Avec près de 250.000 spectateurs, l'exposition du cheval Zeus à Nantes est un succès

Le célèbre cheval Zeus admiré lors de la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques à Paris en 2024 était exposé au cours Cambronne à Nantes (Loire-Atlantique) du 19 au 28 septembre. Près de 250.000 spectateurs sont venus l'observer.

Un joli souvenir. Vedette de la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques de Paris, le 26 juillet 2024, le cheval mécanique Zeus avait entamé une tournée de neuf étapes à travers la France et même en Italie pour être observé par le plus grand nombre.

Neuvième et dernière étape à Nantes, en Loire-Atlantique, au plus près de là où il a été construit par l’agence Atelier blam, basé à Couëron. Présenté le 19 septembre dernier jusqu'à ce lundi 28 septembre, on peut dire que Zeus a fait le plein.

Comme le rapporte Actu Nantes, citant le compte X Nantes Hype, une importante file d’attente était visible lors des derniers jours d'exposition de l'équidé argenté.

La machine, qui devait initialement être exposée place Graslin a finalement déménagé à la hâte cours Cambronne alors que le contexte social et les manifestations du 19 septembre auraient compliqué la sécurisation de l'oeuvre.

"Des familles, différentes générations..."

La mairie de Nantes avait alors annoncé à BFMTV une exposition "dans un format unique pour les Nantaises et Nantais". C'est chose faite, cours Cambronne. Selon le service presse de Nantes Métropole, contacté par la rédaction d’Actu Nantes, 250.000 spectateurs sont finalement venus voir Zeus au cours Cambronne.

Au micro d'ICI Loire Océan, Johanna Rolland, la maire de la ville s'est réjoui de l'accueil réservé à cette exposition. "On a vu passer des familles, des hommes et des femmes de différentes générations, de plusieurs communes de la métropole", a-t-elle témoigné.

De son côté, le fondateur de l'atelier Blam Aurélien Meyer, s'est, lui aussi, extasié de voir revenir Zeus. "C'est complètement dingue, c'est vraiment le plus beau cadeau qu'on pouvait avoir ici à Nantes", a-t-il déclaré.

Lilian Pouyaud