Valérie Trierweiler: "Je ne parle pas aux barbares" de Boko Haram

Valérie Trierweiler a inauguré lundi une exposition dans le cadre de la mobilisation "Bring back our girls". - -
Les semaines passent mais la volonté de Valérie Trierweiler ne faiblit pas afin retrouver les 220 jeunes Nigérianes enlevées par Boko Haram. L'ancienne première dame a en effet inauguré lundi à Paris aux côtés d'Anne Hidalgo une exposition dans le cadre de la mobilisation "Bring back our girls". Pendant un mois, deux cent vingt silhouettes enchaînées seront exposées place de la République pour rappeler ces 220 jeunes filles ôtées à leurs quotidiens par le groupe terroriste.
"Je ne parle pas aux barbares" de Boko Haram, a expliqué Valérie Trierweiler à BFMTV. Son objectif est plutôt de "peser sur l'opinion publique pour qu'elle joue à son tour sur les dirigeants et sur la communauté internationale".
Mobilisée depuis le début, Valérie Trierweiler avait participé aux rassemblements du Trocadéro mais aussi convié des lycéennes congolaises à porter la bannière "Bring back our girls". Elle a également signé dimanche une tribune dans Paris Match dans laquelle elle écrit: "symboliquement, humainement, politiquement, il faut les retrouver, coûte que coûte. Il est tellement plus simple de baisser les bras".
Elle souhaiterait également se rendre sur place mais n'a pas encore réussi à obtenir de visa, a-t-elle indiqué lundi.