C'est un coup de théâtre. Après des mois d'interrogations, François Hollande a mis fin au suspense et a décidé de ne pas se présenter à sa propre succession en 2017. Une annonce inédite dans l'histoire de la Vème République, qui ouvre le bal de sa succession à gauche au terme d'un mandat marqué par une persistante impopularité. - Pour en parler: Thierry Arnaud, chef du service politique à BFMTV. Ruth Elkrief éditorialiste politique à BFMTV. Sophie Coignard, éditorialiste politique au Point. Cécile Cornudet, éditorialiste politique aux Echos. Et Fabrice Lhomme, journaliste d'investigation au journal Le Monde. - Édition spéciale, du jeudi 1er décembre 2016, présentée par Jean-Baptiste Boursier, sur BFMTV.
C'est un coup de théâtre. Après des mois d'interrogations, François Hollande a mis fin au suspense et a décidé de ne pas se présenter à sa propre succession en 2017. Une annonce inédite dans l'histoire de la Vème République, qui ouvre le bal de sa succession à gauche au terme d'un mandat marqué par une persistante impopularité. - Pour en parler: Thierry Arnaud, notre chef du service politique. Cécile Cornudet, éditorialiste politique aux Échos. Fabrice Lhomme, journaliste d'investigation au journal Le Monde. Serge Raffy, éditorialiste à L'Obs. Et Ruth Elkrief, notre éditorialiste politique. - Édition spéciale, du jeudi 1er décembre 2016, présentée par Jean-Baptiste Boursier, sur BFMTV.
Yannick Jadot, candidat EELV à l'élection présidentielle, a réagi au renoncement de François Hollande à briguer un second mandat. Pour le dirigeant écologiste, "c'est une décision par défaut" car "c'est le contexte qui l'empêche de se présenter". "Lui, bête politique depuis des années, il n'avait qu'une envie: c'est de se représenter. "Mais la politique qu'il a menée ne lui permettait pas de se présenter", a-t-il martelé.
C'est un coup de théâtre. Après des mois d'interrogations, François Hollande a mis fin au suspense et a décidé de ne pas se présenter à sa propre succession en 2017. Une annonce inédite dans l'histoire de la Vème République, qui ouvre le bal de sa succession à gauche au terme d'un mandat marqué par une persistante impopularité. - Pour en parler: Joseph Macé-Scaron, président du comité éditorial de "Marianne". Serge Raffy, éditorialiste à L'Obs. Fabrice Lhomme, journaliste d'investigation au journal Le Monde. Ruth Elkrief, éditorialiste politique de BFMTV. Et Thierry Arnaud, chef du service politique de BFMTV. - Édition spéciale, du jeudi 1er décembre 2016, présentée par Jean-Baptiste Boursier, sur BFMTV.
C'est un coup de théâtre. Après des mois d'interrogations, François Hollande a mis fin au suspense et a décidé de ne pas se présenter à sa propre succession en 2017. Une annonce inédite dans l'histoire de la Vème République, qui ouvre le bal de sa succession à gauche au terme d'un mandat marqué par une persistante impopularité. - Pour en parler: Laurent Bouvet, professeur de science politique. Joseph Macé-Scaron, président du comité éditorial de Marianne. Thierry Arnaud, notre chef du service politique. Ainsi qu'Apolline de Malherbe et Ruth Elkrief, éditorialistes politiques de BFMTV. - Édition spéciale, du jeudi 1er décembre 2016, présentée par Jean-Baptiste Boursier, sur BFMTV.
François Kalfon, directeur de campagne d'Arnaud Montebourg, a réagi au renoncement de François Hollande à briguer un second mandat.
C'est un coup de théâtre. Après des mois d'interrogations, François Hollande a mis fin au suspense et a décidé de ne pas se présenter à sa propre succession en 2017. Une annonce inédite dans l'histoire de la Vème République, qui ouvre le bal de sa succession à gauche au terme d'un mandat marqué par une persistante impopularité. - Pour en parler: Aurélie Filippetti, députée de Moselle, ancienne ministre de la Culture. Olivier Faure, député PS de la Seine-et-Marne. Cécile Amar, grand reporter à L'Obs. Jean-Sébastien Ferjou, directeur de la publication d'Atlantico. Ainsi que nos éditorialistes politiques Christophe Barbier, Bruno Jeudy et Apolline de Malherbe. - Édition spéciale, du jeudi 1er décembre 2016, présentée par Alain Marschall, sur BFMTV.
