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Présidentielle: Bardella veut que Macron "arrête de se cacher et annonce sa candidature"

La candidate victorieuse de la Primaire populaire, Christiane Taubira, était l'invitée de Jean-Baptiste Boursier pour "BFM Politique" ce dimanche à la mi-journée.

Ce direct est terminé

Ce direct consacré à l'actualité politique de ce dimanche est terminé. Merci de nous avoir suivi sur BFMTV.com.

Bardella veut que les harceleurs sexuels soient "inscrits au fichier des délinquants sexuels"

"Je pense que les harceleurs sexuels doivent être inscrits au fichier des délinquants sexuels", a défendu Jordan Bardella ce dimanche sur BFMTV.

"Je suis assez opposé à la chasse à courre, mais je ne suis pas pour l'interdiction de la chasse", déclare Bardella

"Je suis assez opposé à la chasse à courre, mais je ne suis pas pour l'interdiction de la chasse", a indiqué Jordan Bardella ce dimanche sur BFMTV, estimant que c'était "une pratique beaucoup trop brutale".

"Je pense que la chasse fait partie de nos traditions, et que réglementée, encadrée par des règles bien strictes et bien définies, elle doit pouvoir se pratiquer", a-t-il ajouté.

"Le problème de l'interdiction de la chasse le week-end, c'est que les chasseurs ont une vie, les chasseurs travaillent, si vous les empêchez de chasser le week-end, ça revient à interdire la chasse", juge le président du RN.

Le maire LR de Cannes David Lisnard parraine Jean-Luc Mélenchon par "souci démocratique"

Dans un "souci démocratique", David Lisnard, maire Les Républicains (LR) de Cannes et président de l'Association des maires de France, dit avoir choisi d'accorder son parrainage à Jean-Luc Mélenchon en vue de l'élection présidentielle, ce dernier rencontrant des difficultés pour récolter les 500 signatures nécessaires.

>> Notre article à lire ici

Le Pen a "450 promesses" de parrainage, indique Bardella ce dimanche

"En l'état actuel des choses, Marine Le Pen n'a pas les parrainages pour être candidate", a déclaré ce dimanche Jordan Bardella sur BFMTV.

"Nous sommes ce soir à 450 promesses", a-t-il détaillé.

500 signatures sont nécessaires pour pouvoir être officiellement candidat.

Jordan Bardella attend "qu'Emmanuel Macron arrête de se cacher et annonce sa candidature à l'élection présidentielle"

"J'attends qu'Emmanuel Macron arrête de se cacher et annonce sa candidature à l'élection présidentielle", a lancé Jordan Bardella ce dimanche sur BFMTV.

Ralliement de Bay à Zemmour: Bardella ne veut "pas passer la totalité de la campagne présidentielle à commenter le départ de 10 personnes"

"Je ne vais pas passer la totalité de la campagne présidentielle à commenter le départ de dix personnes", a réagi ce dimanche sur BFMTV Jordan Bardella, interrogé sur le ralliement de Nicolas Bay à Éric Zemmour, qui est entré samedi sur la scène du meeting d'Éric Zemmour sur le thème de James Bond, alors qu'il est accusé d'espionnage par le RN.

"Je trouve ça triste, on est à 50 jours de l'élection présidentielle", a lâché le président du RN sur notre antenne.
"On est à 50 jours de l'élection présidentielle, et on a un peu le sentiment que l'entourage d'Éric Zemmour est devenu une amicale d'anciens du Rassemblement national, de gens qui sont partis parce qu'ils ne trouvaient pas chez nous soit les responsabilités qu'ils voulaient, soit qui trouvaient qu'on parlait trop de pouvoir d'achat et qu'on n'était pas assez brutal ou violent sur l'immigration", a tancé Jordan Bardella.

"On s'amuse, on rigole, on se met en scène, je trouve pas ça très sérieux à 50 jours du premier tour de l'élection présidentielle", a-t-il ajouté.

