Gisèle Pelicot, principale victime du procès des viols de Mazan, a fustigé ce mercredi 18 septembre les soupçons la visant distillés, selon elle, par des avocats de certains accusés, sur une éventuelle complicité dans les agressions sexuelles qu'elle a subies entre 2011 et 2020.
Gisèle Pelicot, a critiqué, ce mercredi, les soupçons à son égard portés par des avocats de certains accusés. La principale victime des viols de Mazan s’est dite "humiliée" . Une déclaration saisissante qui a fait pleurer sa fille, Caroline.
En Martinique, la lutte contre la vie chère et l’écart de prix avec la métropole prend de l’ampleur avec des violences qui vont crescendo. Dans la nuit de mardi, des départs de feux ont eu lieu dans plusieurs quartiers de Fort-de-France. Les gendarmes et les pompiers sont sur le qui-vive et souvent ciblés. Lundi soir, six policiers ont été blessés par des tirs de plombs.
Après Dominique Pelicot, c'est au tour de Jean-Pierre M., coaccusé dans l'affaire des viols de Mazan, de prendre la parole devant les juges du tribunal d'Avignon. L'homme a notamment évoqué les sévices de son père durant son enfance.
Trois mois après la disparition de Laure Zacchello au Pays-Basque, ses parents espèrent toujours connaître la vérité.
Après Dominique Pelicot ce mardi, c'est au tour des co-accusés d'être auditionnés ce mercredi. À la barre notamment, Jean-Pierre M., le "disciple" de Dominique Pelicot. Lui n'est pas accusé d'avoir violé Gisèle Pelicot, mais sa femme, avec le même mode opératoire que le principal accusé.
En août 2019, à l’hôpital Simone-Veil, Lucie B., 35 ans, a fait un arrêt cardiaque après injection d’un anesthésiant. Sa famille se bat pour faire reconnaître la responsabilité de l’établissement.
Les caisses de grands crus ont été dérobées en moins de cinq minutes à Vosne-Romanée, en Côte d'Or, dans un vol à la voiture-bélier.
Le procès des viols de Mazan permet une prise de conscience collective pour remettre en cause notre société patriarcale. Notamment chez les hommes, qui commencent à s'interroger sur leur façon d'être et de penser.
Dominique Pelicot, principal accusé dans l'affaire des viols de Mazan, qui n'était plus apparu à l'audience depuis mercredi dernier pour raisons de santé, a fait son retour devant la cour criminelle de Vaucluse ce mardi 17 septembre. Aidé d'une canne et vêtu d'une chemise épaisse grise, il affiche une meilleure mine que la dernière fois qu'il est apparu devant la cour. Il est installé dans un fauteuil plus confortable que le banc sur lequel il était assis depuis le début du procès. "Aujourd'hui, je maintiens que je suis un violeur comme tous ceux dans cette salle. Ils savaient tout et ne peuvent pas dire le contraire", a-t-il déclaré.
Dans la nuit de dimanche à lundi, le domaine Mongeard-Mugneret, à Vosne-Romanée, a été victime d’un vol à la voiture-bélier. En moins de cinq minutes, filmés par la vidéosurveillance, quatre individus cagoulés ont emporté 318 bouteilles de grands crus. Le propriétaire, dépité, témoigne. Il estime le préjudice à 100.000 euros.
C’est la 4ème saisie d’importance de ce type en un peu plus d’un an réalisée par les douaniers de Marseille. Près de 80.000 pièces détachées automobiles de contrefaçon, particulièrement dangereuses pour la sécurité du consommateur, ont ainsi été interceptées. Elles représentent un préjudice économique de près de 4 millions d’euros de valeur sur le marché légal des pièces détachées automobiles.
Si les fraudes aux moyens de paiement se sont maintenues à un niveau historiquement bas en 2023, les escroqueries utilisant la technique du "spoofing", qui consiste à usurper l’identité d’une banque, ont continué de prospérer, en dépit des campagnes de sensibilisation et des messages d’avertissements des établissements bancaires. L’an dernier, la fraude aux moyens de paiement par manipulation a représenté un préjudice total de 379 millions d'euros (contre 342 millions d’euros en 2022), relève l’Observatoire de la sécurité des moyens de paiement (OSMP). À partir du mois prochain, un nouvel arsenal technologique va être mis en place par les opérateurs télécom afin de lutter contre ce fléau.
