François Fillon maintient sa candidature coûte que coûte. Il est pourtant convoqué devant les juges le 15 mars prochain, en vue d'une mise en examen. "Je ne céderai pas", a-t-il dit, dénonçant "un assassinat politique". Dans cette affaire, "l'État de droit" estime-t-il, a "été systématiquement violé". Pour le candidat, il n'a pas été "traité comme un justiciable comme les autres." "Cela se voit dans le choix de la date du 15 mars, deux jours avant la clôture du dépôt des candidatures". Il se rendra néanmoins à la convocation des juges, déclarant: "Je leur dirai ma vérité, qui est la vérité." Ce nouveau rebondissement ternit un peu plus la campagne du candidat, déjà mal en point. - Pour en parler: Éric Halphen, conseiller à la Cour d'appel de Paris, ancien juge anti-corruption et soutien d'Emmanuel Macron. Et Pierre-Olivier Sur, ancien bâtonnier et avocat pénaliste. - 19h Ruth Elkrief, du mercredi 1er mars 2017, présentée par Ruth Elkrief sur BFMTV.
La campagne électorale a connu un tournant ce mercredi. François Fillon a annoncé qu'il maintenait sa candidature, malgré une convocation par les juges le 15 mars prochain, en vue d'une mise en examen. "Je ne céderai pas", a-t-il déclaré, dénonçant "un assassinat politique". En pleine tourmente dans la campagne du candidat de la droite et du centre, l'entourage de François Fillon a indiqué vouloir rassembler les soutiens de l'ex-Premier ministre au Trocadéro à Paris, ce dimanche. "Ce n'est pas un rassemblement contre les juges, mais un rassemblement pour sa candidature", a précisé le député LR Jérôme Chartier, sur France 5. "C'est à 15h, tout le monde est le bienvenu", a-t-il ajouté. - On en parle avec: Christophe Barbier, éditorialiste de BFMTV. Serge Raffy, éditorialiste à l'Obs. Et Raphaël Stainville, rédacteur en chef du service politique de Valeurs actuelles. - Grand Angle, du mercredi 1er mars 2017, présenté par Jean-Baptiste Boursier, sur BFMTV.
François Fillon ira jusqu'au bout. Il a annoncé ce mercredi qu'il maintiendrait sa candidature, malgré une convocation par les juges le 15 mars prochain, en vue d'une mise en examen. "Je ne céderai pas", a-t-il déclaré, dénonçant "un assassinat politique". Pour le candidat, il n'a pas été "traité comme un justiciable comme les autres." "Cela se voit dans le choix de la date du 15 mars, deux jours avant la clôture du dépôt des candidatures". Ce nouveau rebondissement ternit un peu plus la campagne du candidat, déjà mal en point. - On en parle avec: Guillaume Tabard, rédacteur en chef et éditorialiste politique au Figaro. Jean-Michel Aphatie, journaliste politique France Info, auteur de "On prend (presque) les mêmes et on recommence" (Ed. Flammarion, 2016). Florence Portelli, maire LR de Taverny (Val-d'Oise), porte-parole de François Fillon. Et Bruno Jeudy, notre éditorialiste politique. - Grand Angle, du mercredi 1er mars 2017, présenté par Jean-Baptiste Boursier, sur BFMTV.
La campagne électorale pour la présidentielle a connu un autre tournant ce mercredi. Et pour cause, François Fillon a essuyé une vague de défections dans son propre camp suite au maintien de sa candidature malgré sa convocation devant les juges le 15 mars, en vue d'une mise en examen. Bruno Le Maire a ouvert le bal en démissionnant de ses fonctions au sein de l'équipe Fillon. Plusieurs de ses soutiens lui ont ensuite emboîté le pas, à l'instar de Franck Riester, Alain Chrétien ou encore Arnaud Robinet. Par ailleurs, l'UDI a décidé de "suspendre" sa participation à la campagne. À noter que Catherine Vautrin, vice-présidente LR de l'Assemblée, veut le retrait de Fillon et réclame "un autre candidat". - Avec: Jean-Michel Aphatie, journaliste politique à France Info. Guillaume Tabard, rédacteur en chef et éditorialiste politique au Figaro. Et notre éditorialiste Bruno Jeudy. - Grand Angle, du mercredi 1er mars 2017, présenté par Jean-Baptiste Boursier, sur BFMTV.
