
Après les ventes à l'Inde et à l'Egypte, on ne pourra plus se moquer du Rafale
EDITO - Les contrats signés avec l'Inde et l'Egypte montrent que le Rafale se vend. Peut-être pas autant qu'espéré et sans doute aussi bien tardivement, mais ce contrat montre, face à la puissance de frappe commerciale américaine, que Dassault a su, à force de ténacité, faire valoir ses arguments.