Le Premier ministre israélien a annoncé à des jeunes soldats que Tsahal allait persister dans son offensive à Gaza, y compris à Rafah, alors que la pression internationale pour un cessez-le-feu s'intensifie.
De nombreux enfants meurent de faim dans les hôpitaux de l'enclave, où l'aide humanitaire n'arrive qu'au compte-gouttes.
Alors que la guerre entre Israël et le Hamas entre dans son cinquième mois, encore 130 otages seraient détenus par le mouvement islamiste palestinien dans la bande de Gaza d'après l'État hébreu.
Les négociations en vue d'une trêve à Gaza "ne sont pas rompues", affirme l'ambassadeur américain en Israël alors que le Hamas a quitté des pourparlers qui se tenaient au Caire.
Le Hamas quitte l'Égypte où se tenaient des négociations en vue d'une trêve dans la bande de Gaza, où les combats font toujours rage.
Une équipe de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS), qui s'est rendue ce week-end dans deux hôpitaux du nord de la bande de Gaza, a décrit une situation « sinistre », avec dix enfants morts de faim dans un des deux établissements, déclare le chef de l'OMS. Une réalité sanitaire terrible.
Des vidéos de soldats de l’armée israélienne en train d'humilier la population gazaouie ont circulé sur les réseaux sociaux. Interrogé sur ces séquences, le porte-parole de Tsahal, Olivier Rafowicz, indique qu’il s’agit "d’actes isolés". Il promet une enquête et des sanctions.
Quatorze camions transportant environ 200 tonnes de nourriture faisaient route vers le nord du territoire avant d'être arrêtés à un checkpint israélien.
Régulièrement critisuée par Israël en raison de leur supposé silence sur le sujet, l'ONU publie un rapport sur des violences sexuelles commises par les membres du Hamas lors des attaques du 7 octobre.
Le commandement militaire américain annonce avoir abattu des drones et un missile qui visaient un navire l'US Navy en mer Rouge.
Après de longs jours de négociations pour un cessez-le-feu à Gaza sans compromis entre les protagonistes, le Hamas menace d'y mettre un terme.
Le mouvement palestinien nie avoir commis des actes de violences sexuelles lors son attaque meurtrière contre Israël le 7 octobre.
Si ces vidéos se multiplient et n'en finissent plus de scandaliser, Israël évoque des "actes isolés" et promet "des sanctions."
Tsahal accuse des employés d'une agence onusienne d'avoir participé aux attaques du 7 octobre perpétrées par le Hamas. L'armée israélienne a diffusé ce lundi des conversations audios prouvant selon elle l’implication de salarié de l’UNRWA.
Membre du cabinet de guerre israélien, Benny Gantz a rencontré la vice-présidente des États-Unis, qui multiplie ces derniers jours les prises de parole au sujet de la crise humanitaire dans l'enclave palestinienne.
Omar Abu Kuwaik a vu toute sa famille mourir lors d'une frappe israélienne à Gaza. Sérieusement blessé et amputé d'un bras, il a été transféré aux États-Unis avec sa tante pour se faire soigner
En réponse à des accusations du ministre israélien des Affaires étrangères, le porte-parole d'Antonio Guterres a assuré qu'il n'avait pas tenté d'étouffer un rapport sur les accusations de violences sexuelles commises le 7 octobre dernier.
Alors que des négociations sont en cours au Caire pour tenter d'instaurer une nouvelle trêve, des images embarrassent les autorités israéliennes. Tsahal a décidé d'ouvrir une enquête après la révélation de nombreuses photos et vidéos montrant ses soldats se venger sur des civils palestiniens. Des vols, des commentaires désobligeants ou des actes de vandalisme sont attribués aux militaires israéliens
Le ministre israélien des Affaires étrangères a dénoncé "la tentative de passer sous silence le rapport sérieux de l'ONU sur les viols massifs commis par le Hamas et ses alliés le 7 octobre".
Israël accuse l'Unrwa d'employer "plus de 450 terroristes" dans la bande de Gaza.
Dénonçant des conditions "inhumaines" dans l'enclave palestinienne, la vice-présidente des États-Unis appelle ce dimanche 3 mars à mettre en place un "cessez-le-feu immédiat" d'au moins "six semaines".
Après une première trêve fin novembre, des négociations ont repris en Égypte en vue d'une deuxième interruption des combats, lors de la période du Ramadan. Selon Washington, Israël aurait accepté les conditions de cet accord de trêve à Gaza, tandis que le Hamas assure qu'elle serait possible dans les "24 ou 48 prochaines heures", si l'État hébreu accède à ses demandes.
Lors des meetings, des américains crient "cessez-le-feu" pour réclamer plus d'action du gouvernement américain. Aujourd'hui, 1 américain sur 2 estime qu'Israël est allé trop loin dans sa riposte après l'attaque du Hamas.
La pause pourrait être de six semaines. Elle permettrait de libérer les otages en échange de prisonniers Palestiniens. L'autre enjeu de cette trêve, c'est l'aide humanitaire, qui pourrait alors entrer dans la bande de Gaza.
Joe Biden, le président des États-Unis, avait annoncé un largage d'aide humanitaire au-dessus de la bande de Gaza. Au total, trois avions américains ont largué l'équivalent de 38.000 repas pour la population gazaouie.
Un haut responsable américain a assuré samedi 2 mars qu'Israël avait "plus ou moins" donné son accord pour une trêve de six semaines dans la guerre à Gaza et que désormais "la balle était dans le camp du Hamas" pour qu'elle entre en vigueur.
Le ministre des Affaires étrangères, Stéphane Séjourné, alerte samedi dans Le Monde sur les conséquences qu'aurait une offensive militaire à Rafah, dans la bande de Gaza, telle que celle promise par Israël. Il juge également Tel-Aviv "comptable" de la situation humanitaire "catastrophique" sur le territoire.
Jean-Raphaël Poitou, responsable pour Action contre la faim au Moyen-Orient, était en direct dans l'Aprem info. Il alerte sur la santé des enfants dans le nord de l'enclave palestinienne.
Plus de 61 millions d'électeurs sont appelés à se rendre aux urnes pour élire les 290 membres du Parlement ainsi que les 88 membres de l'Assemblée des experts. En 2020, seuls 42,57% des électeurs s'étaient déplacés pour voter.
Selon des chiffres fournis par le ministère de la Santé du Hamas, 104 morts et 760 blessés sont à dénombrer. Depuis, deux versions contradictoires des événements s'opposent.
À Gaza, les civils accusent les soldats israéliens de leur avoir tiré dessus. Tsahal de son côté assure qu'un mouvement de foule est à l'origine du drame.
"Je pense qu'une situation comme celle-là mériterait une enquête indépendante efficace pour identifier comment cela a été possible et ceux qui sont responsables", a déclaré Antonio Gueterres ce jeudi 29 février.
Sur X, le président de la République appelle à la mise en place d'un cessez-le-feu dans l'enclave palestinienne et "demande la vérité, la justice et le respect du droit international" après la mort de civils lors d'une distribution d'aide.