La journée de ce mercredi a été très mouvementée pour François Fillon, qui devait se rendre dès 8 heures au Salon de l'agriculture. En cause, un nouveau rebondissement dans l'affaire d'emplois présumés fictifs au bénéfice de son épouse et de ses enfants ternit un peu plus sa campagne présidentielle. Depuis son QG de campagne, il a annoncé qu'il était convoqué le 15 mars pour être mis en examen, mais qu'il maintenait malgré tout sa candidature. Le candidat de la droite et du centre s'est finalement rendu à la porte de Versailles, un peu avant 15 heures, pour rencontrer les agriculteurs. Par ailleurs, la journée de François Fillon s'est terminée avec une autre mauvaise nouvelle: l'UDI a annoncé qu'elle suspendait sa participation à la campagne du candidat. - Un document "Grand Angle BFMTV" du mercredi 1er mars 2017.
Empêtré dans une affaire d'emplois présumés fictifs au bénéfice de son épouse et de ses enfants, François Fillon a convoqué la presse à la mi-journée depuis son QG de campagne. Le candidat de la droite et du centre a alors annoncé qu'il a reçu une convocation en vue d'être mis en examen. "Mon avocat a été informé que je serai convoqué le 15 mars afin d'être mis en examen", a-t-il déclaré. Malgré ce nouveau rebondissement qui ternit un peu plus sa campagne, l'ancien Premier ministre de Nicolas Sarkozy maintient sa candidature et "ira jusqu'au bout". Pour poursuivre la riposte, un rassemblement de soutien pro-Fillon sera organisé ce dimanche après-midi à Paris. - Un document "Grand Angle BFMTV" du mercredi 1er mars 2017.
Jean-Marie Bockel, vice-président de l'UDI, sénateur du Haut-Rhin, conseiller stratégique dans l'équipe de campagne de François Fillon, est revenu sur la décision de l'UDI de suspendre sa participation dans la campagne de François Fillon. Une décision qui intervient après l'annonce de sa convocation devant les juges le 15 mars prochain, en vue d'une mise en examen. "On ne peut pas poursuivre sans qu'un certain nombre de difficultés et d’ambiguïtés ne soient levés", a déclaré Jean-Marie Bockel. Une décision définitive sera prise la semaine prochaine sur le maintien du soutien, ou non, au candidat de la droite et du centre à l'élection présidentielle. - News & Compagnie du mercredi 1er mars 2017, présenté par Nathalie Levy, sur BFMTV.
François Fillon ira jusqu'au bout. Il a annoncé ce mercredi qu'il maintiendrait sa candidature, malgré une convocation par les juges le 15 mars prochain, en vue d'une mise en examen. "Je ne céderai pas", a-t-il déclaré, dénonçant "un assassinat politique". Pour le candidat, il n'a pas été "traité comme un justiciable comme les autres." "Cela se voit dans le choix de la date du 15 mars, deux jours avant la clôture du dépôt des candidatures". Ce nouveau rebondissement ternit un peu plus la campagne du candidat, déjà mal en point. - On en parle avec: Ludovic Vigogne, journaliste politique à L'Opinion. Jean-Yves Leborgne, avocat, vice-bâtonnier au barreau de Paris, proche de François Fillon. Sébastien Chenu, délégué national du Rassemblement Bleu Marine, conseiller régional FN de Picardie-Nord-Pas-de-Calais. Ainsi que notre éditorialiste politique Bruno Jeudy. - News & Compagnie du mercredi 1er mars 2017, présenté par Nathalie Levy, sur BFMTV.
François Fillon maintient sa candidature coûte que coûte. Il est pourtant convoqué devant les juges le 15 mars, en vue d'une mise en examen. "Je ne céderai pas", a-t-il dit, dénonçant "un assassinat politique". Un nouveau rebondissement qui ternit un peu plus la campagne du candidat, déjà mal en point. Il essuie notamment une nouvelle vague de défections dans son propre camp. Bruno Le Maire a, entre autres, annoncé qu'il démissionnait de ses fonctions auprès de François Fillon. Plusieurs de ses soutiens lui ont emboîté le pas, à l'instar de Franck Riester, député-maire LR de Coulommiers, ou du député de Haute-Saône Alain Chrétien. L'UDI a par ailleurs suspendu sa participation à la campagne. - On en parle avec: Gérard Longuet, sénateur LR de la Meuse, conseiller politique du candidat François Fillon. Judith Waintraub, journaliste politique au Figaro. Ainsi que notre éditorialiste politique Bruno Jeudy. - News & Compagnie du mercredi 1er mars 2017, présenté par Nathalie Levy, sur BFMTV.