C'est un coup de théâtre. Après des mois d'interrogations, François Hollande a mis fin au suspense et a décidé de ne pas se présenter à sa propre succession en 2017. Une annonce inédite dans l'histoire de la Vème République, qui ouvre le bal de sa succession à gauche au terme d'un mandat marqué par une persistante impopularité. - Pour en parler: Aurélie Filippetti, députée de Moselle, ancienne ministre de la Culture. Ainsi que nos éditorialistes politiques Christophe Barbier, Bruno Jeudy et Apolline de Malherbe. - Édition spéciale, du jeudi 1er décembre 2016, présentée par Alain Marschall, sur BFMTV.
Nicolas Bay, secrétaire général du Front national, a réagi au renoncement de François Hollande à briguer un second mandat en 2017. Pour lui, "c'était le seul choix que le président de la République, massivement rejeté par les Français, pouvait faire". "Il n'avait pas tellement d'autres possibilités pour éviter une humiliation encore plus grande que celle d'un quinquennat qui a été désastreux", a-t-il ajouté.
Thierry Solère, le nouveau porte-parole de François Fillon, a réagi au renoncement de François Hollande à briguer un second mandat en 2017. Pour lui, "le président de la République se rend compte du bilan de son quinquennat, de l'état de sa propre majorité, et prend également acte de la mobilisation de plus de 4 millions de Français, qui ont porté François Fillon très nettement vainqueur de la primaire à droite".
Gilbert Collard, député RBM-FN du Gard, a réagi au renoncement de François Hollande à briguer un second mandat. Pour l'élu du Gard, le chef de l'État "a renoncé à cause de la pression qu'a exercée sur lui Manuel Valls et et de la crainte de l'humiliation que les primaires auraient pu lui infliger".
Éric Ciotti, député LR des Alpes-Maritimes, a réagi au renoncement de François Hollande à briguer un second mandat en 2017. Pour l'élu, "le président de la République tire les conséquences d'un bilan catastrophique". "Ce renoncement, c'est le signe d'un échec absolu", a-t-il avancé.
Benoist Apparu, député LR de la Marne, a réagi au renoncement de François Hollande à briguer un second mandat en 2017. Pour l'élu, "C'est une fin dramatique". "On a eu un mauvais quinquennat, un mauvais bilan, un mauvais Président. Il en tire les conséquences ce soir", a-t-il estimé.
Éric Woerth, député LR de l'Oise, a réagi au renoncement de François Hollande à briguer un second mandat en 2017. Pour l'élu, il y a du réalisme dans la décision du chef de l’État qui est, selon lui, incapable de fédérer son camp et sa famille politique. "Donc, il en tire des conséquences, une longue série d'échecs et d'atermoiements. Manuel Valls et Emmanuel Macron en sont aussi coresponsables", a-t-il lancé.
Didier Guillaume, président du groupe socialiste au Sénat, a réagi au renoncement de François Hollande à briguer un second mandat en 2017. Pour l'élu, "le Président a été honnête et courageux". "Il a montré qu'il était capable de prendre des décisions fortes", a-t-il ajouté.
François de Rugy, député écologiste et candidat à la primaire à gauche, a réagi au renoncement de François Hollande à briguer un second mandat en 2017. Pour l'élu, "Il a tiré les conclusions logiques d'une situation politique qui ne lui permettait pas d'envisager un nouveau mandat". "Je salue son sens des responsabilités", a-t-il déclaré.
Florian Philippot, vice-président du Front national, a réagi au renoncement de François Hollande à briguer un second mandat en 2017. Pour l'élu, "C'est une heureuse décision pour la France après un quinquénnat catastrophique".
Laurent Baumel, député PS d'Indre-et-Loire, chef de file des frondeurs, a réagi au renoncement de François Hollande à briguer un second mandat en 2017. Pour l'élu, "le président de la République a mené une politique qui l'a éloigné finalement de la gauche et de ses électeurs et qui a aussi conduit à de nombreuses défaites socialistes aux élections locales. Et aujourd'hui, c'est lui qui constate qu'il n'est pas finalement en mesure d'incarner la gauche dans la prochaine élection présidentielle".
