Castaldi : « Cette année, les candidats de Secret Story sont bien élevés »

Animateur sur TF1 de Secret Story, Benjamin Castaldi s’est fait connaître en animant les deux premières saisons de Loft Story.

Invité des GG vendredi 11 juillet, Benjamin Castaldi a évoqué son actualité à la télévision avec Secret Story et le dernier JT de PPDA : « La dernière de PPDA, j'ai trouvé ça très émouvant, j'ai failli pleurer. Ce n'est pas la fin du monde mais c'est toujours difficile de quitter une entreprise, après 20 ans de boulot. Ca marque un homme ».

« Secret Story, ça marche très bien en quotidien, on est sur une moyenne de 25% d'individus et 35% de ménagères, c'est ce qu'on s'était fixé donc c'est très bien. Sur le grand rendez-vous hebdomadaire, on est très haut, on est à plus de 30 ou 40 %. Ce qui change aujourd'hui, c'est que l'offre télé est très importante et on se rend compte que quand on propose quelque chose qui n'est pas forcément ancré dans l'évènement et bien les téléspectateurs ont appris à changer de chaîne. On ne sait jamais quelle la part de l'animateur dans le succès de ce type d'émission. Si ça marche on dit que c'est grâce au format, si ça ne marche pas on dit que c'est à cause de l'animateur ».

« Secret Story, c'est Big Brother au départ, le format inventé par les hollandais d'Endemol, un jeu d'enfermement puisqu'ils sont coupés du monde pendant des semaines. Ce qui fait que ça peut continuer à marcher, c'est que l'histoire des secrets est très amusante à suivre. On se sent complice de ce qui se passe dans la maison quand on connaît les secrets des uns et des autres. Franchement, il n'y a rien de pas montrable. On a une chance cette année, c'est que les candidats sont plutôt bien élevés et parlent plutôt un bon français. Ils n'enchaînent pas 12 gros mots à la minute donc on n'a pas de problèmes pour savoir ce que l'on doit montrer ou non ».

« Si l'émission hebdomadaire passe à 22h15, c'est parce qu'on sait que les « prime-time » de téléréalité marchent beaucoup moins bien qu'il y a quelques années. Il vaut mieux faire quelque chose de dense à 22h15 et qui rassemble un maximum de gens. Du coup, on est plus libres de montrer certaines choses ».

La rédaction-Les Grandes Gueules