Emmanuel Macron a affirmé que la loi immigration, votée ce mardi à l’Assemblée nationale, était “un bouclier qu’il nous manquait”, tout en concédant que “des choses” dans le texte - qui a été transmis au Conseil constitutionnel - ne le faisait “pas sauter au plafond”. Le chef de l’État a par ailleurs dénoncé la “manœuvre grossière” du Rassemblement national concernant son soutien au texte.
Interrogé sur la procédure enclenchée par le conseil de l'ordre de la Légion d'honneur, Emmanuel Macron a affirmé "détester" les "chasses à l'homme" et assuré que l'Ordre n'était "pas là pour faire la morale".
Interrogé sur la procédure enclenchée par le conseil de l'ordre de la Légion d'honneur, Emmanuel Macron a affirmé "détester" les "chasses à l'homme" et assuré que l'Ordre n'était "pas là pour faire la morale".
Emmanuel Macron a affirmé que la loi immigration, votée ce mardi à l’Assemblée nationale, était “un bouclier qu’il nous manquait”, tout en concédant que “des choses” dans le texte - qui a été transmis au Conseil constitutionnel - ne le faisait “pas sauter au plafond”. Le chef de l’État a par ailleurs dénoncé la “manœuvre grossière” du Rassemblement national concernant son soutien au texte.
Interrogé sur Quotidien sur sa possible candidature à l'élection présidentielle de 2027, l'ancien Premier ministre, Edouard Philippe, a confié être en train de "constituer" une équipe.
Emmanuel Macron a affirmé que la loi immigration, votée ce mardi à l’Assemblée nationale, était “un bouclier qu’il nous manquait”, tout en concédant que “des choses” dans le texte - qui a été transmis au Conseil constitutionnel - ne le faisait “pas sauter au plafond”. Le chef de l’État a par ailleurs dénoncé la “manœuvre grossière” du Rassemblement national concernant son soutien au texte.
L'adoption de la loi sur l'immigration avec les voix du Rassemblement national a créé un malaise au sein de la majorité, illustré notamment par le vote contre le projet de 20 députés Renaissance, l'abstention de 17 autres et la démission du ministre de la Santé, Aurélien Rousseau. De son côté, Élisabeth Borne assure pourtant qu'il n'a "pas de crise dans la majorité".
Interrogé sur la procédure enclenchée par le conseil de l'ordre de la Légion d'honneur, Emmanuel Macron a affirmé "détester" les "chasses à l'homme" et assuré que l'Ordre n'était "pas là pour faire la morale".
Interrogé sur la procédure enclenchée par le conseil de l'ordre de la Légion d'honneur, Emmanuel Macron a affirmé "détester" les "chasses à l'homme" et assuré que l'Ordre n'était "pas là pour faire la morale".
Emmanuel Macron a transmis au Conseil constitutionnel le projet de loi immigration adopté ce mardi à l'Assemblée nationale, alors qu'Élisabeth Borne affirme avoir alerté la droite sur ses "doutes" concernant certaines mesures du texte discuté en commission mixte paritaire.
Au lendemain du vote contesté du projet de loi immigration au Parlement, Emmanuel Macron était l'invité de "C à vous" sur France 5 ce mercredi 20 décembre. Il y a jugé la loi "utile" mais aussi abordé d'autres thèmes comme la fin de vie ou le cyberharcèlement.
Vendredi, la ministre de la Culture Rima Abdul Malak avait réclamé le retrait de la légion d'honneur à l'acteur Gérard Depardieu.
Emmanuel Macron a affirmé que la loi immigration, votée ce mardi à l’Assemblée nationale, était “un bouclier qu’il nous manquait”, tout en concédant que “des choses” dans le texte - qui a été transmis au Conseil constitutionnel - ne le faisait “pas sauter au plafond”. Le chef de l’État a par ailleurs dénoncé la “manœuvre grossière” du Rassemblement national concernant son soutien au texte.
Le chef de l'État s'est dit ému à la lecture de la lettre de la chanteuse Françoise Hardy, qui demandait à Emmanuel Macron de relancer les discussions sur la fin de vie. Le président a promis qu'il présenterait les contours d'un texte sur ce sujet d'ici "février" 2024.
Emmanuel Macron s'exprime dans l'émission "C à vous" au lendemain du vote de la loi immigration à l'Assemblée nationale qui a divisé au sein de la majorité et mené notamment à la démission du ministre de la Santé, Aurélien Rousseau.
Emmanuel Macron s'exprime dans l'émission "C à vous" au lendemain du vote de la loi immigration à l'Assemblée nationale qui a divisé au sein de la majorité et mené notamment à la démission du ministre de la Santé, Aurélien Rousseau.
Un rassemblement est actuellement en cours à Rennes, en Ille-et-Vilaine. Des manifestations similaires étaient annoncées en début de soirée notamment à Lille, Dijon, Besançon, Chambéry ou encore Grenoble.
