
Russie: une fusillade fait au moins 13 morts, dont sept enfants, dans une école
Le tireur s'est suicidé, d'après les enquêteurs. Il portait "un t-shirt noir à la symbolique nazie et une cagoule".
Le tireur s'est suicidé, d'après les enquêteurs. Il portait "un t-shirt noir à la symbolique nazie et une cagoule".
Le patriarche Kirill, chef de l'Église Orthodoxe de Russie, encourage la population à rejoindre les combats. "L'Église reconnait que quelqu'un qui, guidé par le sens du devoir, par un besoin de remplir son sermon et par une volonté d'exécuter les ordres, meurt dans l'exercice de cette fonction, commet un acte qui équivaut au sacrifice. Nous croyons que ce sacrifice lave tous les péchés qu'il a commis par le passé", a-t-il déclaré.
Par peur d'être envoyés sur le front ukrainien, de nombreux Russes ont décidé de quitter leur pays, notamment pour se rendre en Géorgie, pays voisin qui n'exige pas des ressortissants de Moscou de visa.
Ce week-end, les envoyés spéciaux de BFMTV près de Zaporijia ont vu affluer de nombreux Ukrainiens fuyant les territoires dans lesquels se déroulent actuellement les référendums d'annexion, en empruntant l'unique point de passage de l'est du pays.
Au huitième mois de guerre, une question se pose : Vladimir Poutine perd-il la main ? Entre limogeage de généraux, mesures anti déserteurs et désormais contestation croissante dans les rues, le président russe multiplie les mesures pour faire face à la réalité.
Héloïse Fayet, chercheuse au Centre des études de sécurité de l'Ifri et coordinatrice du programme Dissuasion et prolifération, était l’invitée de BFMTV ce dimanche soir.
Non seulement la population n'a plus peur de braver les interdictions de manifester en Russie, mais il y a également des proches de Vladimir Poutine qui n'hésitent plus à admettre que des erreurs ont été commises dans l'organisation de cette "mobilisation".
Alors que la guerre en Ukraine continue, après l’invasion de la Russie le 24 février dernier, qu’en est-il de la contre-offensive ukrainienne ? Vladimir Poutine commence-t-il à montrer des signes d’affaiblissement ou faut-il craindre les menaces nucléaires professées par le chef du Kremlin ? Les réponses avec notre consultant, le général Jérôme Pellistrandi.
La Russie durcit fortement le ton face aux déserteurs. Les sanctions et la répression se multiplient contre tous ceux qui protestent ou qui refusent de répondre à l’ordre de mobilisation.
Sergueï Lavrov, ministre des Affaires étrangères de la Fédération de Russie, s’est exprimé ce samedi 24 septembre à l'ONU.
Sergueï Lavrov, ministre des Affaires étrangères de la Fédération de Russie, s’est exprimé ce samedi 24 septembre à l'ONU.
Sergueï Lavrov, ministre des Affaires étrangères de la Fédération de Russie, s’est exprimé ce samedi 24 septembre à l'ONU.
Sergueï Lavrov, ministre des Affaires étrangères de la Fédération de Russie, s’est exprimé ce samedi 24 septembre à l'ONU.
Sergueï Lavrov, ministre des Affaires étrangères de la Fédération de Russie, s’est exprimé ce samedi 24 septembre à l'ONU.
Sergueï Lavrov, ministre des Affaires étrangères de la Fédération de Russie, s’est exprimé ce samedi 24 septembre à l'ONU.
Sergueï Lavrov, ministre des Affaires étrangères de la Fédération de Russie, s’est exprimé ce samedi 24 septembre à l'ONU.
Le ministre russe des Affaires étrangères s'est exprimé ce samedi à la tribune de l'Assemblée générale des Nations unies.
Sergueï Lavrov, ministre des Affaires étrangères de la Fédération de Russie, s’est exprimé ce samedi 24 septembre à l'ONU.
Sergueï Lavrov, ministre des Affaires étrangères de la Fédération de Russie, s’est exprimé ce samedi 24 septembre à l'ONU.
Sergueï Lavrov, ministre des Affaires étrangères de la Fédération de Russie, s’est exprimé ce samedi 24 septembre à l'ONU.
À la frontière entre la Géorgie et la Russie, les craintes entraînées à la suite de l'annonce de la mobilisation partielle des hommes russes par Vladimir Poutine s'illustrent de manière claire.
Des Ukrainiens refusent de participer aux référendums de sécession organisés par la Russie et quittent les zones occupées.
Plusieurs manifestations ont eu lieu en Russie depuis l'annonce de la mobilisation des réservistes pour combattre en Ukraine.
Alors que de nombreux Russes fuient la Russie, après l'annonce de la mobilisation pour la guerre en Ukraine, le chef du Kremlin, Vladimir Poutine signe une loi qui fait risquer de 5 à 10 ans de prison aux militaires qui désertent ou refusent de s'engager dans le conflit.
En pleine mobilisation pour combattre en Ukraine, les autorités russes ont reconnu samedi un afflux "important" de voitures cherchant à se rendre en Géorgie.
Le président russe a annoncé mercredi la mobilisation immédiate de 300.000 réservistes pour regarnir les rangs de l'armée russe.
Vladimir Poutine a annoncé mercredi la mobilisation immédiate d'au moins 300.000 réservistes, alors que l'armée ukrainienne continue sa contre-offensive.
