Si la rumeur d'une démission de Michel Barnier est démentie par l'entourage d'Emmanuel Macron, les tensions autour de la composition du gouvernement sont vives entre Matignon et l'Élysée.
Le camp présidentiel met sous pression le Premier ministre qui teste l'hypothèse d'une hausse ciblée de la fiscalité. Mais pour la macronie, il n'est pas question de revenir sur les baisses d'impôts octroyées depuis 2017.
Ministre délégué démissionnaire en charge des Comptes publics, Thomas Cazenave relativise l'attente autour de la constitution d'un nouveau gouvernement par le Premier ministre, Michel Barnier. "Qu’on prenne un peu de temps pour s’entendre, ça me semble nécessaire ", juge-t-il.
Michel Barnier, nommé il y a deux semaines à Matignon, continue ses consultations pour former son gouvernement. Une démarche qui se heurte à plusieurs problématiques et à des tensions croissantes sur fond notamment d'éventuelles hausses d'impôts.
Alors que Michel Barnier envisage d'augmenter les impôts, Thomas Cazenave (Renaissance) a assuré que son parti s'opposait à toute "augmentation généralisée". Le ministre délégué démissionnaire en charge des Comptes publics reste néanmoins ouvert à d'autres mesures, comme la taxation des superprofits.
Le camp présidentiel met sous pression le Premier ministre qui teste l'hypothèse d'une hausse ciblée de la fiscalité. Mais pour la macronie, il n'est pas question de revenir sur les baisses d'impôts octroyées depuis 2017.
Le président de la commission des Finances de l'Assemblée nationale, Eric Coquerel (LFI), et le rapporteur général Charles de Courson (Liot) sont ressortis bredouilles mardi de Matignon et mrcredi de Bercy, où ils étaient venus réclamer des documents clés du projet de budget pour 2025.
Ministre délégué démissionnaire en charge des Comptes publics, Thomas Cazenave indique avoir rencontré le Premier ministre, Michel Barnier, quelques heures après sa nomination pour évoquer la situation budgétaire du pays. "On est transparent depuis le premier jour", assure-t-il.
Le camp présidentiel met sous pression le Premier ministre qui teste l'hypothèse d'une hausse ciblée de la fiscalité. Mais pour la macronie, il n'est pas question de revenir sur les baisses d'impôts octroyées depuis 2017.
Dans une interview accordée au Point, ce mercredi 18 septembre, l'ex-Premier ministre Gabriel Attal a annoncé le lancement, à l'automne prochain, d'une fondation contre le harcèlement.
Le camp présidentiel met sous pression le Premier ministre qui teste l'hypothèse d'une hausse ciblée de la fiscalité. Mais pour la macronie, il n'est pas question de revenir sur les baisses d'impôts octroyées depuis 2017.
Le député du groupe les Démocrates, Olivier Falorni, se dit favorable à une hausse des impôts pour les entreprises, envisagée par le Premier ministre, Michel Barnier. L'élu plaide pour "qu’il y ait un peu plus d’impôts sur des grosses entreprises qui font des profits".
Député du groupe Renaissance, Sylvain Maillard estime que Michel Barnier, ne "peut pas construire une majorité relative sans le groupe central". Le Premier ministre n'a toujours pas composé son Gouvernement, treize jours après sa nomination.
Selon une enquête Elabe pour BFMTV, publiée ce mercredi 18 septembre, 67% des Français interrogés sont pour le rétablissement de l'ISF, 66% pour une hausse d’impôts pour les entreprises ayant fait le plus de profits et 54% favorables à une hausse d'impôts pour les particuliers les plus aisés uniquement. Seuls 18% des personnes interrogées ne sont favorables à aucune hausse d'impôts.
Michel Barnier continue à consulter les différents groupes et partis politiques, en vue de former son équipe gouvernementale. Selon un sondage Elabe pour BFMTV, 64% des Français souhaitent un nouveau gouvernement composé de nouvelles têtes.
Interrogé sur l'hypothèse d'un retour de Marion Maréchal au Rassemblement national, Jordan Bardella nie tout projet de rapprochement.
