Des images montrant des Palestiniens dévêtus détenus à Gaza ont circulé sur les réseaux sociaux. Israël les présente comme des combattants du Hamas, tandis que le groupe islamiste fustige des "mensonges".
La jeune Franco-Israélienne de 21 ans Mia Schem a été capturée par le Hamas lors d'une rave party le 7 octobre avant d'être libérée 55 jours plus tard. Aujourd'hui de retour chez elle, elle appelle à ne pas laisser la guerre l'emporter.
L'armée israélienne confirme avoir frappé Khan Younès, dans le sud de la bande de Gaza, cette nuit. "Dans la nuit, l'armée de l'air a attaqué le cœur de la ville de Khan Younès et détruit les infrastructures militaires dans lesquelles opéraient les terroristes ainsi que les puits souterrains", écrit l'armée sur X (ex-Twitter).
Un Israélien enlevé durant les attaques du 7 octobre a été "assassiné" à Gaza par ses geôliers, affirment ce samedi 9 décembre son kibboutz et une association de familles, après que le Hamas palestinien a rapporté sa mort lors d'une tentative de l'armée de le sauver.
L'état-major des armées françaises a indiqué dans un communiqué que la frégate multi-missions Languedoc, qui opère en mer Rouge, avait abattu ces drones qui se dirigeaient vers elle.
Le jeune homme de 25 ans avait été kidnappé lors des attaques du 7 octobre. L'armée israélienne a tenté de mener vendredi 8 décembre une opération pour le libérer, ainsi que d'autres otages, sans succès.
Les Etats-Unis mettent leur véto à une résolution du Conseil de sécurité appelant à un "cessez-le-feu humanitaire immédiat" à Gaza. "Nous ne soutenons pas une résolution qui appelle à un cessez-le-feu non durable qui va simplement planter les graines de la prochaine guerre", déclare l'ambassadeur américain adjoint à l'ONU, Robert Wood.
L'armée israélienne mène de violents combats autour de Khan Younès. Débordé, l'hôpital de la ville soigne les blessés dans des conditions précaires.
La situation est de plus en plus compliquée pour la population de Gaza après les bombardements. Les Gazaouis cherchent en vain leurs effets personnels sous les décombres.
Près de deux mois après le début de la guerre entre Israël et le Hamas, un journaliste palestinien a filmé mardi 5 décembre les conséquences d'un bombardement dans la bande de Gaza quelques secondes après la frappe.
Des images virales sur les réseaux sociaux montrent des Palestiniens traités de façon humiliante par des soldats israéliens à Gaza. L'armée israélienne dit vérifier "qui est lié au Hamas et qui ne l'est pas".
François Jourdel, chirurgien pour Médecins sans frontières, était à l'hôpital de Khan Younes, sur la bande de Gaza. Il est de retour et témoigne de la situation sanitaire et humanitaire sur l'enclave palestinienne.
Au premier soir de la fête juive de Hanouka, une table vide était dressée à Tel-Aviv, symbolisant l'attente des otages.138 otages sont toujours retenus à Gaza par le Hamas.
Des combats intenses font rage ce vendredi au sud la bande de Gaza, deux mois après l'attaque sanglante du Hamas contre Israël. A Deir Al-Balah, une zone résidentielle a été bombardée, comme le montrent ces images fournies par un journaliste palestinien.
Les combats urbains se poursuivent dans la bande de Gaza entre l'armée israélienne et le Hamas. Le président français Emmanuel Macron a demandé à Israël de préserver les vies civiles.
L'offensive de l'armée israélienne se poursuit dans le sud de la bande de Gaza. Une attaque terrestre avec blindés et soldats, mais surtout des séries de bombardements extrêmement intenses. Motaz Azaiza, journaliste palestinien, témoigne au plus près du chaos.
Al-Jumalah, une femme gazaouie de 28 ans, a accouché le 24 novembre dernier, au premier jour de la trêve du conflit entre Israël et le Hamas. Les jeunes parents peinent à trouver des produits de première nécessité pour leur fille âgée de 2 semaines, comme du lait, des couches, des habits ou encore des couvertures.
