
Emmanuel Macron: "Il est clair pour tout le monde que le chef qui a choisi l'escalade, c'est le président Poutine"
Emmanuel Macron: "Il est clair pour tout le monde que le chef qui a choisi l'escalade, c'est le président Poutine"
Emmanuel Macron: "Il est clair pour tout le monde que le chef qui a choisi l'escalade, c'est le président Poutine"
Sergueï, un Russe de 27 ans bloqué en Russie, cherche à fuir à tout prix son pays après l’appel de Vladimir Poutine à une mobilisation partielle.
Platon Visilev entend rester en Géorgie pour ne pas être envoyé sur le front en Ukraine.
À 25 ans, ce jeune russe a décidé de ne pas faire la guerre. En vacances à l'étranger lorsque l'annonce de mobilisation partielle a été faite par Poutine, il n'a pas reçu son ordre de convocation et ne souhaite pas rentrer en Russie pour le moment, de peur d'être appelé.
Platon Visilev, exilé russe et réserviste, est l'invité de BFMTV.
"Êtes-vous favorable à ce que la République Populaire de Donetsk devienne un membre à part entière de la Fédération de Russie? Oui/Non". Voici ce que l'on peut lire sur les bulletins de vote qui seront distribués dans cette région d'Ukraine lors du référendum d'annexion organisé par la Russie, selon le média russe Ria Novosti.
Selon l'état-major russe, ceux-ci se seraient présentés sans même attendre leur convocation officielle.
Le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, rejette devant le Conseil de sécurité de l'ONU les accusations occidentales concernant la guerre en Ukraine, dénonçant pour sa part "l'impunité" de Kiev.
Alexander Makogonov, porte-parole de l'ambassade de Russie, est l'invité de BFMTV.
Mercredi matin, après l'annonce de Vladimir Poutine, les vols pour les pays voisins, comme la Géorgie, l'Arménie ou encore la Turquie, affichaient complet.
Si la guerre entre la Russie et l'Ukraine s'intensifie encore avec l'annonce mercredi de l'enrolement de 300.000 réservistes par Moscou, les deux nations belligérantes ont dans le même temps conclu leur plus important échange de prisonniers depuis le début de la guerre.
Une équipe de dissidents russes proches de l'opposant au Kremlin, Alexei Navalny, a piégé Nikolaï Peskov, fils de Dmitry Peskov, porte-parole du régime. Lors d'un direct retransmis sur une chaîne YouTube, l'animateur s'est fait passer pour un officier convoquant son interlocuteur en vue de sa mobilisation pour le front ukrainien. Mais Nikolaï Peskov a aussitôt décliné, promettant de faire jouer ses relations.
Au moins 1332 personnes ont été arrêtées ce mercredi en Russie lors de manifestations improvisées contre la "mobilisation partielle" pour l'offensive en Ukraine, annoncée dans la matinée par le président Vladimir Poutine, selon une ONG. Selon OVD-Info, organisation spécialisée dans le décompte des arrestations, les mobilisations ont eu lieu dans au moins 38 villes du pays. Il s'agit des plus importantes protestations en Russie depuis celles ayant suivi l'annonce de l'offensive de Moscou en Ukraine fin février.
Les événements de ce mercredi dans les rues de plusieurs villes de Russie ont été les plus conséquents depuis l'entrée en guerre de la Russie contre l'Ukraine le 24 février dernier.
Daniel Kashnitsky, enseignant-chercheur russe réfugié en France depuis le début de la guerre, est l'invité de Bruce Toussaint sur BFMTV. Au lendemain de la "mobilisation partielle" décrétée par Vladimir Poutine, il affirme que certains habitants de Moscou sont déjà interpellés lors de leurs déplacements pour rejoindre l'armée.
Appelé à se rendre à un bureau militaire, Nikolai Peskov, le fils du porte-parole du Kremlin, aurait laissé entendre qu'il ne se laisserait pas enrôler dans l'armée.
Le président russe Vladimir Poutine a annoncé hier une "mobilisation partielle" de la population russe dans la guerre en Ukraine et a menacé l'occident d'une escalade armée. Des déclarations fermement condamnées par l'ONU, l'UE a même évoqué de possibles nouvelles sanctions contre Moscou.
Alain Bauer, criminologue et spécialiste des questions de sécurité et de défense, est l’invité de BFMTV-RMC ce jeudi.
En marge de l'Assemblée générale des Nations unies à New-York, Emmanuel Macron a déclaré qu'il souhaitait que l'Occident garde un lien avec Moscou.
En Russie, plus de 1300 personnes ont été arrêtées ce mercredi lors de manifestations spontanées contre la mobilisation partielle des réservistes annoncée dans la matinée par Vladimir Poutine. De nombreux experts occidentaux estiment que Moscou va avoir énormément de mal à recruter autant de monde et pensent que les nouvelles recrues vont arriver sur le champs de bataille sous-entraînés et peu motivés.
Depuis l'allocution de Vladimir Poutine ce mercredi 21 septembre et l'annonce d'une "mobilisation partielle" en Russie, les sites de compagnies aériennes ont été pris d'assaut par les Russes qui veulent désormais quitter le pays. Et ceux qui restent semblent vouloir tout faire pour éviter la mobilisation. D'après Google Trends, de nombreux Russes tentaient de se renseigner dans la matinée sur "Comment se casser un bras" pour échapper à la mobilisation.
Ce mercredi matin, après l'annonce de Vladimir Poutine sur la "mobilisation partielle", les vols pour quitter la Russie sont pris d'assaut.
Ce Russe âgé de 30 ans fuit son pays ce mercredi soir après les annonces de Vladimir Poutine. "Je pars parce que je ne suis pas fou et que je n'ai pas envie de mourir", raconte-t-il à BFMTV.
