Comme chaque mercredi, le porte-parole du gouvernement Olivier Véran s'exprime à l'occasion du Conseil des ministres.
"La consommation de viande est une des causes de ce qui se passe en Algérie, Espagne, Grèce, Chine, Arizona et partout", estime la députée écologiste de Paris.
Le chef de l'État a plaidé pour un "statut nouveau" dans "les mois, les trimestres qui viennent".
Lors de sa dernière journée en Nouvelle-Calédonie, le président de la République doit prononcer un discours très attendu sur l'avenir de l'île après trois référendums d'autodétermination qui a confirmé l'appartenance de l'île à la nation française.
Ancien directeur de cabinet de la Première ministre, Aurélien Rousseau est désormais au gouvernement, à la tête du ministère de la Santé et de la Prévention, remplaçant François Braun.
Lors de sa dernière journée en Nouvelle-Calédonie, le président de la République doit prononcer un discours très attendu sur l'avenir de l'île après trois référendums d'autodétermination qui a confirmé l'appartenance de l'île à la nation française.
Lors de sa dernière journée en Nouvelle-Calédonie, le président de la République doit prononcer un discours très attendu sur l'avenir de l'île après trois référendums d'autodétermination qui a confirmé l'appartenance de l'île à la nation française.
Lors de sa dernière journée en Nouvelle-Calédonie, le président de la République doit prononcer un discours très attendu sur l'avenir de l'île après trois référendums d'autodétermination qui a confirmé l'appartenance de l'île à la nation française.
Le président de la République est revenu sur l'issue des trois référendums en Nouvelle-Calédonie lors d'un discours à Nouméa.
Lors de sa dernière journée en Nouvelle-Calédonie, le président de la République doit prononcer un discours très attendu sur l'avenir de l'île après trois référendums d'autodétermination qui a confirmé l'appartenance de l'île à la nation française.
Lors de sa dernière journée en Nouvelle-Calédonie, le président de la République doit prononcer un discours très attendu sur l'avenir de l'île après trois référendums d'autodétermination qui a confirmé l'appartenance de l'île à la nation française.
La Première ministre sera en charge des dossiers pouvant concerner "directement ou indirectement" la situation professionnelle de Marguerite Cazeneuve, conjointe d'Aurélien Rousseau et directrice déléguée à la gestion et à l'organisation des soins de la Caisse nationale de l’assurance maladie.
L'exécutif va réunir les parlementaires dès le 25 septembre, au lieu du 2 octobre, pour avancer sur des projets de loi avant les très attendus votes du Budget et de la Sécurité sociale.
La Première ministre Elisabeth Borne a insisté mardi sur "la nécessité que la justice puisse faire son travail sereinement" après la polémique sur l'incarcération d'un policier à Marseille. Les oppositions de gauche reprochent au gouvernement de ne pas faire preuve d'assez d'autorité face aux syndicats policiers.
La Première ministre Elisabeth Borne a insisté mardi sur "la nécessité que la justice puisse faire son travail sereinement" après la polémique sur l'incarcération d'un policier à Marseille.
![Thomas Portes (LFI): "Si Gérald Darmanin était au courant de la prise de position du DGPN dans la presse et qu'il a laissé faire, [il] doit être démissionné de ses fonctions"](https://images.bfmtv.com/7B-w8a0T6VSnP8wVfBvQTE0EO5o=/0x0:1280x720/285x0/images/Thomas-Portes-LFI-Si-Gerald-Darmanin-etait-au-courant-de-la-prise-de-position-du-DGPN-dans-la-presse-et-qu-il-a-laisse-faire-il-doit-etre-demissionne-de-ses-fonctions-1680076.jpg)
Le directeur général de la police nationale, Frédéric Veaux, a apporté son soutien à la mobilisation des policiers contre le placement en détention provisoire d’un agent de la BAC de Marseille, soupçonné d’avoir commis des violences policières en marge des émeutes. Un soutien qui a suscité l’indignation des magistrats et de plusieurs personnalités politiques.
Le nouveau ministre de la Santé devra donc se déporter "sur toute décision concernant directement ou indirectement la situation professionnelle de sa conjointe", numéro deux à l'Assurance maladie.
La nouvelle ministre des Solidarités qui est régulièrement interpellée sur son itinéraire politique entamée sous la droite dit "assumer le parcours qui est le sien". Désormais titulaire d'un portefeuille technique, Aurore Bergé est bien décidée à en faire un tremplin. "En politique, il faut faire, faire bien et aussi faire savoir".
En charge du portefeuille des Solidarités, Aurore Bergé veut faire de ce ministère méconnu un outil politique et annonce vouloir réfléchir à de nouvelles modalités pour le congé parental. "L'idée est que toutes les familles aient un mode de garde et que le congé parental soit un choix et non une obligation en l'absence d'autre façon de faire garder son bébé", précise son entourage.
