Selon des sources sud-coréennes, quelque 1.500 soldats des forces spéciales nord-coréennes se trouvent déjà en Russie pour s'acclimater et devraient bientôt se rendre sur le front.
D'après l'agence de renseignement sud-coréenne, la Corée du Nord a décidé d'envoyer jusqu'à 12.000 soldars pour aider son allié russe et 1.500 d'entre eux se trouveraient déjà en Russie.
La Corée du Nord affirme avoir récupéré sur son territoire, ce samedi 19 octobre, l'épave d'un drone prétendument de Corée du Sud. Pyongyang a brandi la menace d'une déclaration de guerre en cas de répétition de cet incident.
Selon différentes sources, de 3.000 à 10.000 soldats de l'armée de Pyongyang s'entraînent actuellement avant de potentiellement rejoindre les rangs russes dans les semaines à venir.
La Constitution de la Corée du Nord désigne désormais la Corée du Sud comme un "État hostile", a annoncé KCNA, l'agence officielle du régime de Pyongyang, ce jeudi 17 octobre.
L'état-major interarmées sud-coréen annonce ce mardi 15 octobre que Pyongyang a "fait sauter des parties des routes Gyeongui et Donghae au nord de la ligne de démarcation militaire".
Un ordre a été émis par le ministère nord-coréen de la Défense ce samedi 12 octobre. Plusieurs unités étaient "prêtes à ouvrir le feu" à la frontière à cause de drones transportants des tracts de propagande envoyés par Séoul sur le territoire de la Corée du Nord.
Kim Yo Jong, l'une des porte-parole les plus importantes du régime nord-coréen, a averti la Corée du Sud d'un "horrible désastre" si Séoul continuait à envoyer des drones chargés de propagande.
Pyongyang "utilisera sans hésiter tous les moyens offensifs à sa disposition, y compris l'arme nucléaire" si "l'ennemi" attaque le pays au moyen de "forces armées", a souligné le dirigeant nord-coréen ce vendredi 4 octobre, dans un contexte de tensions avec Séoul.