La police israélienne a annoncé mi-novembre l’ouverture d’une enquête sur des cas de viols et violences sexuelles commis par le Hamas lors de l’attaque du 7 octobre.
Au fil des semaines, l’armée israélienne a étendu ses opérations au sol à l’ensemble de la bande de Gaza. Tsahal est parvenue à Khan Younes, la plus grande ville au sud du territoire.
La situation est de plus en plus critique à Gaza: l'ONU alerte sur les conditions humanitaires des Gazaouis qui n'ont plus aucune issue de secours. Est-ce que les espoirs d'un cessez-le-feu humanitaire est toujours possible à Gaza?
Emilia Aloni, une petite fille de 5 ans, a été prise en otage avec sa mère lors des attaques du 7 octobre perpétrées par le Hamas. Libérée le 24 novembre, elle a été accueilli à son école maternelle avec un câlin général.
Les combats se sont intensifiés dans le sud de la bande de Gaza entre le Hamas et l'armée israélienne, parvenue au cœur de la grande ville de Khan Younès. Les habitants et les déplacés palestiniens tentant de s'abriter des bombardements meurtriers.
Les combats se sont intensifiés ce mercredi dans le sud de la bande de Gaza entre le Hamas et l'armée israélienne, parvenue au coeur de la grande ville de Khan Younès, les habitants et les déplacés palestiniens tentant de s'abriter des bombardements meurtriers. Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, dans une vidéo diffusée par son bureau, a déclaré que les forces israéliennes "encerclaient la maison de (Yahya) Sinouar", chef du Hamas à Gaza, à Khan Younès.
Le samedi 7 octobre, les membres du Hamas qui ont attaqué Israël s'en sont pris à de nombreuses femmes. Des témoignages de secouristes et survivantes émergent, alors que les autorités israéliennes enquêtent.
L'armée israélienne a dit être aux prises avec le Hamas dans Khan Younès, grande ville du sud de la bande de Gaza assiégée, où l'ONU redoute un "scénario infernal" pour les civils, confinés dans un périmètre de plus en plus réduit.
L'armée israélienne a dit être aux prises avec le Hamas dans Khan Younès, grande ville du sud de la bande de Gaza assiégée, où l'ONU redoute un "scénario infernal" pour les civils, confinés dans un périmètre de plus en plus réduit.
Mia Leimberg, 17 ans, a été enlevée le 7 octobre dernier dans le kibboutz de Nir Yitzhak, près de la bande de Gaza. Elle a été libérée lors de la trêve aux côtés de sa mère, de sa tante et de sa chienne Bella.
L'armée israélienne a dit être aux prises avec le Hamas dans Khan Younès, grande ville du sud de la bande de Gaza assiégée, où l'ONU redoute un "scénario infernal" pour les civils, confinés dans un périmètre de plus en plus réduit.
L'armée israélienne a dit être aux prises avec le Hamas dans Khan Younès, grande ville du sud de la bande de Gaza assiégée, où l'ONU redoute un "scénario infernal" pour les civils, confinés dans un périmètre de plus en plus réduit.
L'armée israélienne a dit être aux prises avec le Hamas dans Khan Younès, grande ville du sud de la bande de Gaza assiégée, où l'ONU redoute un "scénario infernal" pour les civils, confinés dans un périmètre de plus en plus réduit.
Ce survivant des attaques du 7 octobre, en Israël, retourne dans son kibboutz dévasté de Nir Oz, pour la première fois depuis le drame. Dans cette exploitation agricole, une vingtaine de personnes ont été tuées, parmi lesquelles son beau-père, qui a protégé son épouse des terroristes et lui a permis de survivre.
Des tracts citant le Coran ont été largués au-dessus de Khan Younes dans le sud de Gaza. Il est écrit dessus: "le déluge les emporta alors qu'ils étaient injustes"
Les directrices de Harvard, du MIT et de Penn étaient interrogées ce mardi devant le Congrès américain sur la montée de l’antisémitisme sur leurs campus, notamment depuis les attaques du 7 octobre. À la question “appeler au génocide des juifs ne constitue-t-il pas de l’intimidation et du harcèlement?”, aucune des trois présidentes n’a été en mesure de répondre, estimant que cela “dépend du contexte”.