Secrétaire général de l'UDI, Olivier Henno a indiqué la position de son parti sur les hausses d'impôts envisagées par le Premier ministre. L'élu plaide en partie pour une "justice fiscale" qui solliciterait "plus d'efforts aux plus favorisés".
Le rapporteur de la branche "Famille" pour le projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2025, Louis Boyard, veut auditionner à l'Assemblée nationale la ministre démissionnaire Aurore Bergé en raison des accusations de collusion avec le lobby des crèches privées portées contre elle.
Le Rassemblement national refuse de soutenir la hausse de la fiscalité sur les plus aisés, évoquée par Michel Barnier devant plusieurs interlocuteurs. Jordan Bardella juge le Premier ministre "sans imagination et sans courage" tandis que Marine Le Pen appelle à "un audit" des finances publiques.
"J'entends que le Parlement a besoin de travailler sur le budget", déclare Yaël Braun-Pivet, alors que les députés Éric Coquerel et Charles de Courson réclament, sans succès, des documents clés à Matignon.
Sandrine Rousseau, députée EELV-NFP de Paris, était l'invitée du Live Switek sur BFMTV.
Le Premier ministre a évoqué une future hausse des impôts lors de ses échanges de ces derniers jours auprès de différents interlocuteurs, comme l'a appris BFMTV de sources concordantes, confirmant une information du Parisien. Cette hausse viserait les "contribuables aisés et les entreprises profitables".
La réunion entre le groupe macroniste Ensemble pour la République et le Premier ministre Michel Barnier, prévue à 10h30, est annulée, a appris BFMTV.
Le Premier ministre qui devait rencontrer les députés du camp présidentiel ce mercredi matin n'échangera finalement pas avec eux à ce stade. Ce rendez-vous visait pourtant à convaincre la macronie d'entrer au gouvernement, en dépit de divergences autour d'éventuelles hausses d'impôts.
Le nouveau Premier ministre Michel Barnier avait promis un nouveau gouvernement formé la semaine du 16 septembre, mais le nouveau locataire de Matignon a pris du retard.
Si Jordan Bardella se félicite ce mercredi 18 septembre que l'extrême droite ait réuni près de "11 millions d'électeurs" au second tour des élections législatives, le président du RN concède "une défaite personnelle quand on prétend à Matignon avec une majorité absolue".
De sources concordantes, le scénario initial était d'avoir un gouvernement dévoilé en ce début de semaine et un 1er conseil des ministres mercredi. Mais le casting n'est pas prêt. On s'oriente plutôt donc vers une annonce en fin de semaine, dimanche inclus.
Deux semaines après sa nomination, la tension monte entre Michel Barnier et les macronistes autour de leur place au gouvernement, ceux-ci exigeant une "clarification" de la ligne politique du Premier ministre qui répond avoir découvert "une situation budgétaire très grave" méritant "mieux que des petites phrases".
L'ancien Premier ministre, désormais chef de file des députés macronistes, souhaite que Michel Barnier clarifie sa "ligne politique" avant d'envisager la participation de députés macronistes au gouvernement. Un rendez-vous est prévu ce mercredi 18 septembre à 10h30 à Matignon.
L'ancien président du Conseil constitutionnel et de l'Assemblée nationale, Jean-Louis Debré, était l'invité de BFMTV ce mardi soir.
L'ancien président du Conseil constitutionnel et de l'Assemblée nationale, Jean-Louis Debré, était l'invité de BFMTV ce mardi soir.
L'ancien président du Conseil constitutionnel et de l'Assemblée nationale, Jean-Louis Debré, était l'invité de BFMTV ce mardi soir.
L'ancien président du Conseil constitutionnel et de l'Assemblée nationale, Jean-Louis Debré, était l'invité de BFMTV ce mardi soir.
Nommé jeudi 5 septembre au poste de Premier ministre, le Républicain Michel Barnier continue les prospections en vue de la formation de son gouvernement.
Le député Liot de la Marne, Charles de Courson, était l'invité de BFMTV ce mardi soir.