C'est un coup de théâtre. Après des mois d'interrogations, François Hollande a mis fin au suspense et a décidé de ne pas se présenter à sa propre succession en 2017. Une annonce inédite dans l'histoire de la Vème République, qui ouvre le bal de sa succession à gauche au terme d'un mandat marqué par une persistante impopularité. - Pour en parler: Bernard Poignant, conseiller à l'Élysée, ancien maire de Quimper, ancien député. Elsa Freyssenet, journaliste au service Enquêtes des "Echos ", auteur de "Ca n'a aucun sens" (Ed. Plon, 2016). Ainsi qu'Apolline de Malherbe, Bruno Jeudy et Ruth Elkrief, éditorialistes politiques de BFMTV. - Édition spéciale, du jeudi 1er décembre 2016, présentée par Jean-Baptiste Boursier, sur BFMTV.
C'est un coup de théâtre. Après des mois d'interrogations, François Hollande a mis fin au suspense et a décidé de ne pas se présenter à sa propre succession en 2017. Une annonce inédite dans l'histoire de la Vème République, qui ouvre le bal de sa succession à gauche au terme d'un mandat marqué par une persistante impopularité. - Pour en parler: Thierry Arnaud, chef du service politique de BFMTV. Ainsi que nos éditorialistes politiques Ruth Elkrief, Apolline de Malherbe et Christophe Barbier. - Édition spéciale, du jeudi 1er décembre 2016, présentée par Alain Marschall, sur BFMTV.
Benoît Hamon, ancien ministre de l'Education nationale, candidat à la primaire de la gauche, a réagi au renoncement de François Hollande à briguer un second mandat en 2017. Pour l'élu, cette décision traduit une "forme d'humilité et de lucidité qu'il faut reconnaître".
C'est un coup de théâtre. Après des mois d'interrogations, François Hollande a mis fin au suspense et a décidé de ne pas se présenter à sa propre succession en 2017. Une annonce inédite dans l'histoire de la Vème République, qui ouvre le bal de sa succession à gauche au terme d'un mandat marqué par une persistante impopularité. - Pour en parler: Thierry Arnaud, chef du service politique de BFMTV. Ainsi que nos éditorialistes politiques Ruth Elkrief, Anna Cabana et Christophe Barbier. - Édition spéciale, du jeudi 1er décembre 2016, présentée par Alain Marschall, sur BFMTV.
Bruno Retailleau, sénateur LR de la Vendée, a réagi au renoncement de François Hollande à briguer un second mandat en 2017. Pour l'élu, "C'est un aveu d'échec". "S'il y avait eu un petit trou de souris, François Hollande aurait pris une décision inverse", estime-t-il.
Razzy Hammadi, député PS de Seine-Saint-Denis, a réagi au renoncement de François Hollande à briguer un second mandat en 2017. Pour l'élu, cette décision "n'est le fait d'aucune pression individuelle ou d'aucune stratégie de contrainte".
François Hollande a pris la parole à 20 heures ce jeudi soir, depuis l'Élysée. Le chef de l'État a annoncé aux Français qu'il ne briguera pas un second mandat. "J'ai décidé de ne pas être candidat à l'élection présidentielle", a déclaré le président de la République dans une allocution d'une dizaine de minutes. "Dans les mois qui viennent, mon seul devoir sera de continuer à diriger le pays, celui que vous m'avez confié en 2012", a poursuivi le locataire de l'Élysée.
François Hollande s'exprimera en direct du palais de l'Élysée, ce soir à 20 heures, a fait savoir son entourage. Les proches du président refusent toutefois à toute autre précision. Le chef de l'État devrait annoncer à cette occasion si oui ou non il est candidat à un second mandat présidentiel. Alors va-t-il annoncer sa candidature ? - Avec: Gérard Larcher, président du Sénat, directeur du comité politique du parti LR et proche de François Fillon. Anna Cabana, éditorialiste politique de BFMTV, rédactrice en chef du service politique au JDD. Thierry Arnaud, notre chef du service politique. Et David Revault d'Allonnes, éditorialiste politique au JDD. - Édition spéciale sur l'intervention de François Hollande depuis l'Élysée, du jeudi 1er décembre 2016, présentée par Ruth Elkrief, sur BFMTV.