Dans un communiqué commun, la Nupes dénonce les déclarations faites par Frédéric Veaux, ainsi que le soutien que lui a apporté Laurent Nuñez. Cette prise de position de "deux des plus hauts responsables de la police nationale ouvre à présent la voie à toutes les surenchères", avertit la gauche.
La Première ministre a mis ses pas dans ceux d'Emmanuel Macron, soutenant "les policiers très mobilisés ces dernières semaines" tout en appelant à respecter "la décision de la justice".
Élisabeth Borne s'exprimait sur la fronde au sein de la police, après la mise en détention provisoire d'un policier accusé de violences à Marseille.
"On a aujourd’hui une police qui est considérée par le pouvoir comme sa garde prétorienne", tance le premier secrétaire du Parti socialiste sur France Inter ce mardi.
Face à la polémique qui enfle depuis que des policiers de Marseille protestent contre la détention provisoire d'un de leurs collègues, la maire de Paris refuse de mettre "un euro dans le juke-box", mais rappelle que "personne n'est au-dessus des lois".
Le directeur général de la police nationale a appelé à la libération d'un policier marseillais en détention provisoire pour des faits de "violences en réunion" sur le jeune Hedi. Le haut-fonctionnaire a été soutenu par le ministère de l'Intérieur et le préfet de police de Paris, Laurent Nunez. Élisabeth Borne a appelé à ce que "la justice fasse son travail sereinement".
Le directeur général de la police nationale, Frédéric Veaux, a apporté son soutien à la mobilisation des policiers contre le placement en détention provisoire d’un agent de la BAC de Marseille, avant que Laurent Nuñez, préfet de police de Paris, ne souscrive à ses propos. Manuel Bompard, coordinateur national de La France insoumise, estime qu'Emmanuel Macron aurait dû les sanctionner.
La maire de Paris Anne Hidalgo est l’invitée du Face à Face ce mardi sur BFMTV.
Anne Hidalgo, maire de Paris, était l’invitée du Face à Face sur BFMTV - RMC.
Neïla Latrous reçoit Anne Hidalgo, maire de Paris, dans "Face-à-Face" sur BFMTV et RMC, ce mardi 25 juillet 2023.
Anne Hidalgo, maire de Paris, était l’invitée du Face à Face sur BFMTV - RMC.
La maire de Paris Anne Hidalgo est l’invitée du Face à Face ce lundi sur BFMTV.
Neïla Latrous reçoit Anne Hidalgo, maire de Paris, dans "Face-à-Face" sur BFMTV et RMC, ce mardi 25 juillet 2023.
Le président de la République a évoqué mardi depuis Nouméa, en Nouvelle-Calédonie, la possibilité que son ancien Premier ministre Édouard Philippe puisse "prendre le relais" à l'Élysée en 2027, en se disant soucieux "qu'il y ait vraiment une suite" à sa propre action. "Il a bien fait à mes côtés. C'est un ami", enchaîne Emmanuel Macron, à propos d'Édouard Philippe.
Sur Twitter, le sénateur LR de Côte-d'Or juge que les propos du patron de la police remettent en cause la séparation des pouvoirs et déplore le "silence" du président de la République.
Le président de la République a évoqué mardi depuis Nouméa, en Nouvelle-Calédonie, la possibilité que son ancien Premier ministre Édouard Philippe puisse "prendre le relais" à l'Élysée en 2027, en se disant soucieux "qu'il y ait vraiment une suite" à sa propre action.
La Première ministre est attendue au Havre ce mardi. Son déplacement s'effectuera en présence du maire de la ville, Édouard Philippe.
Je crois
Le directeur général de la police nationale, Frédéric Veaux, a apporté son soutien à la mobilisation des policiers contre le placement en détention provisoire d’un agent de la BAC de Marseille, soupçonné d’avoir commis des violences policières en marge des émeutes. Un soutien qui a suscité l’indignation des magistrats et de plusieurs personnalités politiques. Depuis la Nouvelle-Calédonie, Emmanuel Macron a dit comprendre “l’émotion” des policiers mais a également affirmé que “nul en République n’est au-dessus de la loi”.
Le directeur général de la police nationale, Frédéric Veaux, a apporté son soutien à la mobilisation des policiers contre le placement en détention provisoire d’un agent de la BAC de Marseille, soupçonné d’avoir commis des violences policières en marge des émeutes. Un soutien qui a suscité l’indignation des magistrats et de plusieurs personnalités politiques. Depuis la Nouvelle-Calédonie, Emmanuel Macron a dit comprendre “l’émotion” des policiers mais a également affirmé que “nul en République n’est au-dessus de la loi”.