Après l'appel de 300.000 réservistes pour partir faire la guerre en Ukraine, un mouvement de contestation monte en Russie. "Je ne leur donnerai pas la vie de mes enfants", lance cette manifestante.
Cette Russe a fui son pays pour la Serbie. Dans son témoignage recueilli par l'agence de presse américaine AP, elle appelle à l'arrêt de la guerre en Ukraine.
Anna Kiselova, élue municipale à Saint-Pétersbourg: "Ceux qui ont la possibilité de partir [de Russie] le font"
Russie: "376 personnes ont été arrêtées" à Saint-Pétersbourg, affirme une élue municipale
Dans une adresse à la nation mercredi matin, Vladimir Poutine a décrété une mobilisation partielle des réservistes russes pour l'offensive en Ukraine.
Le directeur général de l'agence estime que la démilitarisation est "un but atteignable."
Plus de 1000 manifestants contre l'annonce de la mobilisation militaire partielle en Russie ont été arrêtés par la police. Le ministre de la défense, Sergueï Shoigu, a déclaré que la Russie mobiliserait dans un premier temps quelque 300.000 réservistes pour combattre en Ukraine.
Un référendum d'annexion par la Russie de la région de Zaporijjia, dans le sud de l'Ukraine, a été fixé du 23 au 27 septembre, a annoncé mardi l'administration d'occupation russe qui contrôle une partie du territoire régional.
Sergueï Buntman, journaliste russe, vice-rédacteur en chef de la radio "L’Écho de Moscou", estime ce mercredi soir sur BFMTV que "tout ce qui a été annoncé sur la mobilisation dite partielle a été tout à fait louche".
"Nous utiliserons sans aucun doute toutes les armes à notre disposition", a lancé le président russe Vladimir Poutine dans un message vidéo diffusé ce mercredi matin, après avoir assuré que l'OTAN avait menacé de recourir à l'arme nucléaire contre la Russie.
Appelé à se prononcer ce mercredi à la tribune de l'assemblée générale des Nations Unies réunie cette semaine à New York, Joe Biden va délivrer une "ferme condamnation" de la Russie, comme l'a indiqué un responsable américain.
Appelé à se prononcer ce mercredi à la tribune de l'assemblée générale des Nations Unies réunie cette semaine à New York, Joe Biden va délivrer une "ferme condamnation" de la Russie, comme l'a indiqué un responsable américain.
Le président de la Républiqe a estimé que la Russie est "de plus en plus isolée et s'enfonce dans une guerre quelle est la seule à vouloir."
Appelé à se prononcer ce mercredi à la tribune de l'assemblée générale des Nations Unies réunie cette semaine à New York, Joe Biden va délivrer une "ferme condamnation" de la Russie, comme l'a indiqué un responsable américain.
Si de nombreux spécialistes estiment qu'une agression nucléaire n'est pas dans l'intérêt russe, le changement de discours de la part de Vladimir Poutine a de quoi inquiéter.
Le président russe a annoncé une "mobilisation partielle" du pays lors d'une allocution dont la diffusion était initialement prévue mardi soir mais qui a finalement été enregistrée et retransmise mercredi matin. Il s'agissait pour l'autocrate de s'assurer une audience maximale.
Lors de son allocution télévisée de ce mercredi, Vladimir Poutine a assuré que la Russie mettra en oeuvre "tous les moyens" pour défendre son pays.
"Je ne crois pas que le monde laissera faire", a déclaré le président ukrainien, après les menaces de Vladimir Poutine mercredi matin.
Ce mercredi matin, après l'annonce de Vladimir Poutine, les vols pour les pays voisins, comme la Géorgie, l'Arménie ou encore la Turquie, affichaient complet.
Alexeï Navalny a estimé lors d'une audience, à un de ses procès, qu'il était "clair" que la guerre en Ukraine était en train de s'aggraver.
L'annonce de la mobilisation partielle ce mercredi matin par Vladimir Poutine a provoqué la panique en Russie. Certains d'entre eux tentent de fuir le pays.
Le dollar a bondi à son plus haut niveau en vingt ans face à un panier d'autres grandes devises, après que le président Vladimir Poutine ait mobilisé sa réserve pour combattre en Ukraine et se soit dit prêt à user de "tous les moyens" pour se défendre.
Dans une allocution télévisée diffusée ce mercredi matin, le président de la Fédération de Russie Vladimir Poutine a décidé de passer une nouvelle étape dans le conflit ukrainien, en annonçant la mobilisation partielle des forces de réserve russes. Selon Sergueï Choïgou, ministre de la Défense de Russie, "300.000 réservistes seront appelés dans les rangs de l'armée".
Aline Le Bail-Kremer, co-fondatrice du collectif "Stand with Ukraine" a réagi à l'allocution de Vladimir Poutine ce mercredi matin dans le Live Toussaint.
Jean-Maurice Ripert, diplomate et ancien ambassadeur de France en Russie (2013-2017) était l'invité ce mercredi du Live Toussaint. Il est revenu sur ses propos concernant la visite de plusieurs politiques "d'un certain bord" venus demander à Moscou des fonds "pour leur parti".
Sergueï Markov, ancien membre de la Douma russe et proche conseiller de Vladimir Poutine, s'exprimait en réaction aux propos du maître du Kremlin, qui a indiqué ce mercredi que la Russie était prête à utiliser tous les moyens pour se défendre.
Les séparatistes en ont fait l'annonce ce mardi en début d'après-midi. Les 23 et 27 septembre prochain, des referendums d'annexion par la Russie dans le Donbass seront organisés dans l'est de l'Ukraine. La région de Kherson est également concernée par ces scrutins.