Mort d'Émile: deux ans après la disparition du garçon, les gendarmes "explorent de nouvelles pistes" au Haut-Vernet

Des gendarmes au Haut-Vernet, le 31 mars 2024. - NICOLAS TUCAT / AFP
Depuis les gardes à vue des grands-parents, de l'oncle et de la tante du petit Émile en mars dernier, les gendarmes de la section de Recherches de Marseille sont revenus à trois reprises au Haut-Vernet.
Non pas pour y réaliser des fouilles mais bien des investigations scientifiques, alors que les conditions climatiques de ces dernières semaines au Haut-Vernet sont similaires à celles, sur la même période en 2023.
"Explorer de nouvelles pistes"
"Nous réalisons actuellement de nouvelles investigations pour explorer de nouvelles pistes", déclare une source proche de l'enquête à BFMTV. Toujours selon cette même source à BFMTV, la cellule Emile reste aujourd'hui "active".
8 à 10 enquêteurs travaillent désormais à plein temps sur ce dossier. Le 27 mars dernier, Jean-Luc Blachon, le procureur d'Aix-en-Provence avait évoqué à l'occasion d'une conférence de presse, notamment des "ossements transportés", un "traumatisme facial violent" et une piste familiale "pas encore refermée".