Le nouveau ministre de la Santé Aurélien Rousseau a assuré qu'il se mettrait "en déport" pour toutes les questions impliquant personnellement son épouse, numéro 2 de l'Assurance maladie.
Le directeur général de la police nationale, Frédéric Veaux, a apporté son soutien à la mobilisation des policiers contre le placement en détention provisoire d’un agent de la BAC de Marseille, soupçonné d’avoir commis des violences policières en marge des émeutes. Un soutien qui a suscité l’indignation des magistrats et de plusieurs personnalités politiques. Depuis la Nouvelle-Calédonie, Emmanuel Macron a dit comprendre “l’émotion” des policiers mais a également affirmé que “nul en République n’est au-dessus de la loi”.
Le directeur général de la police nationale, Frédéric Veaux, a apporté son soutien à la mobilisation des policiers contre le placement en détention provisoire d’un agent de la BAC de Marseille, soupçonné d’avoir commis des violences policières en marge des émeutes. Un soutien qui a suscité l’indignation des magistrats et de plusieurs personnalités politiques. Depuis la Nouvelle-Calédonie, Emmanuel Macron a dit comprendre “l’émotion” des policiers mais a également affirmé que “nul en République n’est au-dessus de la loi”.
Le directeur général de la police nationale, Frédéric Veaux, a apporté son soutien à la mobilisation des policiers contre le placement en détention provisoire d’un agent de la BAC de Marseille, soupçonné d’avoir commis des violences policières en marge des émeutes. Un soutien qui a suscité l’indignation des magistrats et de plusieurs personnalités politiques. Depuis la Nouvelle-Calédonie, Emmanuel Macron a dit comprendre “l’émotion” des policiers mais a également affirmé que “nul en République n’est au-dessus de la loi”.
Le directeur général de la police nationale, Frédéric Veaux, a apporté son soutien à la mobilisation des policiers contre le placement en détention provisoire d’un agent de la BAC de Marseille, soupçonné d’avoir commis des violences policières en marge des émeutes. Un soutien qui a suscité l’indignation des magistrats et de plusieurs personnalités politiques. Depuis la Nouvelle-Calédonie, Emmanuel Macron a dit comprendre “l’émotion” des policiers mais a également affirmé que “nul en République n’est au-dessus de la loi”.
Le directeur général de la police nationale, Frédéric Veaux, a apporté son soutien à la mobilisation des policiers contre le placement en détention provisoire d’un agent de la BAC de Marseille, soupçonné d’avoir commis des violences policières en marge des émeutes. Un soutien qui a suscité l’indignation des magistrats et de plusieurs personnalités politiques. Depuis la Nouvelle-Calédonie, Emmanuel Macron a dit comprendre “l’émotion” des policiers mais a également affirmé que “nul en République n’est au-dessus de la loi”.
Le chef de l'État a tenté de ménager le chèvre et le chou après la polémique liée au patron de la police nationale qui appelle à la libération d'un agent de la BAC à Marseille, actuellement en détention provisoire. Mais son positionnement n'a convaincu ni Les Républicains ni La Nupes.
Le directeur général de la police nationale, Frédéric Veaux, a apporté son soutien à la mobilisation des policiers contre le placement en détention provisoire d’un agent de la BAC de Marseille, soupçonné d’avoir commis des violences policières en marge des émeutes. Un soutien qui a suscité l’indignation des magistrats et de plusieurs personnalités politiques. Depuis la Nouvelle-Calédonie, Emmanuel Macron a dit comprendre “l’émotion” des policiers mais a également affirmé que “nul en République n’est au-dessus de la loi”.
Le directeur général de la police nationale, Frédéric Veaux, a apporté son soutien à la mobilisation des policiers contre le placement en détention provisoire d’un agent de la BAC de Marseille, soupçonné d’avoir commis des violences policières en marge des émeutes. Un soutien qui a suscité l’indignation des magistrats et de plusieurs personnalités politiques. Depuis la Nouvelle-Calédonie, Emmanuel Macron a dit comprendre “l’émotion” des policiers mais a également affirmé que “nul en République n’est au-dessus de la loi”.
Le directeur général de la police nationale, Frédéric Veaux, a apporté son soutien à la mobilisation des policiers contre le placement en détention provisoire d’un agent de la BAC de Marseille, soupçonné d’avoir commis des violences policières en marge des émeutes. Un soutien qui a suscité l’indignation des magistrats et de plusieurs personnalités politiques. Depuis la Nouvelle-Calédonie, Emmanuel Macron a dit comprendre “l’émotion” des policiers mais a également affirmé que “nul en République n’est au-dessus de la loi”.
Emmanuel Macron s'est exprimé depuis Nouméa pour faire un bilan depuis la fin de la réforme des retraites
