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Biden attaque Trump sur l'avortement

Biden attaque Trump sur l'avortement

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17:38

Le droit à l'avortement sera l'un des axes majeurs de Joe Biden pour battre son rival républicain le 5 novembre prochain. Et ce rival sera, sauf surprise, Donald Trump. En juin dernier, la Cour Suprême des Etats-Unis a annulé l'arrêt dit Roe v. Wade qui légalisait depuis une cinquantaine d'années l'avortement dans le pays. Et Donald Trump, qui a nommé lors de son précédent mandat 3 des juges de la Cour Suprême, s'est attribué la paternité de la décision. Les démocrates, Joe Biden en tête, ont donc lancé la semaine dernière une grande campagne pour convaincre les Américains du danger représenté par Donald Trump.

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C'est une histoire à peine croyable: un journaliste américain a pu assister aux discussions ultra-confidentielles des plus hauts responsables de l'administration américaine. Intégré par erreur à une boucle de messages sur l'application Signal, il a notamment reçu les plans d'attaque américains contre les Houthis au Yémen. Une faille de sécurité qui met en difficulté l'administration Trump, accusée d'amateurisme et de graves négligences.
Invasion par la force du Groenland, contrainte économique pour forcer le Canada à devenir le 51e État américain... Au moment de lister ses idées en matière de politique internationale, ce mardi 7 janvier en Floride, Donald Trump n'y est pas allé de main morte. Bluff ou réelles menaces? Celui dont la victoire vient d'être certifié par le Congrès montre en tout cas les muscles, à quelques jours de la conclusion de son procès devant un tribunal de New York, dans l'affaire Stormy Daniels.
Réception de chefs d'États dans sa résidence en Floride, déplacement en France pour la réouverture de Notre-Dame de Paris, annonce de décrets signés au premier jour de son mandat... Donald Trump, qui ne prendra le pouvoir que le 20 janvier, se comporte déjà comme le président des États-Unis. Dans ce podcast, Benoît Ballet et Thierry Arnaud analysent les faits politiques qui montrent que Donald Trump, une fois de plus, occupe le devant de la scène.
Dimanche dernier, Joe Biden a pris la décision de gracier son fils Hunter. Un pouvoir dévolu au président des États-Unis, qu'il aurait perdu au 20 janvier prochain, avec l'investiture de Donald Trump. Cette grâce présidentielle a fait grincer des dents dans chez les démocrates: beaucoup déplorent, à visage découvert, une décision qui va saper les fondements de la justice américaine, dont le président se réclamait comme le garant. La décision achève de ternir la fin de mandat de Joe Biden, après la défaite de son camp à l'élection présidentielle et l'impossibilité de mettre fin aux conflits dans le monde.
Lundi 25 novembre, le procureur spécial Jack Smith, en charge de deux procédures pénales contre Donald Trump, a demandé l'arrêt des poursuites contre le président-élu. Une victoire sans appel pour le républicain, alors que les deux autres affaires contre lui sont aussi sur le point d'être reportées à 2029, ou tout simplement annulées. Pourquoi cette décision? Est-ce une surprise? Benoit Ballet et Thierry Arnaud font le point sur les derniers développements judiciaires autour de Donald Trump.
Dans deux mois, jour pour jour, Donald Trump va s'installer à la Maison Blanche. Sa priorité qui est aussi sa grande promesse de campagne: l'expulsion de millions de migrants sans papiers. Le Président élu se prépare pour prendre des mesures dès le premier jour de son mandat. Cette semaine, il a confirmé qu'il était prêt à déployer l'armée pour mener ce qu'il appelle "la plus grande déportation de l'Histoire".
Le téléphone rouge sonnera peut-être à nouveau. Vladimir Poutine accepte de parler au futur président des États-Unis. Donald Trump voulait mettre fin à la guerre en Ukraine en 24h. Et qu’en est-il de la guerre à Gaza? Le républicain veut instaurer de nouveaux droits de douane contre la Chine par exemple. Trump face au reste du monde, bienvenue dans le Washington briefing.