39% de Français satisfaits d'Emmanuel Macron comme président de la République, selon un sondage

39% des Français se déclarent satisfaits d'Emmanuel Macron comme président de la République, selon le baromètre réalisé par l'Ifop pour le Journal du dimanche (JDD). Un chiffre en légère hausse de deux points, après une chute de quatre points lors du précédent sondage le mois dernier.

Dans le détail, 7% se déclarent "très satisfaits" et 32% "plutôt satisfaits".

A contrario, 59% des personnes interrogées se déclarent mécontentes, dont 30% "plutôt mécontentes" et 29% "très mécontentes".

Anne Hidalgo dévoile son affiche de campagne et son slogan: "Ensemble changeons d'avenir"

"Ensemble changons d'avenir", prône le slogan d'Anne Hidalgo, révélé ce dimanche via l'affiche de campagne de la candidate socialiste à la présidentielle.

Une affiche montrant la candidate souriante, face à l'objectif de l'appareil photo.

L'affiche officielle d'Anne Hidalgo, dévoilée dimanche 20 février 2022
L'affiche officielle d'Anne Hidalgo, dévoilée dimanche 20 février 2022 © DR

Mélenchon veut "interdire les chasses cruelles" et que "la chasse ne soit pas possible les week-ends et pendant les vacances scolaires"

Au lendemain de la mort d'une randonneuse de 25 ans dans le Cantal, tuée par une balle perdue d'une chasseuse de 17 ans lors d'une battue au sanglier, Jean-Luc Mélenchon a souligné ce dimanche "l'abomination" de ce drame.

"Une personne est morte, 25 ans, c'est la vie qui commence, et l'autre à 17 ans, elle voit sa vie gâchée, naturellement je suis certain qu'elle n'a pas voulu tuer cette personne. Tout ça est une catastrophe abominable qui doit nous faire réfléchir", a poursuivi le candidat à la présidentielle, invité de l'émission Dimanche en politique, sur France 3.

"Personnellement, je ne suis pas pro-chasse", a précisé le député des Bouches-du-Rhône, indiquant qu'il n'interdirait pas la chasse s'il était élu président de la République, car il prendrait "un risque considérable d'ouvrir dans ce pays un bazar du tonnerre de Dieu dont personne ne verrait le bout".

"Ce qui est à l'ordre du jour, c'est l'interdiction des chasses cruelles, la chasse à la glu et les choses de cette nature. Par contre, pour ce qui concerne les conflits d'usage, il faut que la chasse ne soit pas possible les week-ends et pendant les vacances scolaires, parce que c'est là que le risque serait le plus grand", a défendu Jean-Luc Mélenchon.

Ukraine: "Les Français doivent être non-alignés" entre les États-Unis et la Russie, défend Jean-Luc Mélenchon

"Il faut cesser de faire, dans un pays libre comme le nôtre, cette propagande absurde qu'on fait à chaque guerre des Américains, pour leur donner raison avant même que quoi que ce soit n'ait commencé", a défendu ce dimanche Jean-Luc Mélenchon, invité de l'émission Dimanche en politique, sur France 3.

"Les Français doivent être non-alignés, ni avec l'un ni avec l'autre. Cela signifie comme conséquence pratique, les Russes ne doivent pas passer la frontière de l'Ukraine, qui doit être respectée absolument, et les Américains ne doivent pas chercher à annexer l'Ukraine dans l'Otan", a poursuivi le candidat de La France insoumise à la présidentielle, jugeant que la France ne pouvait à l'heure actuelle constituer un point d'équilibre car "elle est alignée ostensiblement sur les États-Unis d'Amérique".

"Le général de Gaulle, qui avait imaginé la sortie du commandement intégré de l'Otan et la mise à distance de l'Otan (...) avait une attitude qui était en permanence extrêmement équilibrée, et lorsqu'une crise particulièrement grave est arrivée une fois, la crise des fusées (missiles, NDLR) à Cuba, à ce moment-là il a, compte-tenu des circonstances, évalué que la bonne raison était du côté américain. Mais il est parti de l'idée de la bonne raison, pas de l'alignement par avance", a insisté Jean-Luc Mélenchon.