Le député Liot de la Marne, Charles de Courson, était l'invité de BFMTV ce mardi soir.
L'ancien ministre du président François Hollande, Stéphane Le Foll, était l'invité de BFMTV ce mardi soir.
L'ancien ministre du président Nicolas Sarkozy, Brice Hortefeux, était l'invité de BFMTV ce mardi soir.
Jean-Philippe Tanguy, membre du Bureau national du Rassemblement national et député de la Somme, était l'invité de BFMTV ce mardi soir.
Le Premier ministre, Michel Barnier, a évoqué une future hausse des impôts lors de ses échanges de ces derniers jours auprès de différents interlocuteurs, comme l'a appris BFMTV plus tôt dans la journée. Son entourage fait désormais savoir qu'"aucune mesure fiscale n'est envisagée à ce stade". "Les informations partagées sont uniquement basées sur des on-dit. La seule chose dite" par Michel Barnier "est qu’il ne s’interdirait pas d’aller dans le sens d’une plus grande justice fiscale. C’est la seule orientation", précise encore son entourage. En réaction à ces annonces, son prédécesseur et désormais président du groupe Renaissance à l'Assemblée nationale, Gabriel Attal, demande une "clarification de la ligne politique", afin de pouvoir définir si les macronistes pourront, ou ne pourront pas, participer au prochain gouvernement.
Jean-Philippe Tanguy, membre du Bureau national du Rassemblement national et député de la Somme, était l'invité de BFMTV ce mardi soir.
Jean-Philippe Tanguy, membre du Bureau national du Rassemblement national et député de la Somme, était l'invité de BFMTV ce mardi soir.
Jean-Philippe Tanguy, membre du Bureau national du Rassemblement national et député de la Somme, était l'invité de BFMTV ce mardi soir.
Le Premier ministre a évoqué une future hausse des impôts lors de ses échanges de ces derniers jours auprès de différents interlocuteurs, comme l'a appris BFMTV plus tôt dans la journée. Son entourage fait désormais savoir qu'"aucune mesure fiscale n'est envisagée à ce stade". "Les informations partagées sont uniquement basées sur des on-dit. La seule chose dite" par Michel Barnier "est qu’il ne s’interdirait pas d’aller dans le sens d’une plus grande justice fiscale. C’est la seule orientation", précise encore son entourage.
La demande de destitution d'Emmanuel Macron, portée par La France insoumise, a obtenu le feu vert du bureau de l'Assemblée nationale ce mardi 17 septembre. Cette première étape est saluée comme une victoire par les insoumis, même si la procédure n'a presque aucune chance d'aboutir en l'état.
À peine 12 jours après son arrivée à Matignon, Michel Barnier fait son entrée en tête du classement des personnalités politiques préférées des Français: le Premier ministre récolte 57% d'opinions favorables d'après un sondage Ifop-Fiducial pour Paris Match et Sud radio.
Le seul coût du licenciement de plus de 2.000 collaborateurs parlementaires après la défaite de 133 députés aux dernières législatives se chiffre à 23,5 millions d'euros. Les conséquences financières de la dissolution représente plus de 4% du budget annuel de l'Assemblée nationale.
Reçues ce mardi 17 septembre à Matignon, les personnalités du Parti communiste français se sont exprimées à l'issue de leur entretien avec le Premier ministre, Michel Barnier. Ce dernier continue les tractations en vue de la formation de son gouvernement.
Méconnu du grand public, le nouveau locataire de Matignon est en tête des figures politiques les plus appréciés dans le dernier baromètre Ifop-Fiducial pour Paris match et Sud Radio. Parmi les visages préférées des Français, on trouve également Édouard Philippe et Gabriel Attal. Emmanuel Macron se classe loin derrière.
Le bureau de l'Assemblée a validé la première étape de la procédure pour destituer le chef de l'État, permettant à LFI d'enregistrer une victoire. De son côté, Michel Barnier continue à consulter pour composer son gouvernement tandis qu'Éric Coquerel et Charles de Courson se sont rendus à Matignon pour réclamer les lettres-plafonds liées au budget 2025, sans y parvenir.