Dominique Pelicot, principal accusé dans l'affaire des viols de Mazan, qui n'était plus apparu à l'audience depuis mercredi dernier pour raisons de santé, a fait son retour devant la cour criminelle de Vaucluse ce mardi 17 septembre. Aidé d'une canne et vêtu d'une chemise épaisse grise, il affiche une meilleure mine que la dernière fois qu'il est apparu devant la cour. Il est installé dans un fauteuil plus confortable que le banc sur lequel il était assis depuis le début du procès. "Aujourd'hui, je maintiens que je suis un violeur comme tous ceux dans cette salle. Ils savaient tout et ne peuvent pas dire le contraire", a-t-il déclaré.
Le procès des viols de Mazan a repris ce mardi 17 septembre à la cour criminelle d'Avignon, après que les audiences ont été reportées à plusieurs reprises en raison de l'état de santé du prévenu principal, Dominique Pélicot. L'ex-époux de la victime s'est exprimé pour la première fois et a assumé être "un violeur", tout en présentant ses excuses à Gisèle Pélicot.
Le procès des viols de Mazan a repris ce mardi 17 septembre à la cour criminelle d'Avignon, après que les audiences ont été reportées à plusieurs reprises en raison de l'état de santé du prévenu principal, Dominique Pélicot. L'ex-époux de la victime s'est exprimé pour la première fois et a assumé être "un violeur", tout en présentant ses excuses à Gisèle Pélicot.
Dominique Pelicot a été longuement interrogé par la cour criminelle. Évoquant sa "perversion" liée à des "traumatismes" pendant son enfance, l'accusé a été mis face à ses contradictions.
Abdourahmane Ridouane, imam de la mosquée Al Farouk à Bordeaux, avait été interpellé le 8 août pour diffusion "d'une idéologie hostile aux valeurs et institutions de la République française".
Le procès des viols de Mazan a repris ce mardi 17 septembre à la cour criminelle d'Avignon, après que les audiences ont été reportées à plusieurs reprises en raison de l'état de santé du prévenu principal, Dominique Pélicot. L'ex-époux de la victime s'est exprimé pour la première fois et a assumé être "un violeur", tout en présentant ses excuses à Gisèle Pélicot.
Le procès des viols de Mazan a repris ce mardi 17 septembre à la cour criminelle d'Avignon, après que les audiences ont été reportées à plusieurs reprises en raison de l'état de santé du prévenu principal, Dominique Pélicot. L'ex-époux de la victime s'est exprimé pour la première fois et a assumé être "un violeur", tout en présentant ses excuses à Gisèle Pélicot.
L'incendie s'est déclaré en fin d'après-midi ce mardi sur le toit terrasse d'un immeuble de l'avenue de la porte d'Ivry. L'explosion est due à la présence de bouteilles de gaz. Les personnes ont pu être évacuées à temps. Aucune victime n'est à déplorer
Les deux agents ont essuyé des tirs de plomb en marge d'une mobilisation contre la vie chère à Fort-de-France. Il s'agit d'une nouvelle soirée de violence dans la capitale martiniquaise en proie aux émeutes depuis le 2 septembre dernier.
Gisèle Pelicot, principale victime du procès des viols de Mazan, a été chaleureusement applaudie dans le hall du tribunal d'Avignon.
Malade depuis plusieurs jours, le principal accusé du procès des viols de Mazan est de retour sur le banc. Dominique Pelicot a concédé être "un violeur", comme les 50 autres hommes accusés d'avoir violé sa femme Gisèle Pelicot alors qu'elle était inconsciente.
Malade depuis plusieurs jours, le principal accusé du procès est de retour sur le banc. Il a concédé être "un violeur", comme les 50 autres hommes accusés d'avoir violé Gisèle Pelicot alors qu'elle était inconsciente.
Malade depuis plusieurs jours, le principal accusé du procès est de retour sur le banc. Il a concédé être "un violeur", comme les 50 autres hommes accusés d'avoir violé Gisèle Pelicot alors qu'elle était inconsciente.
C'est un homme certes affaibli mais bavard qui s'est présenté à la barre ce mardi matin. Sans doute la journée la plus forte au procès des viols de Mazan. Dominique Pelicot dont l'état de santé n'avait pas permis de comparaitre ces derniers jours est interrogé sur le fond pour la première fois. Il reconnait l'intégralité des faits, charge ses co-accusés et déclare son amour à son ex femme.