"C'est comme ça qu'on devient un interlocuteur crédible", a-t-il appuyé.

"Quand on est à gauche, voter Mélenchon ce n'est pas le vote utile, c'est le vote futile", lance Olivier Véran

Évoquant de nouveau la campagne présidentielle, Olivier Véran, venu du Parti socialiste avant de rajoindre la République en marche (LaREM), a soutenu: "Quand on est à gauche, sociale démocrate ou social-libéral, le vote Mélenchon ce n'est pas le vote utile, c'est le vote futile".

Tensions entre l'Ukraine et la Russie: la France ne doit pas être "le porte-voix de l'Otan et de l'Union européenne", lance Marine Le Pen

"La diplomatie ça se fait pas au dernier moment", a critiqué ce dimanche sur France Inter Marine Le Pen concernant l'action de la France dans le cadre des tensions entre la Russie et l'Ukraine.

"Le succès d'une diplomatie nécessite d'avoir des relations qui soient des relations en même temps anciennes et travaillées depuis des années, c'est la raison pour laquelle j'ai regretté qu'Emmanuel Macron ait virevolté, ait changé d'avis sur les relations qu'il disait vouloir avoir dès le début de son quinquennat", a tancé la candidate du Rassemblement national à la présidentielle au cours de l'émission Questions Pol.
"Je pense que la France ne peut avoir véritablement une voix qui porte que si elle apparaît comme la France et comme personne d'autre, pas comme le porte-voix de l'Otan, pas comme le porte-voix de l'Union européenne, parce que c'est le fait qu'elle soit la France, une puissance d'équilibre, qui fait quelle peut être entendue par des grandes puissances dont elle resterait à équidistance comme les États-Unis évidemment, et la Russie", a ajouté Marine Le Pen.

"Si elle avait supprimé le numerus clausus, on n'aurait pas de déserts médicaux aujourd'hui": Véran tacle Pécresse

Olivier Véran s'est fait plus politique, alors. Il a taclé le programme de Valérie Pécresse en matière de santé qu'il a jugé "figé au XXe siècle", notamment sur la question des modalités de la rémunération des consultations.

Il a encore reproché à Valérie Pécresse de ne pas en avoir fait assez quand elle était ministre de l'Enseignement supérieur: "Si Valérie Pécresse avait supprimé le numerus clausus il y a une dizaine d années on n'aurait pas de désert médicaux aujourd'hui".

"C'est une faute collective", a-t-il toutefois fait mine de la dédouaner.

"Il a fallu près de 50 ans pour qu'un président dise: 'on arrête avec le numerus clausus", a-t-il encore vanté: "On l'a fait en 2018, c'était au programme".

Pour Taubira, "Pécresse a fait sauter la digue" avec l'extrême-droite

"Pécresse a fait sauter la digue. C'est elle qui s'est appropriée la sémantique de l'extrême-droite", a estimé Christiane Taubira, alors que Valérie Pécresse a fait polméique en reprenant le terme de "grand remplacement".

Olivier Véran "s'inscrit dans le désir" d'un nouveau mandat d'Emmanuel Macron

Olivier Véran, qui a confirmé que l'actualité internationale retardait une éventuelle annonce de candidature d'Emmanuel Macron, a précisé qu'il s'"inscrivait dans le désir" de celle-ci.

Les EHPAD doivent-elles "échapper au privé" ? Le "Non mais" d'Olivier Véran

Faut-il alors que les EHPAD échappent au secteur privé? C'est la question qui a été posée à Olivier Véran. "Je ne dis pas qu'elles devraient échapper au secteur privé", a-t-il balancé, ajoutant: "L'objectif est que quand une personne âgée est dans une institution on ait la garantie qu'elle sera bien soignée et pris en charge". Ce qui "soulève la fragilité du modèle" du secteur lucratif en la matière, a-t-il estimé.