Emmanuel Macron s'est défendu de toute "infraction à la laïcité" lors de la cérémonie à l'Elysée, début décembre, à l'occasion du premier jour de la fête juive d'Hanouka où il avait allumé une bougie.
Emmanuel Macron s'exprime dans l'émission "C à vous" au lendemain du vote de la loi immigration à l'Assemblée nationale qui a divisé au sein de la majorité et mené notamment à la démission du ministre de la Santé, Aurélien Rousseau.
Emmanuel Macron s'exprime dans l'émission "C à vous" au lendemain du vote de la loi immigration à l'Assemblée nationale qui a divisé au sein de la majorité et mené notamment à la démission du ministre de la Santé, Aurélien Rousseau.
Les 32 départements dirigés par la gauche ont annoncé qu'ils n'appliqueront pas le durcissement des conditions de versement de l'Allocation personnalisée d'autonomie (APA) aux étrangers compris dans la loi immigration votée ce mardi à l'Assemblée nationale.
Emmanuel Macron a transmis au Conseil constitutionnel le projet de loi immigration adopté ce mardi à l'Assemblée nationale, alors qu'Élisabeth Borne affirme avoir alerté la droite sur ses "doutes" concernant certaines mesures du texte discuté en commission mixte paritaire.
Après le vote très contesté de la loi immigration, Emmanuel Macron est revenu sur les dispositions du texte, estimant qu'il n'était pas "de nature Rassemblement national".
L'adoption de la loi sur l'immigration avec les voix du Rassemblement national a créé un malaise au sein de la majorité, illustré notamment par le vote contre le projet de 20 députés Renaissance, l'abstention de 17 autres et la démission du ministre de la Santé, Aurélien Rousseau. De son côté, Élisabeth Borne assure pourtant qu'il n'a "pas de crise dans la majorité".
L'instauration de cette caution fait partie des dispositions de la loi immigration "qui ne font pas sauter au plafond" le président de la République, comme il l'a indiqué sur France 5 ce mercredi soir.
Emmanuel Macron s'exprime dans l'émission "C à vous" au lendemain du vote de la loi immigration à l'Assemblée nationale qui a divisé au sein de la majorité et mené notamment à la démission du ministre de la Santé, Aurélien Rousseau.
Emmanuel Macron s'exprime dans l'émission "C à vous" au lendemain du vote de la loi immigration à l'Assemblée nationale qui a divisé au sein de la majorité et mené notamment à la démission du ministre de la Santé, Aurélien Rousseau.
Les 32 départements dirigés par la gauche ont annoncé qu'ils n'appliqueront pas le durcissement des conditions de versement de l'Allocation personnalisée d'autonomie (APA) aux étrangers compris dans la loi immigration votée ce mardi à l'Assemblée nationale.
Emmanuel Macron s'exprime dans l'émission "C à vous" au lendemain du vote de la loi immigration à l'Assemblée nationale qui a divisé au sein de la majorité et mené notamment à la démission du ministre de la Santé, Aurélien Rousseau.
L'adoption de la loi sur l'immigration avec les voix du Rassemblement national a créé un malaise au sein de la majorité, illustré notamment par le vote contre le projet de 20 députés Renaissance, l'abstention de 17 autres et la démission du ministre de la Santé, Aurélien Rousseau. De son côté, Élisabeth Borne assure pourtant qu'il n'a "pas de crise dans la majorité".
L'adoption de la loi sur l'immigration avec les voix du Rassemblement national a créé un malaise au sein de la majorité, illustré notamment par le vote contre le projet de 20 députés Renaissance, l'abstention de 17 autres et la démission du ministre de la Santé, Aurélien Rousseau. De son côté, Élisabeth Borne assure pourtant qu'il n'a "pas de crise dans la majorité".
Au lendemain du vote de la loi immigration, le président de la République Emmanuel Macron a annoncé "assumer ce qui a été fait" mardi 19 décembre.
Tous les ministres et leurs conjoints ont été conviés à Matignon pour un dîner de Noël sur fond de crise au gouvernement après le vote de la loi immigration à l'Assemblée nationale.
Confronté au risque d'implosion de sa majorité après la loi immigration, Emmanuel Macron tente de se relancer ce soir dans une interview sur France 5. Le chef de l'État à la peine depuis le début de son quinquennat pourrait annoncer plusieurs nouvelles réformes.
L'adoption de la loi sur l'immigration avec les voix du Rassemblement national a créé un malaise au sein de la majorité, illustré notamment par le vote contre le projet de 20 députés Renaissance, l'abstention de 17 autres et la démission du ministre de la Santé, Aurélien Rousseau. De son côté, Élisabeth Borne assure pourtant qu'il n'a "pas de crise dans la majorité".