François Hollande va-t-il enfin se lancer dans la course à la présidentielle ? Après avoir longtemps entretenu le suspense, le chef de l'État s'exprimera en direct depuis l’Élysée, ce jeudi soir, à 20 heures, a indiqué son entourage à l'AFP. Il devrait annoncer à cette occasion si oui ou non il est candidat à un second mandat présidentiel. L'annonce intervient le jour-même où la gauche donne le coup d'envoi de sa campagne et ouvre le dépôt des candidatures pour la primaire. Or, ces derniers jours, plusieurs de ses proches ont mis en doute l'intérêt pour le Président de se prêter à l'exercice. - Avec: Jérôme Guedj, conseiller départemental de l'Essonne et membre du bureau national du Parti socialiste. Maurice Szafran, éditorialiste à Challenges. Guillaume Roquette, directeur de la rédaction du Figaro Magazine. Et Gaël Sliman, président et cofondateur de l'institut de sondages Odoxa. - 19h Ruth Elkrief, du jeudi 1er décembre 2016, sur BFMTV.
Après la primaire de la droite, celle de la gauche commence officiellement aujourd'hui. À l'ouverture de la campagne, Arnaud Montebourg a été le premier à officialiser sa candidature. En effet, l'ancien ministre de l'Économie a déposé ce lundi ses parrainages en vue de sa participation à ce scrutin initié par le Parti socialiste. Pour l'heure, sept candidats sont a priori sur la ligne de départ, en attendant François Hollande. Pour Gérard Filoche, membre du bureau national du PS et candidat à la primaire de la gauche, le chef de l'État ne doit pas se présenter. Alors que va faire François Hollande ? - Décryptage avec: Carole Barjon, journaliste politique à L'Obs. Thierry Arnaud, notre chef du service politique. Et Bruno Jeudy, notre éditorialiste politique. - BFM Story, du jeudi 1er décembre 2016, présenté par Olivier Truchot, sur BFMTV.
À peine désigné par les électeurs de la droite et du centre, François Fillon repart en campagne. Le candidat de la droite était ce jeudi en déplacement dans son fief sarthois, où il a préconisé la relance des privatisations, afin de financer de nouvelles infrastructures. "Le pays est terriblement endetté, il va devoir faire face à la remontée des taux d'intérêt dans les prochains mois ou les prochaines années. Comment investir quand on n'a pas d'argent ? Moi je veux reprendre les privatisations, que l’État sorte des entreprises du secteur commercial où il n'est pas absolument nécessaire", a-t-il plaidé. Rappelons que l’État français est aujourd'hui présent au capital de 81 entreprises. La valeur de ses participations représentait fin avril près de 90 milliards d'euros. - Avec: Jean-Marc Sylvestre, éditorialiste économie à Atlantico. Et Thierry Arnaud, chef du service politique de BFMTV. - BFM Story, du jeudi 1er décembre 2016, présenté par Olivier Truchot, sur BFMTV.
Une primaire en chasse une autre. Après la primaire de la droite, la gauche donne ce jeudi le coup d'envoi de sa campagne et ouvre le dépôt des candidatures. Pour l'heure, seul Arnaud Montebourg a déposé officiellement la sienne. Au sein du PS, Benoît Hamon et Marie-Noëlle Lienemann disent également avoir déjà recueilli leurs parrainages, tandis que Gérard Filoche rassemble encore les siens. François de Rugy du parti écologiste et Jean-Luc Bennahmias de l'union des démocrates et écologistes souhaitent également être candidats, tout comme Pierre Larrouturou. François Hollande, lui, entretient le suspense quant à sa candidature. Ses proches de ont évoqué l'éventualité que le Président, une fois candidat, ne se présente pas dans le cadre de la primaire. - Pour en parler: Gérard Filoche, candidat à la primaire de la gauche. Et Hervé Gattegno, éditorialiste politique à BFMTV. - BFM Story, du jeudi 1er décembre 2016, présenté par Olivier Truchot, sur BFMTV.