"La mission d'un EHPAD est une mission particulière au service du public des outils intéressants dans la loi pour donner une orientation sociale aux établissements", a-t-il appelé.

En revanche, tandis que certains observateurs ont imaginé une campagne d'Emmanuel Macron portant l'idée d'un "bouclier dépendances", il a rejetté, mettant en valeur "une réforme déjà adoptée", "la création d'une cinquième branche de la Sécu" ad hoc.

Christiane Taubira: "Je n'ai pas d'adversaire à gauche"

Interrogée sur les divisions à gauche, l'ancienne garde des Sceaux a affirme de pas avoir "d'adversaire à gauche".

"Depuis le début de la campagne, je n'ai pas dit un quart de virgule contre un candidat de gauche alors que je n'ai pas été épargnée", a-t-elle ajouté.

"Les Français en ont marre, ils veulent qu'on se battent", a-t-elle assuré. "Si on se contente d'arrangements, on ne va pas gagner davantage".

"Je suis ouverte à toutes les conversations", a-t-elle encore assuré.

Christiane Taubira: "Je ne suis pas là pour un vote utile, je suis là pour combattre l'extrême-droite"

"Je ne suis pas là pour un vote utile, je suis là pour combattre l'extrême-droite", a assuré Christiane Taubira.

"C'est un manque de respect vis-à-vis des citoyens de leur dire de voter utile face à l'extrêm-droite", a-t-elle assuré.

"Notre responsabilité, et particulièrement de la gauche, est de lutter contre la peur", a-t-elle ajouté.

Maltraitances en EHPAD: "Vous croyez qu'il a fallu un livre pour qu'on sache les difficultés?" Véran défend la politique de son ministère

Olivier Véran a aussi été interrogé au sujet des maltraitances en EHPAD et sur l'ignorance supposée du problème par son ministère. "Vous pensez sincèrement qu'il a fallu un livre pour qu'on sache ces difficultés ?" s'est-il indigné.

Il a pointé une maldonne dans les mécanismes financiers et les marges dégagées dans ces conditions par les groupes privés: "Je considère que c'est un problème que nous regardons de près  via une inspection des finances que j'ai demandée". 

Il a encore promu le bilan de son ministère en matière de ^pris een charge de la vieillesse: "L'enjeu principal est de vieillir le plus longtemps chez soi. Quand on ne peut plus vieillir à la maison, là il y a passage en institution. On veut alors de la bientraitance", a-t-il introduit.

Il a enchaîné: "Pour la bientraitance il faut du personnel.Nous avons augmenté les effectifs de 10%", a-t-il affirmé, disant l'avoir appuyé sur un "budget de 2,5 milliards d'euros". "Le meilleur moyen de savoir ce qu'il se passe en EHPAD c'est de demander aux soignants", a-t-il encore fait valoir, insistant sur la question "de la certification et des contrôles". Il a aussi souligné que les accords de Ségur avait permis l'augmentation des revenus d'"1,5 million de soignants".

Christiane Taubira: "Le grand remplacement est une chimère cynique"

"Ce vote de la peur est un vote important, qu'il faut considérer", a estimé Christiane Taubira à propos du vote pour l'extrême-droite.

"Le grand remplacement est une chimère cynique", a-t-elle ajouté, estimant qu'il faut plutôt combattre le "grand renoncement".

Taubira renouvelle son appel à Zemmour pour débattre avec lui

Christiane Taubira a expliqué qu'Éric Zemmour avait "refusé" de débattre avec elle.

"Ma position politique est de ne pas débattre avec des gens comme M. Zemmour car ça revient à réhabiliter des idées d'extrême-droite (...) il demeure que mes déplacements de terrain, les gens m'ont dit 'on ne peut pas lui répondre, vous vous pouvez'. C'est ce qui m'a conduit à changer d'avis", a-t-elle déclaré, renouvellant son appel au candidat d'extrême-droite pour débattre avec lui.

Parrainages: pour Taubira, "il y a une interrogation démocratique"

"Il y a une interrogation démocratique", au sujet des parrainages, a affirmé Christiane Taubira.

