Valérie Trierweiler se sent "plus utile" qu'avant

La compagne du président François Hollande s'est rendue lundi en RDC au chevet de femmes victimes de viol. Elle a confié se trouver "plus utile qu'avant" dans ses nouvelles fonctions.

Valérie Trierweiler était lundi au chevet de femmes victimes de violences sexuelles dans un hôpital de Bukavu, dans l'est de la République démocratique du Congo, en sa qualité d'ambassadrice de la fondation France Libertés.

"Il n'y plus de doute, il faut s'engager. Il faut briser le silence", a martelé la compagne de François Hollande, en visite dans les salles de l'hôpital de Panzi où sont soignées de nombreuses femmes violées dans cette région en proie aux troubles armés.

"Actions discrètes"

"Depuis le mois d'octobre, j'ai fait une série d'actions discrètes, comme une tribune à Genève, et nous allons continuer", a encore indiqué l'ambassadrice de France Libertés. Avant de confier se sentir aujourd'hui "plus utile" dans son rôle d'ambassadrice et aux côtés de celui qu'elle appelle pudiquement "le président", qu'à l'époque où elle était journaliste.

M. T. avec Régis Desconclois