L'adoption de la loi sur l'immigration avec les voix du Rassemblement national a créé un malaise au sein de la majorité, illustré notamment par le vote contre le projet de 20 députés Renaissance, l'abstention de 17 autres et la démission du ministre de la Santé, Aurélien Rousseau. De son côté, Élisabeth Borne assure pourtant qu'il n'a "pas de crise dans la majorité".
L'adoption de la loi sur l'immigration avec les voix du Rassemblement national a créé un malaise au sein de la majorité, illustré notamment par le vote contre le projet de 20 députés Renaissance, l'abstention de 17 autres et la démission du ministre de la Santé, Aurélien Rousseau. De son côté, Élisabeth Borne assure pourtant qu'il n'a "pas de crise dans la majorité".
Après l'adoption de la loi immigration, la majorité des personnes interrogées dans un sondage Elabe pour BFMTV y voit une mauvaise nouvelle pour Emmanuel Macron. Le président est confronté au risque d'implosion de son camp.
L'adoption de la loi sur l'immigration avec les voix du Rassemblement national a créé un malaise au sein de la majorité, illustré notamment par le vote contre le projet de 20 députés Renaissance, l'abstention de 17 autres et la démission du ministre de la Santé, Aurélien Rousseau. De son côté, Élisabeth Borne assure pourtant qu'il n'a "pas de crise dans la majorité".
Un sondage Elabe pour BFMTV recense que 70% des Français interrogés sont satisfaits du projet de loi immigration. Pour 43% d'entre eux, ils estiment que le texte est équilibré. Et 73% d'entre eux trouve que ce texte est inspiré des idées du Rassemblement National.
Un sondage Elabe pour BFMTV recense que 70% des Français interrogés sont satisfaits du projet de loi immigration. Pour 43% d'entre eux, ils estiment que le texte est équilibré.
SONDAGE BFMTV - Une large majorité de Français soutiennent l'adoption du texte porté par Gérald Darmanin et votée mardi soir par le Parlement, d'après un sondage Elabe pour BFMTV. 64% des personnes interrogées jugent que le Rassemblement national sort renforcé des débats sur l'immigration.
L'ancien Premier ministre Manuel Valls était l'invité de BFMTV pour évoquer la loi immigration votée ce mardi à l'Assemblée nationale, malgré les divisions dans la majorité.
L'adoption de la loi sur l'immigration avec les voix du Rassemblement national a créé un malaise au sein de la majorité, illustré notamment par le vote contre le projet de 20 députés Renaissance, l'abstention de 17 autres et la démission du ministre de la Santé, Aurélien Rousseau. De son côté, Élisabeth Borne assure pourtant qu'il n'a "pas de crise dans la majorité".
L'adoption de la loi sur l'immigration avec les voix du Rassemblement national a créé un malaise au sein de la majorité, illustré notamment par le vote contre le projet de 20 députés Renaissance, l'abstention de 17 autres et la démission du ministre de la Santé, Aurélien Rousseau. De son côté, Élisabeth Borne assure pourtant qu'il n'a "pas de crise dans la majorité".
L'adoption de la loi sur l'immigration avec les voix du Rassemblement national a créé un malaise au sein de la majorité, illustré notamment par le vote contre le projet de 20 députés Renaissance, l'abstention de 17 autres et la démission du ministre de la Santé, Aurélien Rousseau. De son côté, Élisabeth Borne assure pourtant qu'il n'a "pas de crise dans la majorité".
L'adoption de la loi sur l'immigration avec les voix du Rassemblement national a créé un malaise au sein de la majorité, illustré notamment par le vote contre le projet de 20 députés Renaissance, l'abstention de 17 autres et la démission du ministre de la Santé, Aurélien Rousseau. De son côté, Élisabeth Borne assure pourtant qu'il n'a "pas de crise dans la majorité".
L'adoption de la loi sur l'immigration avec les voix du Rassemblement national a créé un malaise au sein de la majorité, illustré notamment par le vote contre le projet de 20 députés Renaissance, l'abstention de 17 autres et la démission du ministre de la Santé, Aurélien Rousseau. De son côté, Élisabeth Borne assure pourtant qu'il n'y a "pas de crise dans la majorité".
L'adoption de la loi sur l'immigration avec les voix du Rassemblement national a créé un malaise au sein de la majorité, illustré notamment par le vote contre le projet de 20 députés Renaissance, l'abstention de 17 autres et la démission du ministre de la Santé, Aurélien Rousseau. De son côté, Élisabeth Borne assure pourtant qu'il n'y a "pas de crise dans la majorité".
Le chef de l'État avait assuré au soir du second tour de la dernière présidentielle que le vote des électeurs de gauche en sa faveur "l'obligeait", promettant de continuer à s'opposer à Marine Le Pen. Elle a de son côté jugé que "la préférence nationale" apparaissait désormais dans le texte de Gérald Darmanin.