"Je confirme qu'il y a un sujet entre un tel nombre de promesses de parrainages et si peu de réalisations", expliquant qu'elle avait "plus de 600 promesses de parrainages".

"La quatrième dose n'est pas nécessaire": Véran assure prendre en compte la "fatigue vaccinale des Français"

Le ministre de la Santé a également évoqué la question de la quatrième dose: "Nous avons sollicité des autorités scientifiques sur cette quatrième dose, elles ont estimé que cela n'était pas nécessaire". 

"S'il devait y avoir une recrudescence épidémique à l'automne nous aviserons", a-t-il toutefois prolongé. "Mais nous tenons compte de la 'fatigue vaccinale', une dose, deux doses, trois doses, les Français disent 'yen a marre'. Nous ne vaccinons que lorsque c'est absolument nécessaire", a-t-il assuré. 

olivier véran a encore dû s'expliquer sur l'éventuelle pérennisation du vaccin anti-Covid. Il a planté plusieurs scénarios. "Il y a un scénario dit grippal, non-obligatoire mais où on se vaccine tous les ans, une logique endémique quand le virus circule et une logique épidémique entraînant une politique globale".

Appel aux dons: "Je ne suis pas humiliée de faire une campagne citoyenne", affirme Taubira

Alors que l'ancienne garde des Sceaux a lancé un appel aux dons pour financer sa campagne, elle affirme qu'elle savait "en entrant dans cette campagne (qu'elle) ne disposai(t) pas de fonds".

"C'est la cohérence de toute ma campagne", a-t-elle affirmé, ajoutant: "Je ne suis pas en train de mendier 5 ou 10 euros (...) je ne suis pas humiliée de faire une campagne citoyenne".

"Nous constatons un effondrement de la vague Omicron", se félicite Véran

Olivier Véran s'est félicité au micro de RTL ce dimanche: "Nous constatons un effondrement de la vague Omicron qui réduit sa vitesse par deux depuis plusieurs semaines". Il a encore évoqué plus tard une "décrue épidémique très forte et très intense".

Christiane Taubira: "La Primaire populaire ne m'a absolument pas contactée"

"La Primaire populaire ne m'a absolument pas contactée, alors qu'elle sait comment me joindre", a expliqué Christiane Taubira.

L'ancienne garde des Sceaux a notamment perdu le soutien du Parti radical de gauche. "Sur le terrain, le rassemblement, je le vois", a-t-elle assuré.

Levée de l'obligation du port du masque à la mi-mars: "Je ne donnerai pas de date, ça peut être une semaine avant ou après" confirme Véran

Interrogé sur la levée d el'obligation du port du masque autour du 15 mars, le ministre de la Santé a répondu sur RTL: "Je ne donnerai pas de date. Je parle de mi-mars, ça peut être une semaine plus tôt ou plus tard".

Il a poursuivi en indiquant "ça peut être une semaine plus tôt ou plus tard". "Le virus doit être bien écrasé comme il est en train de l'être actuellement", a-t-il ajouté.

Doit-on s'attendre toutefois à son maintien dans certains lieux comme les transports ? "C'est la question que je pose au Conseil de santé publique", a-t-il nuancé. "Si le virus circule très peu, 15 cas département, un masque dans un bus ne changera pas grand-chose", a-t-il posé.

Chasse: pour Taubira, "il faudra certainement réglementer"

Alors qu'une jeune randonneuse est morte, tuée par une chasseuse dans le Cantal, Christiane Taubira a tout d'abord adressé ses "condoléances" à la famille."

"La chasse a à voir avec la biodiversité (...) mais en l'occurrence, c'est l'usage, le partage des espaces publics. Il faudra certainement réglementer", a-t-elle estimé, ajoutant: "je pense qu'il faut envisager que le dimanche, où il y a des promeneurs, que la chasse ne puisse pas se faire là".