La Commission d’enquête internationale indépendante sur l’Ukraine affirme que des crimes de guerre ont été commis dans le pays. Elle a également documenté des cas où des enfants ont été violés, torturés et enfermés illégalement, mais également tués et blessés, a également indiqué son Président.
Alors que les jeunes hommes russes fuient vers la Géorgie, l'Arménie ou la Turquie, le Kremlin juge ces mouvements exagérés.
La Russie a commencé vendredi à faire voter dans le cadre de ses "référendums" d'annexion de régions ukrainiennes qu'elle contrôle entièrement ou en partie, des scrutins aussitôt condamnés à Kiev et Washington qui a promis une réponse "rapide et sévère".
Quelle est l‘ampleur des départs en Russie ? 300 000 officiellement depuis l'appel à la mobilisation. Les images d'hommes souhaitant quitter le pays pour ne pas être enrôlés de force se multiplient alors que le Kremlin, lui, minimise.
La Russie a commencé vendredi à faire voter dans le cadre de ses "référendums" d'annexion de régions ukrainiennes qu'elle contrôle entièrement ou en partie, des scrutins aussitôt condamnés à Kiev et Washington qui a promis une réponse "rapide et sévère".
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky exhorte le reste du monde à condamner les "pseudo-référendums" organisés par la Russie et en cours dans quatre territoires qu'elle a conquis en Ukraine depuis le début de son invasion. Dans son adresse quotidienne à la nation, M. Zelensky se dit persuadé que "le monde réagira avec la plus grande justesse aux pseudo-référendums" et que ceux-ci "seront condamnés sans équivoque".
Les Etats-Unis "vont travailler avec (leurs) alliés et partenaires pour infliger des mesures économiques supplémentaires rapides et sévères à la Russie" si celle-ci annexe des territoires en Ukraine, a prévenu vendredi Joe Biden dans un communiqué.
Des milliers de citoyens russes tentent de quitter le pays afin d'éviter une mobilisation qui, selon certains médias, pourrait aller bien au-delà des 300.000 hommes annoncés par le Kremlin.
Certains hommes russes mobilisables ne veulent pas se battre et tentent de fuir la Russie par tous les moyens. Mais pour aller où ?
Olesya Hyano, médecin anesthésiste russe, arrêtée lors d'une manifestation à Moscou avant hier, témoigne sur BFMTV. Elle ne veut pas être mobilisée pour faire la guerre.
Cette jeune Russe ne veut pas être mobilisée et témoigne
Le funeste décompte se poursuit. Ce vendredi, le gouverneur de la région de Kharkiv a assuré que 436 corps avaient été exhumés des tombes situées dans une forêt de la ville d'Izioum, dont 36 portent des "signes de torture."
Les autorités ukrainiennes assurent qu'un drone iranien Shahed-136 a été abattu au-dessus de la mer.
Ce jeudi, les ministres des Affaires étrangères du G7, ainsi que le chef de la diplomatie de l'Union européenne, Josep Borrell, avaient condamné "l'escalade" de Moscou dans le conflit en Ukraine.
Les séparatistes en ont fait l'annonce mardi 20 septembre en début d'après-midi. Les referendums d'annexion par la Russie dans le Donbass seront organisés dans l'est de l'Ukraine ont commencé et courront jusqu’au 27 septembre. La région de Kherson est également concernée par ces scrutins.
Des milliers de citoyens russes tentent de quitter le pays afin d'éviter une mobilisation qui, selon certains médias, pourrait aller bien au-delà des 300.000 hommes.
Un mois et demi après avoir démissionné de Downing Street et laissé la place à Liz Truss, Boris Johnson a refait parler de lui dans les médias britanniques. Lors d'un discours au Parlement, l'ex-Premier ministre s'est exprimé sur la situation en Ukraine, affirmant notamment que le Royaume-Uni devait continuer à soutenir le pays de Volodymyr Zelensky. En voulant saluer les actions de ce dernier, le député a toutefois cité le président russe, Vladimir Poutine.
Alors que de nombreux Russes fuient la Russie, après l'annonce de la mobilisation pour la guerre en Ukraine, l'Allemagne a annoncé qu'elle accueillerait les déserteurs sur son territoire. Mais tous les pays en Europe ne sont pas d'accord sur la marche à suivre.
Moscou organise, dès ce vendredi, et jusqu'au 27 septembre, des "référendums" d'annexion dans quatre régions ukrainiennes. Une escalade dans le conflit, vivement dénoncée par Kiev et par la communauté internationale.
Un père et son fils réagissent à leur mobilisation par les autorités russes. Vladimir Poutine a annoncé mercredi la mobilisation partielle dans le pays.
Ce jeune homme âgé de 27 ans se dit "coincé" en Russie après l'appel à la mobilisation partielle. Il cherche à quitter le pays "à tout prix" et ne veut pas participer "à ce crime de guerre" en Ukraine.
La mobilisation partielle annoncée par Vladimir Poutine a provoqué une mobilisation de l’opposition à la guerre et une crainte au sein de la population. Les convocations ont déjà été envoyées à 300.000 réservistes. Mais l'oukase du chef du Kremlin a aussi provoqué panique et colère de jeunes hommes qui, dans l'urgence, cherchent à échapper à la conscription, voire à quitter le pays.
Les votes auront lieu du 23 au 27 septembre, en pleine contre-offensive ukrainienne dans les territoires conquis, depuis fin février, par la Russie.