
L'Iran frappé par une attaque de drones sur un site militaire
Trois quadricoptères, des drones munis de quatre rotors, ont visé "une usine de fabrication de munitions" située dans le nord de la ville. Téhéran a dénonce un "acte lâche".
Trois quadricoptères, des drones munis de quatre rotors, ont visé "une usine de fabrication de munitions" située dans le nord de la ville. Téhéran a dénonce un "acte lâche".
Le tremblement de terre a frappé la ville de Khoy dans le nord-ouest du pays, régulièrement sujet aux séismes. Le ministre de l'Intérieur s'est rendu sur place.
L'homme de 63 ans est détenu dans une prison iranienne depuis octobre. La France demande qu'une action coordonnée soit menée à l'échelle de l'Union européenne pour libérer tous ses otages en Iran.
Sept Français sont encore détenus en Iran, tandis que l'état de santé de l'un d'eux s'est considérablement dégradé ces derniers jours.
Le Quai d'Orsay alerte sur l'état de santé du sexagénaire, emprisonné en Iran depuis octobre, et exige une libération "sans délai". Sa sœur a également a pris la parole pour affirmer que son frère est "innocent".
Depuis réfugié en Irak, Keyvan a assuré à franceinfo que les forces de sécurité du pays visaient en priorité les zones intimes des manifestantes.
À Paris, quatre mois après la mort de Mahsa Amini et le début des manifestations en Iran, la tour Eiffel affiche le slogan "Femme, vie, liberté" en soutien au peuple iranien.
Les manifestants brandissent des drapeaux iraniens, mais aussi les portraits des manifestants condamnés à mort et exécutés par le régime en place.
7 ressortissants français sont emprisonnés en Iran. Les exécutions se sont multipliées, ces derniers jours, pour faire taire le mouvement de protestation contre le régime. La nationalité n'est plus un obstacle pour les mollahs qui ont validé la condamnation à mort d'un irano-britannique accusé d'espionnage.
L'homme de 61 ans avait été condamné pour "corruption sur Terre et pour atteinte à la sécurité intérieure et extérieure du pays pour avoir transmis des renseignements".
Après l'exécution d'Alireza Akbari pour espionnage par l'Iran, Londres a placé samedi sous sanctions le procureur général iranien et rappelé "temporairement" son ambassadeur, convoqué plus tôt par Téhéran.
Un Irano-Britannique condamné à mort pour espionnage, Alireza Akbari, a été exécuté par pendaison, a annoncé ce samedi l'agence de l'Autorité judiciaire iranienne Mizan Online. Selon cette agence, M. Akbari, 61 ans, avait été condamné pour "corruption sur Terre et pour atteinte à la sécurité intérieure et extérieure du pays pour avoir transmis des renseignements" au Royaume-Uni.
Un Irano-Britannique condamné à mort pour espionnage, Alireza Akbari, a été exécuté par pendaison, a annoncé ce samedi l'agence de l'Autorité judiciaire iranienne Mizan Online. Selon cette agence, M. Akbari, 61 ans, avait été condamné pour "corruption sur Terre et pour atteinte à la sécurité intérieure et extérieure du pays pour avoir transmis des renseignements" au Royaume-Uni.
L'homme de 61 ans avait été condamné pour "corruption sur Terre et pour atteinte à la sécurité intérieure et extérieure du pays pour avoir transmis des renseignements".
Alireza Akbari, un Britannico-Iranien, a été reconnu coupable d'espionnage et condamné à mort, provoquant de vives réactions à Londres.
Deux hommes ont été exécutés samedi, a annoncé la justice iranienne, en lien avec les manifestations en cours dans le pays. L'un d'eux était "parrainé" par la députée LFI qui avait alerté sur son sort.
Des dizaines de personnes se sont réunies devant l'ambassade de France à Téhéran après de nouvelles caricatures du guide suprême de la République islamique, l'ayatollah Ali Khamenei.
La communauté iranienne a rendu hommage aux manifestants exécutés par le gouvernement iranien, et à Mohammad Moradi, étudiant iranien qui s'est suicidé dans le Rhône pour dénoncer la situation dans son pays.
L'homme de 38 ans s'est jeté dans le Rhône lundi dernier pour alerter la communauté internationale sur les tensions et la répression qui secouent son pays.
Une homme de 38 ans s'est jeté dans le Rhône lundi dernier pour alerter la communauté internationale sur les tensions et la répression qui secouent son pays.
Deux hommes âgés de 22 et 39 ans ont été pendus samedi en Iran après avoir été accusés d'avoir tué un responsable de la milice paramilitaire Basij lors de manifestations qui ont suivi la mort de l'Iranienne kurde Mahsa Amini, en septembre.
Deux hommes ont été exécutés ce samedi en Iran après avoir été reconnus coupables d'avoir tué un paramilitaire lors des manifestations déclenchées par le décès en détention d'une jeune Kurde.
Ils avaient été reconnus coupables d'avoir tué un paramilitaire lors des manifestations déclenchées par le décès en détention d'une jeune Kurde
Le ministère français des Affaires étrangères n'a toutefois pas été officiellement informé de cette fermeture. Son homologue iranien n'a pas indiqué, dans son communiqué, jusqu'à quand les activités de l'Institut Français de Recherche en Iran (IFRI) étaient suspendues.
L'hebdomadaire satirique a publié ce mercredi des dizaines de caricatures mettant en scène la plus haute personnalité religieuse et politique de la république islamique.
Le pays est secoué par un vaste mouvement de contestation anti-régime depuis la mort d'une jeune femme après son arrestation par la police des moeurs pour infraction au code vestimentaire strict de la République islamique.