Alain Marschall et ses invités ont débattu autour de la conférence de presse improvisée de François Fillon, ce mercredi, à son QG de campagne. "C'est un assassinat en effet, mais par ce déchaînement disproportionné, sans précédent connu, par le choix de ce calendrier, ce n'est pas moi seulement qu'on assassine, c'est l'élection présidentielle", a-t-il déclaré. Le candidat de la droite et du centre n'a pas non plus hésité à se poser comme une victime. Il a attaqué l'institution judiciaire et a dénoncé une "enquête menée exclusivement à charge". Par ailleurs, François Fillon est lâché par Bruno Le Maire et des élus de droite, alors que l'UDI suspend sa participation à la campagne du candidat. - On en parle avec: Isabelle Le Callennec, porte-parole de François Fillon. Ruth Elkrief et Bruno Jeudy, nos éditorialistes politiques. Ainsi que Thierry Arnaud, notre chef du service politique. - 20H 2017 du mercredi 1er mars 2017, présenté par Alain Marschall, sur BFMTV.
La campagne électorale a connu un tournant ce mercredi. François Fillon a annoncé qu'il maintenait sa candidature, malgré une convocation par les juges le 15 mars prochain, en vue d'une mise en examen. "Je ne céderai pas", a-t-il dit, dénonçant "un assassinat politique". Le 26 janvier dernier, François Fillon avait pourtant déclaré qu'il se retirerait s'il était mis en examen. S'indignant d'une justice à charge, le candidat en appelle ainsi au peuple. Les soutiens de François Fillon s'organisent, en effet, pour un grand rassemblement populaire, prévu ce dimanche 5 mars à Paris. - On en parle avec: Bernard Sananès, président de l'Institut de sondages Elabe. Ruth Elkrief, éditorialiste politique de BFMTV. Thierry Arnaud, notre chef du service politique. Et Cécile Danré, journaliste au service police-justice de BFMTV. - 20H 2017, du mercredi 1er mars 2017, présenté par Alain Marschall, sur BFMTV.
Anne Rosencher, directrice déléguée de la rédaction de L'Express, Maurice Szafran, éditorialiste à Challenges, François d'Orcival, éditorialiste à Valeurs actuelles, et Hervé Gattegno, éditorialiste politique à BFMTV, directeur de la rédaction du JDD, étaient les invités de Ruth Elkrief. Ils ont débattu du maintien de la candidature de François Fillon à la présidentielle, malgré sa mise en examen qui sera prononcée le mercredi 15 mars. - Édition spéciale du mercredi 1er mars 2017, présentée par Ruth Elkrief, sur BFMTV.
Olivier Truchot et ses invités se sont intéressés au maintien de la candidature de François Fillon à la présidentielle, malgré sa mise en examen qui sera prononcée le mercredi 15 mars. Le candidat de la droite et du centre l'a annoncé lui-même, à la mi-journée. "Je ne céderai pas, je ne me retirerai... C'est un assassinat politique", a-t-il déclaré. D'ailleurs, il s'en est pris à la justice. Par ailleurs, certains de ses camarades sont en train de le quitter. - Décryptage avec: Gaël Sliman, président de l'Institut Odoxa. Hervé Gattegno, éditorialiste politique à BFMTV. Nicolas Dupont-Aignan, candidat "Debout La France" à l'élection présidentielle. Gilbert Collard, Député RBM-FN du Gard. Et Benjamin Griveaux, porte-parole d'Emmanuel Macron. - Édition spéciale du mercredi 1er mars 2017, présentée par Olivier Truchot, sur BFMTV.