Au total, 50 hommes, âgés de 26 à 74 ans, sont jugés au côté de Dominique Pelicot. Des inconnus que celui-ci avait recrutés sur internet pour venir violer son épouse, à leur domicile de Mazan, dans le Vaucluse, après l'avoir droguée aux anxiolytiques.
L'avocate de Dominique Pelicot, Me Béatrice Zavarro, s'est exprimée après les premières déclarations de son client au procès des viols de Mazan.
Pour sa première prise de parole aujourd'hui, Dominique Pelicot dit "reconnaître les faits dans leur totalité". Le président de la cour criminelle lit les faits qui sont reprochés à Dominique Pelicot. Le septuagénaire, jambes croisées, écoute, regardant le président de la cour ou le plafond. Il n'a pas de réaction particulière.
Pour sa première prise de parole aujourd'hui, Dominique Pelicot dit "reconnaître les faits dans leur totalité". Le président de la cour criminelle lit les faits qui sont reprochés à Dominique Pelicot. Le septuagénaire, jambes croisées, écoute, regardant le président de la cour ou le plafond. Il n'a pas de réaction particulière.
La chanteuse de 20 ans, compagne du rappeur impliqué dans un accident mortel, sort du silence une semaine après les faits.
Pour sa première prise de parole aujourd'hui, Dominique Pelicot dit "reconnaître les faits dans leur totalité". Le président de la cour criminelle lit les faits qui sont reprochés à Dominique Pelicot. Le septuagénaire, jambes croisées, écoute, regardant le président de la cour ou le plafond. Il n'a pas de réaction particulière.
Malade depuis plusieurs jours, le principal accusé du procès est de retour sur le banc. Il a concédé être "un violeur", comme les 50 autres hommes accusés d'avoir violé Gisèle Pelicot alors qu'elle était inconsciente.
Le président de la cour criminelle a lu le pré-rapport des deux médecins qui ont examiné hier Dominique Pelicot. Tant sur le plan "médical, somatique et mental", Dominique Pelicot est "en état de comparaître" dès aujourd'hui. Un ensemble de mesures est préconisé par les médecins: une pause de repos toutes les 15 à 20 minutes toutes les 1h30 d'audition, l'installation d'un fauteuil, la fourniture d'1,5 litre d'eau par jour et l'aménagement des geôles avec un matelas pour qu’il puisse se reposer.
Dominique Pelicot est jugé par la cour criminelle départementale du Vaucluse pour avoir drogué sa femme, Gisele Pelicot, avant de la livrer à des inconnus. Il n'est pas seul dans le box des accusés puisque 50 hommes de tout âge, de toutes professions, comparaissent à ses côtés. Le mari de la victime proposait à des hommes de venir chez lui pour violer sa femme Gisèle, qu'il avait au préalable droguée en lui administrant des anxiolytiques et des somnifères, dans son verre d'eau ou dans son repas. Des abus particulièrement sordides filmés, auxquels participait le mari. Si le parquet avait demandé un huis-clos, le procès est finalement public sur demande de la victime. "Je le fais au nom de toutes ces femmes qui ne seront peut-être jamais reconnu comme victime", a-t-elle expliqué.
Aidé d'une canne et vêtu d'une chemise épaisse grise, il affiche une meilleure mine que la dernière fois qu'il est apparu devant la cour. Il est installé dans un fauteuil plus confortable que le banc sur lequel il était assis depuis le début du procès. Les experts ont dans leur rapport que des aménagements devaient être réalisés pour que le septuagénaire puisse assister aux audiences.
L’enquête après la mort de la petite Kamilya à Vallauris le 29 août dernier se poursuit. Le motard, un étudiant en informatique de 19 ans, est accusé d'avoir dépassé une file de voiture de manière non-réglementaire et d'avoir percuté, en faisant une roue arrière, Kamilya, 7 ans, qui traversait sur un passage piéton avec son frère de 11 ans. La fillette est morte peu après. L’homme a été maintenu la semaine dernière en liberté sous contrôle judiciaire. BFMTV a eu accès aux photos de l’accident qui permet de mieux comprendre ce qui s’est passé ce jour-là.
