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Chaque matin, Jean-Jacques Bourdin reçoit un invité au coeur de l'actualité. Hommes et femmes de la classe politique et économique répondent, pendant une demi-heure, aux questions sans détour du journaliste. Invité : Henri Guaino, député Les Républicains des Yvelines.
Apolline de Malherbe est revenue sur les déclarations de François Hollande à l'occasion du dîner annuel de l'Association de la presse présidentielle. Il a particulièrement exposé son ambition de faire diminuer la courbe du chômage en 2016. Toutefois, il a stipulé que pour obtenir une baisse durable, il faudrait déjà atteindre une croissance de 1,5 sur 2015.
François Hollande: un président audacieux, mais pas téméraire - 28/07

François Hollande: un président audacieux, mais pas téméraire - 28/07

Apolline de Malherbe revient, ce mardi 28 juillet 2015, dans sa chronique quotidienne "Politique Première" sur les déclarations de François Hollande lors du dîner annuel de l'Association de la presse présidentielle. Le président de la République s'est dit déterminé hier soir à "agir jusqu'au bout" de son quinquennat, faisant fi de son impopularité, mais conditionnant de nouveau sa candidature en 2017 à ses résultats contre le chômage. En France, "même un président impopulaire peut agir avec une grande capacité, une grande liberté ( ...) c'est ça qui fait la différence entre nos institutions et celles de nos pays voisins", a-t-il fait valoir, alors que sa cote de popularité stagne toujours en deçà de 30%. "Un quinquennat se joue sur toute la durée. Nous sommes en juillet 2015, il faudra agir jusqu'au bout", a assuré le chef de l'État.

Chaque matin, Apolline de Malherbe reçoit un invité au coeur de l'actualité. Hommes et femmes de la classe politique et économique répondent, pendant une demi-heure, aux questions sans détour du journaliste. Invité : Michel Barnier, Ministre de l'Agriculture et de la Pêche.
Immobilier: La période de baisse des taux de crédit est terminée

Immobilier: La période de baisse des taux de crédit est terminée

Guillaume Paul revient dans son édito éco de ce vendredi 24 juillet 2015, sur la hausse des taux d'emprunts bancaires dans le secteur immobilier. Il estime que c'est le meilleur moment pour acheter dans le secteur afin de pouvoir profiter d'un taux d'emprunt bancaire raisonnable. Selon l’Observatoire Crédit Logement (CSA), la reprise de la production s’est accélérée depuis le début de l’année 2015, portée par l’amélioration des conditions de crédit et le dynamisme de l’offre de prêts.

Le mot "vacances" fait peur à François Hollande – 24/07

Le mot "vacances" fait peur à François Hollande – 24/07

Apolline de Malherbe a commenté, ce vendredi 24 juillet 2015, dans sa chronique quotidienne "Politique Première" sur la décision de François Hollande de ne pas prendre ses vacances cet été. Certes, l'été est toujours sujet à des dangers particuliers : cette année il y a notamment le risque de radicalisation des agriculteurs, le risque de canicule et l'inquiétude permanente de la menace terroriste. Mais en réalité, le président de la République redoute les vacances depuis l'été 2012, qui a été ravageur pour lui. Il pense que le fait d'avoir laissé un moment l’Élysée après son élection a creusé une distance entre lui et les Français.

Chaque matin, Jean-Jacques Bourdin reçoit un invité au coeur de l'actualité. Hommes et femmes de la classe politique et économique répondent, pendant une demi-heure, aux questions sans détour du journaliste. Invité : François Baroin, sénateur-maire Les Républicains de Troyes et président de l'Association des Maires de France.
Apolline de Malherbe a donné son point de vue sur les raisons pour lesquelles François Hollande ne prend plus de vacances. Cet été en particulier, il y a le risque de radicalisation des agriculteurs, la peur de la canicule, et l'inquiétude permanente sur la menace terroriste. Elle pense que François Hollande redoute l'été depuis 2012, où il a osé prendre des vacances quelques semaines seulement après son élection.
Crise agricole: L'opposition ne fait pas front commun avec le gouvernement - 23/07

Crise agricole: L'opposition ne fait pas front commun avec le gouvernement - 23/07

Apolline de Malherbe revient, ce jeudi 23 juillet 2015, dans sa chronique quotidienne "Politique Première" sur la crise des agriculteurs. Face à cette crise majeure que traverse le secteur, "Les Républicains" n'ont eu de cesse de demander au gouvernement d'agir vite et de devancer celle-ci. En effet, selon l'opposition, sans la très forte mobilisation des agriculteurs, l’État n'aurait pas présenté ce tardif et précipité plan d'urgence. "Pour une fois, ils étaient plus dans la proposition que dans la critique", a déclaré Apolline de Malherbe.

Chaque matin, Apolline de Malherbe, éditorialiste politique, reçoit un invité au coeur de l'actualité. Hommes et femmes de la classe politique et économique répondent, pendant une demi-heure, aux questions sans détour du journaliste. Invité : Bruno Le Maire, député Les Républicains de l'Eure et ancien ministre de l'Agriculture.