Valérie Pécresse, présidente de la Région Île-de-France, était l'invitée de Ruth Elkrief. Elle a réagi au maintien de la candidature de François Fillon à la présidentielle, malgré sa mise en examen qui sera prononcée le mercredi 15 mars. - Édition spéciale du mercredi 1er mars 2017, présentée par Ruth Elkrief, sur BFMTV.
Gilbert Collard, député RBM-FN du Gard, a réagi au maintien de la candidature de François Fillon. Le candidat LR à la présidentielle est pourtant convoqué devant les juges le 15 mars prochain, en vue d'une mise en examen dans l'affaire des emplois présumés fictifs de son épouse et de deux de ses enfants. "Je ne céderai pas", a-t-il dit, dénonçant "un assassinat politique". Le 26 janvier dernier, François Fillon avait pourtant déclaré qu'il se retirerait s'il était mis en examen. "Il s'est pris lui-même à son propre piège", estime Gilbert Collard, ajoutant que "François Fillon a donné à la mise en examen une portée morale. - Édition spéciale du mercredi 1er mars 2017, présentée par Olivier Truchot, sur BFMTV.
François Fillon maintient sa candidature coûte que coûte. Il est pourtant convoqué devant les juges le 15 mars prochain, en vue d’une mise en examen. "Je ne céderai pas", a-t-il dit, dénonçant "un assassinat politique". Un nouveau rebondissement qui ternit un peu plus la campagne du candidat, déjà mal en point. Le parti centriste UDI, a par ailleurs, décidé de "suspendre" sa participation à la campagne présidentielle de François Fillon. Plus tôt dans l'après-midi, Bruno Le Maire a annoncé qu'il démissionnait de ses fonctions auprès de ce dernier. - Avec: Philippe Houillon, député LR du Val-d'Oise et soutien de François Fillon. Benjamin Blanchet, magistrat, ancien substitut au parquet financier de Nanterre et membre de l'Union syndicale des magistrats. Virginie Le Guay, chef-adjoint du service politique de Paris Match. Et Bernard Sananès, président de l'institut Elabe. - Édition spéciale du mercredi 1er mars 2017, présentée par Olivier Truchot, sur BFMTV.
A 21 ans, une jeune femme atteinte de trisomie 21 rêve de présenter la météo à la télé. Pour y parvenir, elle lance "Mélanie peut le faire", une vaste campagne sur les réseaux sociaux. La date butoir sera le 27 mars. D'ici-là, son objectif est d'avoir 100 000 likes pour pouvoir interpeller le monde sur le handicap. Un défi presque atteint car ce matin, "Mélanie peut le faire" a déjà récolté plus de 80 000 likes. - La Pépite, du mercredi 1er mars 2017, présenté par Julien Mielcarek, sur BFMTV.
Jean-Jacques Bourdin reçoit Henri Guaino, candidat LR à la présidentielle, dans "Bourdin Direct" sur BFMTV et RMC, ce mercredi 1er mars 2017.
Empêtré dans ses négociations avec Yannick Jadot et les écologistes, Benoît Hamon est devenu la cible d'une pression de l'aile droite du PS. Certains sont même tentés de rejoindre le mouvement d'Emmanuel Macron. Manuel Valls se dit inquiet de l'alliance Jadot-Hamon et estime que le vainqueur de la primaire socialiste se penche trop à gauche. Selon Christophe Barbier, les socialistes se trouvent face à un grand dilemme: vaut-il mieux gagner avec Emmanuel Macron ou perdre avec Benoît Hamon ? Face à cette situation, le PS se dirige vers une rupture. - L’édito de Christophe Barbier, du mercredi 1er mars 2017, sur BFMTV.
Depuis quelques temps, les applications musicales rencontrent un franc succès chez les jeunes. Musicalli est l'une d'elles. Elle consiste à tourner un clip en faisant du playback sur les chansons de stars. Loin d'être nocives, ces types d'applications stimulent la créativité des jeunes. Il faut néanmoins une surveillance des parents sur la question de sécurité sur internet. Yellow, une autre application mobile de rencontres cartonne en ce moment. D'origine française, cette appli fait un tabac en Angleterre et aux Etats-Unis avec dix millions d'utilisateurs dont 70% sont des adolescents. - Avec: Boris Manenti, chef de la rubrique high-tech de l'Obs. - C'est votre vie, du mercredi 1er mars 2017, sur BFMTV.
