COYSEVOX : Investir dans des murs commerciaux, c'est rentable !

Carine Dany & Elvire Gallaine - SCP
Avec sa plate-forme d’échange murscommerciaux.com, COYSEVOX est leader de ce marché en France. Un marché dynamique avec une demande supérieure à l’offre qui génère des rentabilités élevées et se démocratise de plus en plus. Rencontre avec Elvire Gallaine, directrice de murscommerciaux.com.
Investir dans des murs commerciaux, c’est d’abord rechercher une rentabilité supérieure à l’immobilier résidentiel !
Tout à fait, nous observons des rentabilités moyennes sur toute la France comprises en 7 et 9 % et à Paris, tout frais inclus à partir de 5 %. Il s'agit donc de taux supérieurs aux moyennes observées pour l’immobilier résidentiel avec des taux compris entre 3 et 5 %.
Le marché des murs commerciaux est très stable avec une mise en vente tous les 50 ans pour un bien, en moyenne. Ce faible turn over s’explique par le maintien de rentabilités élevées et y participe !
Autre avantage important de cet investissement : la tranquillité ! Si le propriétaire est responsable de la mise en location d’un local en état d’usage, le locataire se charge de son aménagement. Chaque locataire développe son propre concept de boutique, son idée d'aménagement et cherche à imprimer son identité par l’aménagement de son local.
murscommerciaux.com est la place de marché n°1 en France pour ce type de biens : comment accompagnez-vous propriétaires et investisseurs ?
COYSEVOX est une agence spécialisée dans les murs commerciaux ce qui donne à nos équipes une connaissance unique de ce marché et de ses évolutions.
Notre conseil s’adapte à la ville, à l’emplacement du bien et à l'ensemble des éléments de son contexte afin de définir la meilleure stratégie pour le propriétaire qui souhaite vendre ou louer son bien. Il existe également différents types de commerce avec ou sans fond de commerce. Un fond de commerce se revend de locataire en locataire. C'est une garantie supplémentaire de stabilité de son locataire puisque celui-ci investit lui-même dans son fonds.
Une des principales évolutions de ces dernières années est l’explosion du e-commerce. Cette mutation des habitudes d’achats des consommateurs n’a pas affecté la rentabilité des biens commerciaux ni leur taux d’occupation puisque 90 % des murs vendus sont occupés. Les commerces ont en revanche évolué. On a ainsi vu fleurir les boutiques de CBD ou les barbiers.
La crise sanitaire a également fait prendre conscience de l’importance des centre-villes animés et l’on constate une augmentation de la demande de murs commerciaux dans les centre-villes portée également par des politiques publiques dynamiques. La situation exceptionnelle de la crise sanitaire n’a pas fait baisser les prix, la demande est toujours aussi forte.
Est-ce un marché ouvert aux primo accédants ?
Ce marché se démocratise de plus en plus du fait de sa rentabilité attractive mais aussi d’une plus grande transparence sur ce type d'investissement. Avec sa plate-forme, murscommerciaux.com, COYSEVOX est précurseur de cette démocratisation. Chaque bien y est détaillé et nos équipes sont disponibles pour conseiller et renseigner.
Les investisseurs sont principalement des foncières familiales et institutionnelles. Pour ouvrir davantage ce marché, COYSEVOX a créé SCI Patricom 1 et SCI Patricom 2 dans lesquelles des investisseurs peuvent prendre une participation dès 10 000 euros et auxquels nous reversons des dividendes.
COYSEVOX, c'est aussi une activité de gestion !
Si nous réalisons plus de la moitié de nos CA en achat et vente de murs commerciaux, une large part est consacrée à la gestion locative de ces biens. Il s’agit d’un service global depuis le quittancement à la relocation. Même si ces cas restent rares, nous apportons également à nos clients une assistance juridique qualifiée grâce à un réseau partenaires d’avocats spécialisés.
COYSEVOX dispose d'équipes réparties sur tout le territoire national pour offrir aux investisseurs et aux propriétaires un service réactif et de proximité.
Ce contenu a été réalisé avec SCP La rédaction de BFM PARIS n'a pas participé à la réalisation de ce contenu.