Ukraine: pour Taubira, Macron "a raison d'essayer jusqu'au bout la discussion" avec Poutine

"Le président français a raison d'essayer jusqu'au bout la discussion, même si elle est très probablement désagréable avec le président russe", a estimé Christiane Taubira à propos du conflit ukrainien.

La candidate à la présidentielle a toutefois regretté un manque d'anticipation. "Comment on gère les risques internationaux? Ca se gère en mont, la situation de la Russie avec l'Ukraine, ce n'est pas une découverte. On connaît les risques depuis longtemps", a-t-elle assuré.

Ukraine: "Il n'y a pas d'aboutissement militaire mais diplomatique ou politique", estime Taubira

Invitée de BFM Politique ce dimanche, Christiane Taubira s'est exprimée sur la crise ukrainienne. "L'Union européenne s’est construite sur le refus de la guerre sur son territoire, et ça a été un succès pendant des dizaines d'années", a-t-elle déclaré.

"Aujourd'hui, la question, tardive, c’est celle de notre incapacité diplomatique (...) de notre passivité", a-t-elle regretté, jugeant qu'"il n'y a pas d'aboutissement militaire mais diplomatique ou politique".

Olivier Véran encore ministre en cas de réélection d'Emmanuel Macron ? "Je ne suis pas rincé loin de là", assure l'intéressé

Olivier Véran, ministre de la Santé, est l'invité du Grand Jury RTL- Le Figaro - LCI ce dimanche. Il a été interrogé sur son poids politique et la possibilité de le voir rempiler rue de Ségur en cas de réélection éventuelle d'Emmanuel Macron. "Ce qui est certain, c'est que je ne suis pas rincé, loin de là", a-t-il rétorqué. 

Et pourquoi pas Matignon ? " Un poste qui ne se discute pas, je ne suis pas là pour de la politique-fiction", a-t-il en revanche tancé.  

Nicolas Dhuicq, ex-LR, rejoint Éric Zemmour

Nicolas Dhuicq, ex-député de l'Aube, annonce ce dimanche rejoindre Éric Zemmour.

L'ancien maire de Brienne-le-Château, défait lors des municipales de 2020, était resté près de trois décennies à l'UMP, avant d'adhérer à LR, puis le mouvement de Nicolas Dupont-Aignan, Debout la France.

"Un message d’espoir s’est levé, je ne puis rester l’arme au pied alors que des camarades luttent", a-t-il écrit sur Twitter.

Éric Zemmour: "Valérie Pécresse essaye de parler comme moi pour essayer de retenir les électeurs de droite"

Le candidat de Renconquête! à la présidentielle Éric Zemmour est revenue sur le meeting de Valérie Pécresse à Paris, pour lequel elle a été critiquée, notamment pour avoir évoqué le thème du "grand remplacement".

"Valérie Pécresse est sous la pression de Xavier Bertrand, Jean-François Copé...", a estimé sur Europe 1 le polémiste.

"Elle essaye de parler comme moi pour retenir les électeurs de droite de venir vers moi, et en même temps, elle donne des gages aux centristes. C'est la manoeuvre habituelle des LR", a-t-il taclé.

Ukraine: pour Zemmour, "l'extension de l'OTAN depuis 30 ans à l'Est (...) est vue légitimement comme une agression par la Russie"

Invité d'Europe 1 ce dimanche, Éric Zemmour s'est exprimé sur la crise ukrainienne, jugeant que "l'extension de l'OTAN depuis 30 ans à l'Est, (...) est vue légitimement comme une agression par la Russie".

Pour le candidat de Renconquête, Emmanuel Macron a "raison" de tenter d'éviter la guerre mais "que sa démarche est vouée à l'échec". "Nous sommes vus par les Russes comme les petits télégraphistes de Whashinton (...) notre parole ne vaut rien", a-t-il ajouté.

Interrogé sur une possible invasion russe en Ukraine, Éric Zemmour n'y "croi[t] pas".

