Des journalistes de France 2 se trouvaient à bord de ce convoi. Ils témoignent dans un reportage ce dimanche soir de ce qu'il s'est passé à Ras al-Aïn, en Syrie.
Malgré le refus de leur autonomie par Damas, les Kurdes ont conclu un accord avec l'armée syrienne pour qu'elle se déploie près de la frontière turque.
Bernard-Henri Lévy, philosophe et essayiste, était l’invité de Et en même temps, ce dimanche sur BFMTV. Revenant sur le rôle de l'Europe face à l'offensive turque sur les kurdes au nord-est de la Syrie, il déclare: "L'Europe en tant que telle est aux abonnés absents"
Bernard Henri-Lévy, philosophe et essayiste, était l’invité de Et en même temps, ce dimanche sur BFMTV. Revenant sur le processus de pré-adhésion de la Turquie à l'Union européenne, il déclare: "Il faut que le commissaire européen en charge de la pré-adhésion de la Turquie rende son tablier."
Bernard-Henri Lévy, philosophe et essayiste, était l’invité de Et en même temps, ce dimanche sur BFMTV. Interrogé sur l'offensive de la Turquie sur les forces kurdes en Syrie, il répond: "Cela fait des mois et des mois qu'on est en train de laisser se préparer une infamie"
Les autorités kurdes ont annoncés ce dimanche la fuite de près de 800 proches de jihadistes étrangers du groupe État islamique d'un camp de déplacés au nord de la Syrie, à proximité de combats entre forces kurdes et pro-turcs. Le camp se trouve sans garde selon observatoire des droits de l'Homme. La France est inquiète.
Ankara continue son offensive contre les Kurdes à la frontière syrienne. Quatre jours après son début, la France a annoncé qu'elle suspendait sa vente d'armes à la Turquie. Au moins 14 civils ont été tués ce dimanche par des bombardements ou des tirs dans le nord de la Syrie.
Les forces turques et leurs supplétifs syriens progressent malgré la résistance des forces kurdes dans le nord de la Syrie, où des familles de membres du groupe Daesh ont fui dimanche un camp situé à proximité des combats.
L'offensive menée par la Turquie contre les forces kurdes dans le nord-est de la Syrie a déplacé environ 100.000 personnes, ont indiqué vendredi les Nations Unies.
Troisième jour de guerre dans le Nord de la Syrie. L'armée turque poursuit son offensive contre les forces kurdes qui opposent une farouche résistance. On évoque au moins une trentaine de victimes côté combattants kurdes, une vingtaine de civils tués. Ankara annonce un premier militaire abattu dans ses rangs.
La Turquie a lancé une opération pour faire reculer les Kurdes dans le nord de la Syrie. Une offensive qui a créé un tollé international, notamment parce qu’elle pose le problème des combattants islamistes, prisonniers côté kurde. Ce matin, Nicole Belloubet s’est dit inquiète.
Au troisième jour de l'offensive lancée par la Turquie contre les Kurdes, plus de 60.000 civils fuient les combats depuis hier. Les forces turques concentrent leurs opérations dans les secteurs frontaliers de Ras-Al-Ain et Tall Abyad. Une offensive qui continue de susciter un tollé international. Le conseil de sécurité de l'ONU réclame l'arrêt de l'action militaire unilatérale de la Turquie.
L'offensive de la Turquie contre des forces kurdes en Syrie n'a pas franchi "à ce stade", aux yeux de Washington, la ligne rouge tracée par Donald Trump.
La Turquie mène une offensive en Syrie contre les Kurdes, après le retrait des troupes américaines du nord-ouest du pays. Ce jeudi soir, Donald Trump évoque la possibilité d'une médiation américaine entre les Kurdes et les Turcs.
La Turquie a lancé mercredi, comme elle s'y était engagée, son offensive contre les forces kurdes du nord-est de la Syrie, alliées des Occidentaux dans la lutte antijihadistes. Une opération militaire condamnée par la France, l'Allemagne et le Royaume-Uni. Le Conseil de sécurité de l'ONU doit se réunir en urgence jeudi.
Ce jeudi, Emmanuel Macron "condamne avec la plus grande fermeté" l'offensive turque en Syrie. Le président de la République appelle le président Erdogan à "y mettre un terme le plus rapidement possible".
Le président turc Recep Tayyip Erdogan menace d'ouvrir les portes de l'Europe à des millions de réfugiés en réponse aux critiques européennes contre l'offensive turque en cours dans le nord-est de la Syrie.
Le Président appelle Ankara à mettre fin à ses opérations militaires en Syrie.
La Turquie a lancé mercredi, comme elle s'y était engagée, son offensive contre les forces kurdes du nord-est de la Syrie, alliées des Occidentaux dans la lutte anti-jihadistes, suscitant une volée de critiques internationales et des menaces de sanctions américaines.
La Turquie a lancé mercredi, comme elle s'y était engagée, son offensive contre les forces kurdes du nord-est de la Syrie, alliées des Occidentaux dans la lutte anti-jihadistes, suscitant une volée de critiques internationales et des menaces de sanctions américaines.
En conférence de presse, et interrogé sur la possibilité que les Américains construisent une alliance avec les Kurdes, le président américain répond que ces derniers n'ont "pas aidé" les Etats-Unis pendant la Seconde Guerre mondiale et le débarquement en Normandie.
L’annonce était attendue. Le président turc a confirmé mercredi le début d’une offensive dans le nord-ouest de la Syrie. Pour l’instant, elle se limite à des raids aériens et des tirs d’artillerie. Selon lui, l’opération doit permettre de lutter contre des organisations kurdes et Daesh. Elle intervient peu de temps après l’annonce de Donald Trump de retirer ses troupes de Syrie.
Invité de BFMTV ce mercredi soir, Bernard-Henri Lévy a commenté l’offensive turque contre les Kurdes dans le nord-ouest de la Syrie. Pour l’écrivain, "si nous ne trouvons pas le moyen de stopper Erdogan, c'est un suicide pour l'Europe".
Invité de BFMTV ce mercredi soir, Bernard-Henri Lévy a commenté l’offensive turque contre les Kurdes dans le nord-ouest de la Syrie. Pour l’écrivain,
Premières salves de bombardements, et premières victimes: la Turquie a lancé mercredi, comme elle s'y était engagée, son offensive contre les forces kurdes du nord-est de la Syrie, alliées des Occidentaux dans la lutte antijihadistes, faisant fi des mises en garde internationales.
La Turquie continue de masser des troupes à la frontière syrienne. Les Turcs s'apprêtent à mener une offensive contre les Kurdes. "Nous sommes en train de quitter la Syrie mais nous n'avons absolument pas abandonné les Kurdes", a déclaré ce mardi Donald Trump qui multiplie les déclarations contradictoires.
Après avoir annoncé qu'il retirait les soldats américains stationnés dans le nord de la Syrie, Donald Trump lance un avertissement sans ambiguïté aux Turcs. S'ils attaquent les Kurdes, il "détruira" et "anéantira" complètement l'économie de la Turquie.
Adepte des décisions spectaculaire, Donald Trump le demontre encore. Le président a annoncé ce lundi le retrait des troupes américaines nors de la Syrie. Il laisse donc les forces kurdes seules, et s'attire les critiques.
