"Nous nous opposons fermement (...) au renforcement militaire (...) des forces vassales" des États-Unis, a dénoncé le ministère de la Défense nord-coréen, critiquant par la même des ventes récentes américaines au Japon et à d'autres alliés de Washington en Asie-Pacifique.
Pour la dictature, ce chignon et ces vêtements aux manches transparentes sont un "phénomène antisocialiste". Depuis début août, ils sont interdits dans le pays. Cette interdiction vestimentaire n'est pas la première, depuis 2021, Kim Jong-un a interdit les vêtements en cuir à la population.
L'armée sud-coréenne a intercepté "un individu soupçonné d'être nord-coréen sur le front est et l'a remis aux autorités compétentes", a-t-elle annoncé ce mardi 20 août, en faisant référence à la côte est de la Corée.
Après presque cinq ans d'interdiction pour cause de pandémie, les adeptes du “dark tourism” pourront à nouveau fouler le sol de cette dictature en décembre, ont annoncé deux voyagistes spécialisés. Dans un premier temps, seule la ville de Samjiyŏn accueillera les voyageurs.
Les relations entre les deux pays sont au plus bas. Pyongyang a entrepris de renforcer ses liens militaires avec la Russie et envoie depuis plusieurs mois des de ballons lestés d'ordures vers le Sud. Séoul, de son côté, tente de faire passer de la propagande de l'autre côté de la frontière.
Selon les médias sud-coréens 1.100 à 1.500 personnes sont mortes ou disparues suite aux inondations de fin juillet. La Corée du sud a proposé son aide, sans avoir de réponse de Pyongyang.
Pyongyang renforce ses capacités militaires à la frontière alors que Séoul y a repris ses campagnes de propagande sonore contre le régime nord-coréen.
L'ancien diplomate de la Corée du Nord Ri Il Gyu affirme que Pyongyang voudrait reprendre les négociations avec les États-Unis pour essayer de lever les sanctions pesant sur ses programmes nucléaires.
