
Japon: la pilule abortive bientôt disponible dans le pays
L'avortement est légal jusqu'à 22 semaines de grossesse dans l'archipel, mais jusqu'à présent uniquement via une opération. Il nécessite habituellement le consentement du conjoint.
L'avortement est légal jusqu'à 22 semaines de grossesse dans l'archipel, mais jusqu'à présent uniquement via une opération. Il nécessite habituellement le consentement du conjoint.
Jusqu'à vendredi, seuls les avortements chirurgicaux étaient possibles au Japon. L'accès à la méthode médicamenteuse reste toutefoise soumise à plusieurs conditions, dont l'autorisation du mari de la femme enceinte.
Des dizaines de bébés, le visage déformé par les larmes, se sont affrontés samedi dans un rituel traditionnel japonais appelé "sumo en pleurs" censé apporter la bonne santé aux enfants et qui a fait son retour pour la première fois après quatre ans de pandémie.
Le Premier ministre, Fumio Kishida, devait prendre la parole dans le port de pêche de Saikazaki samedi matin pour soutenir un candidat de son parti en vue d'une élection partielle, et venait de goûter du poisson local lorsqu'un mouvement de panique s'est emparé de la foule. Plusieurs médias, dont l'agence de presse Kyodo, ont rapporté qu'un objet ressemblant à une "bombe fumigène" avait été lancé et des images de télévision ont montré un mouvement de foule avant que ne retentisse une explosion, suivie d'un dégagement de fumée blanche. La chaîne de télévision NHK a diffusé des images montrant une personne maintenue au sol par des policiers alors que la foule se dispersait, et rapporté qu'un homme avait été arrêté sur place pour des soupçons d'"obstruction à l'activité commerciale".
Fumio Kishida a été évacué après qu'une explosion est survenue alors qu'il s'apprêtait à prononcer un discours. Un homme a été interpellé.
Après la pandémie de Covid-19 et le port du masque pendant de longs mois, des entreprises japonaises ont mis en place des sessions d'entraînement pour aider les personnes à se réadapter à vivre à visage découvert.
Le Premier ministre japonais, Fumio Kishida, a promis de lutter contre le rhume des foins (ou rhinite allergique), le qualifiant de "problème social" nécessitant une action immédiate. Environ 40% de la population japonaise souffre de symptômes de rhume des foins, lorsque les arbres de cèdre et de cyprès du pays commencent à propager leur pollen.