Du 30 novembre au 5 décembre se tient le 32ème Salon du livre et de la presse jeunesse. Deux milles auteurs et illustrateurs y sont attendus. Le public cible est toujours les enfants qui, selon certains, lisent de moins en moins. C'est dans cette optique que les professionnels ont varié les animations et les genres littéraires pour attirer le maximum de jeunes et pour éveiller de façon ludique leur goût pour les livres. Jusqu'à dimanche, les enfants pourront assister à des spectacles, rencontrer leurs auteurs, discuter de leur livre préféré,... - Culture & Vous, du jeudi 1er décembre 2016, présenté par Candice Mahout, sur BFMTV.
Alors qu'une bonne partie de la France monte le chauffage depuis quelques jours, la technologie a quelques solutions pour vous faire économiser. La start-up Qarnot Computing veut remplacer nos radiateurs par des ordinateurs. Son idée: récupérer la chaleur dégagée par des PC qui moulinent pour chauffer les logements. L'entreprise a conçu des radiateurs qui cachent des sortes de gros disques durs, pleins de processeurs informatiques. Ces ordinateurs, installés chez vous, sont utilisés à distance par des entreprises qui ont besoin de puissance de calcul pour faire des jeux vidéo ou de l'animation 3D. Avantage de poids de ce dispositif actuellement testé dans une centaine de logements à Paris: plus de facture, le chauffage devient totalement gratuit. En attendant que cette technologie soit disponible partout en France, on peut se rabattre sur les radiateurs connectés, que l'on peut piloter à distance. - Culture Geek, du jeudi 1er décembre 2016, présenté par Anthony Morel, sur BFMTV.
François Hollande vient d'évoquer le patrimoine universel, une potentielle mesure choc pour 2017. C'était un franco-britannique qui en a eu l'idée en 1794, à l'Assemblée nationale. Il ne s'agit pas d'un revenu, mais d'un capital de départ. D'après Nicolas Doze, le patrimoine universel pourrait être une somme versée une seule fois probablement à 18 ans pour financer ses études ou fonder son entreprise. Octroyée sous forme de prêt, celle-ci serait garantie par l’État et devrait être remboursée dans un certain délai. - L'édito Eco de Nicolas Doze, du jeudi 1er décembre 2016, sur BFMTV.
Jean-Jacques Bourdin reçoit François Bayrou, président du MoDem et maire de Pau, dans "Bourdin Direct" sur BFMTV et RMC, ce jeudi 1er décembre 2016.
Dopé par sa victoire à la primaire, François Fillon est largement en tête pour la course à l'Élysée. Selon le dernier sondage Elabe pour Bfmtv, il recueillerait au moins 30% des voix au premier tour. Marine Le Pen arrive en deuxième position, mais avec 24% ou 25% des intentions de vote. En cas de second tour, l'ancien Premier ministre s'imposerait aisément dans un duel avec la candidate du FN. - L’édito de Christophe Barbier, du jeudi 1er décembre 2016, sur BFMTV.
Au fil des années, la politesse est devenue désuète alors qu'elle est nécessaire à la fluidité des rapports sociaux. Heureusement, les bonnes manières et le savoir-vivre sont des choses qui s'apprennent. Pour rester poli, il faut dire bonjour mais pas de façon sèche. La formule "cordialement", quant à elle, est à bannir lorsqu'on ne connaît pas la personne à qui on s'adresse. La politesse se traduit également par des gestes comme leur ouvrir la porte dans le métro. Quelles sont les formules de politesse de base ? - Avec: Frédéric Rouvillois, professeur de droit et historien. - C'est votre vie, du jeudi 1er décembre 2016, sur BFMTV.
Hier, la SNCF a annoncé qu'elle allait tester un robot poubelle mobile dans ses gares. BARYL aura pour rôle de récolter les déchets des voyageurs. Le test se fera du 5 au 10 décembre à Paris-Gare de Lyon. L'objectif de cette expérience est d'attirer l'attention des voyageurs sur la question de la propreté. - La Pépite, du jeudi 1er décembre 2016, présenté par Julien Mielcarek, sur BFMTV.
