BFMTV

Bordeaux - Page 15

Story 2 : Faut-il s'attaquer aux symboles de Noël ? - 22/12

Story 2 : Faut-il s'attaquer aux symboles de Noël ? - 22/12

Se passer de foie gras à Noël, la mairie de Bordeaux a décidé de prendre cette décision pour toutes ses réceptions officielles. La plupart des mairies écolos, comme Lyon, Grenoble, Strasbourg, avaient déjà franchi le pas. Le symbole est d'autant plus fort que Bordeaux est la capitale du foie gras. La municipalité explique que c'est pour le bien-être animal, mais aussi pour des raisons économiques dans ce contexte d'inflation. On en parle avec : Nicolas Coadou, journaliste BFMTV, rue Saint-Charles (Paris). Marie-Pierre Pé, directrice du Comité interprofessionnel des palmipèdes à foie gras (Cifog). Fabrice D'Almeida, historien, professeur à l'université Paris II Panthéon-Assas. Dominic Hofbauer, éducateur en éthique animale au sein de l'association L214. Et François Pitrel, journaliste environnement BFMTV.

Une photo de l'hôpital Pellegrin à Bordeaux

Froid glacial, fuites d'eau... Des soignants alertent (encore) sur l'insalubrité du CHU Pellegrin de Bordeaux

Le plus grand hôpital de Bordeaux, le CHU Pellegrin, est une nouvelle fois sous le feu des projecteurs. Alors que soignants et patients avaient dénoncé cet été des températures intenables dans les chambres au moment de la canicule, avec l'arrivée du froid, les conditions se sont inversées. Ils dénoncent des patients obligés de porter leurs manteaux, mais aussi des fuites d'eau dans le bâtiment.

Fuites, pas de chauffage: la galère au CHU de Bordeaux

Fuites, pas de chauffage: la galère au CHU de Bordeaux

Le froid, l'humidité, jusqu'à l'insalubrité ... Voici ce qu'affrontent les soignants et patients de l'hôpital Pellegrin de Bordeaux en Gironde. Des fuites d'eau, des chambres qui frôlent les 10 degrés, certains patients doivent même apporter leur propre couette. Une situation liée à de gros problèmes d'isolations dans le service pédiatrique du CHU. Après avoir dénoncé les fortes températures cet été avec plus de 40 degrés dans certaines chambres de patients, les soignants affrontent maintenant la baisse des températures et les désagréments qui vont avec.