La sextape de Marilyn, une coquille du New York Times de 1853 enfin corrigée

Marylin Monroe. - -
> Le film d'une partie fine de Marilyn Monroe bientôt en vente?
La liaison de Marilyn Monroe avec le président assassiné à Dallas John Fitzgerald Kennedy n'a à l'évidence pas encore livré tous ses secrets. Le dernier en date, mis au jour par Radar Online, sent le soufre. Il s'agit d'une vidéo ayant appartenu à un ex-garde du corps de la star donnant à voir ses ébats de la star avec JFK et son frère Robert.
Par respect envers l'ex-mari de Marilyn Joe DiMaggio, dont il était proche, William Castleberry avait jusque-là gardé par-devers lui ce film licencieux de huit minutes, dont il était entré en possession dans les années 80. Mais, en proie à des difficultés financières, l'ex-garde du corps qui doit payer 200.000 dollars d'amendes après la vente de faux objets, voit maintenant ses biens mis aux enchères. Le bureau du shérif de Tulare, en Californie, va ainsi proposer à la vente cette mystérieuse vidéo.
Mais déjà, certains doutent de la véracité de son contenu. William Castleberry affirme que Marilyn figure bel et bien sur la vidéo. A suivre.
Une coquille de 1853 enfin corrigée dans le "New York Times"
La coquille écorchant le nom du héros du trois fois oscarisé 12 Years a Slave a enfin été corrigée dans le prestigieux New York Times. Ce film, adaptation du récit d'un homme noir libre kidnappé il y a plus de 150 ans, avait fait l'objet d'un article, il y a bien longtemps dans le quotidien. Le journaliste avait en effet changé le nom du Héros de Solomon Northrup en Solomon Northrop. La faute est maintenant réparée.
Quand William et Kate se font snober par le roi maori
L'entretien a été jugé de trop courte durée par Sa Majesté le roi maori Tuheitia Paki. Cet ancien routier vénéré par sa communauté ne rencontrera pas leurs Altesses Royales Kate et William qui effectuent une visite en Australie et en Nouvelle-Zélande.
Les représentants de la monarchie britannique avaient pourtant prévu 90 minutes d'entretien, dans son fief de Turangawaewae, sur l'Ile nord de la Nouvelle-Zélande. En réponse sur son site internet, la monarchie maorie a dénoncé les "bureaucrates sans visage" qui ont organisé ce planning qui n'aurait pas permis de respecter le protocole.