L'armée israélienne a dit être aux prises avec le Hamas dans Khan Younès, grande ville du sud de la bande de Gaza assiégée, où l'ONU redoute un "scénario infernal" pour les civils, confinés dans un périmètre de plus en plus réduit.
L'armée israélienne a dit être aux prises avec le Hamas dans Khan Younès, grande ville du sud de la bande de Gaza assiégée, où l'ONU redoute un "scénario infernal" pour les civils, confinés dans un périmètre de plus en plus réduit.
L'armée israélienne a dit être aux prises avec le Hamas dans Khan Younès, grande ville du sud de la bande de Gaza assiégée, où l'ONU redoute un "scénario infernal" pour les civils, confinés dans un périmètre de plus en plus réduit. Tsahal revendique près de 250 frappes au moins dans les dernières 24 heures
L'hôpital Nasser, dans la ville de Khan Younès, croule sous les blessés. L'armée israélienne a ordonné à la population de fuir à Rafah, près de la frontière égyptienne, alors que les Gazaouis ont déjà rejoint Khan Younès pour fuir les bombardements plus au Nord.
Depuis la riposte à l'attaque du 7 octobre, la situation à Gaza est chaotique. Selon le ministère de la Santé du Hamas, 16.000 personnes, principalement des femmes et des enfants, ont été tuées sous les bombardements de Tsahal.
"Le viol est utilisé comme une arme de guerre quels que soient les conflits", a regretté ce mercredi 6 décembre la ministre chargée de l'Égalité entre les femmes et les hommes.
Les directrices de Harvard, du MIT et de l’UPenn étaient interrogées ce mardi devant le Congrès américain sur la montée de l’antisémitisme sur leurs campus, notamment depuis les attaques du 7 octobre. Mais toutes trois ont peiné à ont refusé à condamner explicitement les appels au génocide.
Colonel Olivier Rafowicz, porte-parole de Tsahal, était en direct sur BFMTV ce mercredi matin.
Fin octobre, la présidence avait annoncé qu'Emmanuel Macron tiendrait un hommage "dans les prochaines semaines", dès que le nombre et l'identité des victimes "seront établis avec certitude."
Mia Schem est rentrée chez elle. La jeune Franco-Israélienne de 21 ans est restée otage du Hamas dans la bande de Gaza durant 55 jours. Ce mardi 5 décembre, elle a pu quitter l'hôpital où elle séjournait depuis sa libération et rentrer chez elle. Chants, drapeaux israéliens, portables... Des images diffusées dans les médias israéliens montrent Mia Schem accueillie par une foule de personnes, l'applaudissant et l'acclamant lors de son retour à Shoham, la ville où elle vit avec sa famille.
En plus de ses attaques terroristes sur le sol de l'État hébreu, le Hamas a également tenté de déstabiliser l'économie israélienne en spéculant à la baisse sur ses actions avant les attaques du 7 octobre. Une stratégie qui aurait permis au groupe islamiste d'engranger des millions.
L'armée israélienne encercle ce mercredi la grande ville de Khan Younès, dans le sud de la bande de Gaza, où font rage les combats parmi les plus intenses en deux mois de guerre contre le Hamas. À l'hôpital, les blessés affluent et sont même soignés au sol.
Emilia Aloni, une petite fille de 5 ans, a été prise en otage avec sa mère lors des attaques du 7 octobre perpétrées par le Hamas. Libérée le 24 novembre, elle a été accueilli à son école maternelle avec un calin général.
Lors d'une conférence de presse ce mardi 5 décembre, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a prévenu qu'Israël veut une démilitarisation complète de l'enclave palestinienne, contrôlée par le Hamas.
La jeune femme de 21 ans a été libérée le 30 novembre. Elle était retenue en otage dans la bande de Gaza par le Hamas depuis l'attaque de la rave-party le 7 octobre dernier.
L'armée israélienne progresse dans le sud de la bande de Gaza et pénètre dans la ville de Khan Younès, poussant des centaines de milliers de civils à fuir à nouveau.
5.000 habitants sont restés à Sdérot, sur les 35.000 que compte la ville habituellement. Ils vivent au rythme des sirènes d'alarmes et des bombardements.