Parrainages: Zemmour juge "très possible" que Le Pen, Mélenchon et lui ne participent pas à l'élection

Évoquant les 500 signatures nécessaires pour se présenter à la présidentielle, Éric Zemmour a affirmé que ce serait "très possible" qu'il ne les obtiennent pas, ainsi que Marine Le Pen et Jean-Luc Mélenchon.

"Je passe un temps fou à téléphoner aux maires pour essayer de les convaincre (...) la plupart me disent: 'oui, vous êtes formidables, on est d'accord avec vous' mais ils ont peur", a affirmé le candidat de Reconquête! ce dimanche sur Europe 1.

Selon lui, ne pas obtenir les 500 parrainages "serait le révélateur d'un dévoiement de cette procédure de parrainages", et rendrait l'"élection illégitime".

Le candidat d'extrême-droite regrette notamment que "Hidalgo représente 2% dans les sondages et qu'elle ait les 500 parrainages".

> Notre article complet est à retrouver ICI.

Parrainages: le porte-parole du Rassemblement national admet "une vraie incertitude"

"Il y a une vraie incertitude, nous ne savons pas si nous aurons nos 500 parrainages", a reconnu sur France info ce dimanche Laurent Jacobelli, porte-parole du Rassemblement national.

D'après lui, "le système est complètement verrouillé, les maires sont parfois sous l'influence de barons locaux qui leur demandent de ne pas parrainer certains candidats".

"Je lance un appel aux maires: rien ne vous arrivera si vous parrainez Marine Le Pen", a-t-il affirmé.

Les anciennes ministres socialistes Marisol Touraine et Élisabeth Guigou rejoignent Emmanuel Macron

Les anciennes ministres socialistes Marisol Touraine et Élisabeth Guigou ont annoncé ce samedi qu'elles soutiennent Emmanuel Macron dans la course à l'Élysée.

La première, ex-ministre socialiste de la Santé Marisol Touraine a expliqué dans entretien au Parisien qu'elle soutiendra Emmanuel Macron à la présidentielle car il représente "le vote utile et responsable".

"Notre pays est confronté à des défis internationaux, sociaux, environnementaux majeurs. Il est travaillé par des peurs. L'extrême droite est très forte, elle attise les haines et divise le pays. Face à cela, la droite s'est fourvoyée et la gauche s'est évaporée. Le vote utile et responsable, c'est Emmanuel Macron", explique celle qui a côtoyé l'actuel chef de l'Etat dans le gouvernement de François Hollande.

De son côté, Élisabeth Guigou, ex-garde des Sceaux, a rejoint l'équipe de campagne d'Emmanuel Macron, d'après les informations du JDD.

Anne Hidalgo: "Je suis cette gauche qui peut conduire au pouvoir et au gouvernement"

"Je suis cette gauche qui peut conduire au pouvoir et au gouvernement", a insisté dimanche la candidate socialiste à la présidentielle, Anne Hidalgo, appelant notamment les électeurs de Christiane Taubira à se joindre à elle.

Interrogée sur radio J si le vote utile à gauche, c'était elle, la maire de Paris a répondu: "mais bien sûr. J'ai cette solidité" par "mon histoire, mon parcours, mon expérience".

"S'il y a un vote utile, c'est celui d'une gauche en capacité de rassembler une majorité de Français et de mener une vraie politique. Je suis cette gauche-là qui peut conduire au pouvoir et au gouvernement", a-t-elle ajouté.

Elle s'est dite "choquée" cette semaine que l'ex-candidate PS Ségolène Royal estime que le vote utile à gauche était Jean-Luc Mélenchon.

> Notre article complet à retrouver ICI.

Christiane Taubira invitée de BFM Politique ce dimanche, dès 12 heures

Christiane Taubira sera l'invitée de BFM Politique ce dimanche, dès 12 heures.

L'ancienne Garde des sceaux a lancé un appel aux dons samedi pour aider à financer sa campagne.

"En attendant les 500 parrainages, nos moyens sont limités", explique-t-elle dans une vidéo publiée sur les réseaux sociaux, demandant à ses soutiens "une contribution, aussi modeste soit-elle".

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