temps. On ne peut pas s’asseoir sur l’Europe, sur les traités internationaux", a-t-il ajouté.
"Il y a une différence entre écrire des livres, être polémiste et avoir l'exercice concret du pouvoir", a encore lancé Gérald Darmanin, dans une allusion à peine déguisée à Eric Zemmour, qui ne s'est toujours pas prononcé sur sa candidature à la présidentielle.
Olivier Véran: "Il n'y a pas eu d'effet rentrée scolaire"
Invité de France Inter, le ministre de la Santé Olivier Véran s'est félicité de l'absence de rebond après un mois de réouverture des établissements scolaires.
"Il n'y a pas eu d'effet rentrée scolaire, pas eu d'effet rentrée universitaire, pas eu d'effet du début de l'automne, pas de nouveau variant résistant aux vaccins. Pour l'instant, la trajectoire est bonne", a détaillé le ministre.
Gérald Darmanin sur l'octroi de visas: "On va faire au cas par cas"
Invité ce mercredi matin de BFMTV-RMC, le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin est revenu sur l'annonce de la baisse de l'octroi de visas pour les Marocains, Algériens et Tunisiens. "L'idée c'est de faire un visa sur deux pour le Maroc et l'Algérie, un sur trois pour la Tunisie", a-t-il expliqué, précisant que ce sera "au cas par cas".
Et d'ajouter, à l'attention des pays du Maghreb: "Tant que vous n'acceptez pas vos ressortissants, nous n'acceptons pas vos compatriotes".
Olivier Véran annonce le lancement du 3114, numéro vert pour les urgences psychiatriques
Invité de la matinale de France Inter, le ministre de la Santé Olivier Véran a annoncé le lancement du 3114, un numéro vert ouvert à partir de ce vendredi via lequel les personnes en détresse psychologique pourront joindre directement un professionnel de la santé mentale.
Hommage national au sergent Maxime Blasco
Emmanuel Macron présidera un hommage national au sergent Maxime Blasco, mort lors d'une opération de surveillance anti-jihadiste au Mali.
La cérémonie se tiendra dans la cour des Invalides, à partir de 16h30. Un hommage à suivre en direct sur BFMTV.
Tous les détails ici.
Nombreux invités politiques dans les médias
Beaucoup d'invités politiques dans les matinales des médias français ce mercredi. Le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin sera notamment l'invité de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV-RMC.
8h, Public Sénat: Valérie Rabault, députée et présidente du groupe PS à l'Assemblée
8h14, Europe 1: Gérard Larcher, président du Sénat et sénateur LR des Yvelines
8h15, Sud Radio: Hervé Morin, président de la région Normandie et président des Centristes
8h20, France Inter: Olivier Véran, ministre des Solidarités et de la Santé
8h20; RFI/France 24: David Cormand, eurodéputé EELV
8h30, LCI: Valérie Pécresse, présidente de la région Ile-de-France et candidate à l'élection présidentielle
8h30, France Info: Marlène Schiappa, ministre déléguée chargée de la Citoyenneté
8h35, BFMTV-RMC: Gérald Darmanin, ministre de l'Intérieur
Conseil des ministres au menu de l'exécutif
Comme chaque mercredi, Emmanuel Macron présidera un Conseil des ministres, réuni à l'Elysée à 10h30. A l'issue de celui-ci, le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal s'exprimera lors d'un point-presse.
Bonjour à tous !
Bienvenue dans ce live consacré à l'actualité politique de ce mercredi 29 septembre.