Un vif échange a eu lieu devant la presse entre le président ukrainien et son homologue américain vendredi 28 février à la Maison Blanche. Leur rencontre s'est achevée sans qu'aucun accord ne soit conclu.
Le Premier ministre britannique Keir Starmer a réuni ce dimanche 2 mars à Londres une quinzaine de dirigeants européens alliés de l'Ukraine ainsi que la Turquie, le secrétaire général de l'Otan, Mark Rutte, et le Premier ministre canadien, Justin Trudeau.
La France et le Royaume-Uni, alliés de l'Ukraine, ont proposé, à l'issue du sommet de Londres, une trêve partielle d'un mois dans le conflit opposant Kiev à Moscou, "dans les airs, sur les mers" et concernant les frappes sur "les infrastructures énergétiques".
Le Premier ministre hongrois Viktor Orban a demandé à l'Union européenne d'amorcer des négociations avec la Russie, menaçant le prochain sommet de blocage, dans une lettre envoyée au président du Conseil européen Antonio Costa, obtenue par l'AFP.
Après le violent affrontement entre Donald Trump et Volodymyr Zelensky à la Maison Blanche, Moscou a taclé le dirigeant ukrainien, le qualifiant de "la menace la plus dangereuse pour la communauté internationale".
Au lendemain de l'entretient entre Volodymyr Zelensky et Donald Trump à Washington, la Russie a estimé que cette visite avait été un "échec complet". Moscou accuse le président ukrainien d'être "obsédé par la poursuite de la guerre", et assure que les objectifs de la Russie en Ukraine "restent inchangés".
Ce matin, l'Ukraine se réveille groggy après un échange houleux entre son président et Donald Trump. Les Ukrainiens, inquiets, suivent la situation de près, espérant la fin d'un conflit qui dure depuis trois ans.