L’enquête après la mort de la petite Kamilya à Vallauris le 29 août dernier se poursuit. Le motard, un étudiant en informatique de 19 ans, est accusé d'avoir dépassé une file de voiture de manière non-réglementaire et d'avoir percuté, en faisant une roue arrière, Kamilya, 7 ans, qui traversait sur un passage piéton avec son frère de 11 ans. La fillette est morte peu après. L’homme a été maintenu la semaine dernière en liberté sous contrôle judiciaire. BFMTV a eu accès aux photos de l’accident qui permet de mieux comprendre ce qui s’est passé ce jour-là.
Dans la nuit du samedi 14 au dimanche 15 septembre, alors qu'ils se trouvaient dans leur hutte, trois chasseurs aux canards et un enfant de trois ans disent avoir été pris pour cible par une soixantaine de migrants venus en découdre, dans le marais de Tardinghen (Pas-de-Calais). Les forces de l'ordre avaient empêché ces migrants de traverser la Manche en direction de l'Angleterre, après l'alerte donnée par les chasseurs.
Dominique Pelicot a été longuement entendu ce mardi. Il est revenu sur son enfance, ses "traumatismes" expliquant sa "perversion" et demande à ses coaccusés de "prendre leurs responsabilités".
Le scénario "catastrophe" d'un long report de l'emblématique procès des viols de Mazan semble s'éloigner. Dominique Pelicot, le principal accusé, absent depuis une semaine, est en principe en mesure, selon les médecins, de revenir à l'audience mardi, moyennant quelques aménagements.
L’enquête après la mort de la petite Kamilya à Vallauris le 29 août dernier se poursuit. Le motard, un étudiant en informatique de 19 ans, est accusé d'avoir dépassé une file de voiture de manière non-réglementaire et d'avoir percuté, en faisant une roue arrière, Kamilya, 7 ans, qui traversait sur un passage piéton avec son frère de 11 ans. La fillette est morte peu après. L’homme a été maintenu la semaine dernière en liberté sous contrôle judiciaire. BFMTV a eu accès aux photos de l’accident qui permet de mieux comprendre ce qui s’est passé ce jour-là.
Une cinquantaine d'hommes de tous âges, de toutes professions, comparaissent à côté de Dominique Pelicot. Des "Monsieur tout le monde" pour la plupart, sans casier judiciaire.
Une cinquantaine d'hommes de tous âges, de toutes professions, comparaissent à côté de Dominique Pelicot. Des "Monsieur tout le monde" pour la plupart, sans casier judiciaire.
Le 12 septembre 2020, Dominique Pelicot est surpris en flagrant délit alors qu'il filme sous les jupes de clientes. Son interpellation par un vigile, et son placement en garde à vue, vont révéler l'affaire actuellement jugée devant la cour criminelle d'Avignon. Le procès a été suspendu à cause de l'état de santé de Dominique Pelicot. Après une expertise, deux médecins ont stipulé que l'ex-mari de Gisèle Pelicot est apte à comparaître.
Elle a entendu ses nombreux soutiens. Gisèle Pelicot, 71 ans, a pris la parole ce lundi 16 septembre avant la reprise de l'audience, pour remercier toutes les marques de soutien reçues depuis le début du procès de son ex-mari qui est accusé de l'avoir droguée et livrée à des inconnus pour qu'ils la violent. "Je souhaite remercier toutes les personnes qui m'ont témoigné leur soutien depuis le début de cette épreuve et plus particulièrement celles et ceux qui ont pris le temps de se réunir samedi dernier à travers toute la France", dit-elle, en référence aux manifestations qui ont eu lieu samedi en son soutien.
Dominique Pelicot, 71 ans, est jugé pour avoir drogué son ex-femme et l'avoir livrée à des inconnus pour qu'ils la violent. Gisèle Pelicot a remercié tous ses soutiens, alors que des rassemblements ont eu lieu samedi dernier.
Le 12 septembre 2020, Dominique Pelicot est surpris en flagrant délit alors qu'il filme sous les jupes de clientes. Son interpellation par un vigile, et son placement en garde à vue, vont révéler l'affaire actuellement jugée devant la cour criminelle d'Avignon.
L'avocate de Dominique Pelicot a dénoncé une prise en charge "lamentable" de son client, atteint d'une infection rénale depuis plusieurs jours et absent de son procès jusqu'à au moins mardi. Une situation qui met en lumière les carences de la médecine pénitentiaire, "sinistrée".
