
Jusqu'à 47°C: la Californie touchée par une vague de chaleur, les incendies se répandent
Sur fond de canicule, les autorités californiennes combattent ce vendredi 5 juillet plusieurs incendies.
Sur fond de canicule, les autorités californiennes combattent ce vendredi 5 juillet plusieurs incendies.
Un incendie d'ampleur fait rage mercredi 3 juillet dans le nord de la Californie, poussant des milliers d'habitants à évacuer la zone alors qu'une vague de chaleur "exceptionnellement dangereuse" frappe la région.
L'actuel président des États-Unis, dont la candidature à une réélection est critiquée jusqu'à son propre camp, s'est montré serein ce vendredi 5 juillet sur sa future victoire.
"Vous pouvez compter sur moi. Je n'ai pas l'intention de m'en aller", a lancé ce jeudi 4 juillet le président démocrate, dans un bref échange avec un partisan.
Cette gaffe du président américain intervient dans un contexte où son état de santé inquiète les cadres du parti démocrate.
La porte-parole de la Maison Blanche, Karine Jean-Pierre, a réaffirmé, mercredi 3 juillet, que Joe Biden "reste dans la course" à un second mandat malgré son débat manqué contre Trump et son état de santé qui inquiète de plus en plus les démocrates.
L'incendie fait rage alors qu'une canicule frappe la région, avec des températures pouvant atteindre les 46°C dans les prochains jours. L'Ouest américain subit la sécheresse depuis une vingtaine d'années et l'été 2024 s'annonce déjà comme très chaud et sec.
Sans preuves, l'ancien président américain a assuré que Joe Biden allait se retirer de la course à la présidentielle et qu'il devrait être remplacé par sa vice-présidente.
Après son débat raté face à Donald Trump, certains membres du parti démocrate ont plaidé pour le retrait de Joe Biden de la course à la Maison Blanche. Des hypothèses commencent à émerger quant à son futur ou sa future remplaçant(e). Mais le président américain continue de s'accrocher et de rassurer ses troupes.
Le démocrate de 81 ans a assuré lors d'une conférence téléphonique destinée à remotiver ses équipes de campagne qu'il ne se retirera pas de la course à la Maison Blanche, malgré les nombreuses critiques depuis son débat raté face à Donald Trump.
Bien qu'ayant bénéficié d'hivers très pluvieux ces deux dernières années, l'Ouest américain est marqué par une sécheresse depuis environ 20 ans. L'été 2024 s'annonce comme très chaud et sec.
La question de l'âge et de la santé du président américain est au cœur des polémiques depuis son débat raté face à Donald Trump la semaine dernière. Plusieurs voix s'élèvent pour exiger son retrait de la course.
Une enquête Ipsos réalisée auprès de 1.000 Américains révèle que Michelle Obama obtiendrait 50% des suffrages contre 39% pour Donald Trump. La candidature de Joe Biden est remise en cause par certains depuis sa désastreuse prestation lors du débat contre son adversaire républicain.
Depuis le débat qui l'a opposé à Donald Trump jeudi dernier, Joe Biden inquiète des démocrates de son camp. Le président américain a reconnu que sa performance n'était pas sa meilleure, mais l'a imputé au décalage horaire lié à ses déplacements à l'étranger ces dernières semaines.
Si Joe Biden devait laisser sa place à un autre démocrate dans la course à la Maison Blanche, seule Michelle Obama serait en capacité de recueillir plus de voix que Donald Trump, selon une enquête de l'institut Ipsos publiée ce mardi 2 juillet
Début juin, un comité consultatif d'experts avait recommandé l'autorisation de mise sur le marché du Kisunla, dont le nom scientifique est le donanemab, qui est administré par injection intraveineuse.
Le locataire de la Maison Blanche a jugé que ce n'était "pas très malin" d'avoir "voyagé à travers le monde plusieurs fois" peu avant cette confrontation, et que cela l'avait amené à "presque (s')endormir sur scène".
Cette décision allège considérablement dans l'immédiat le calendrier judiciaire du candidat à la Maison Blanche. Car la peine, qui peut aller jusqu'à quatre ans de prison, devait initialement être prononcée à quatre jours de la convention républicaine de Milwaukee.
"Je pense qu'il continuera à être un grand président des États-Unis", a déclaré ce mardi 2 juillet la figure du Parti démocrate au sujet de Joe Biden, alors que sa candidature à la Maison Blanche est remise en question.
Depuis le calamiteux débat qui l'a opposé à Donald Trump jeudi dernier, Joe Biden inquiète certains poids lourds et parlementaires démocrates. Ces derniers craignent que son état de santé ne coûte au parti la prochaine présidentielle américaine.
La Cour suprême américaine a renvoyé aux juridictions inférieures la responsabilité de décider quels faits reprochés à Donald Trump relèvent d'une "immunité" présidentielle, de quoi retarder une nouvelle fois la tenue de son procès fédéral.
Poursuivi pour ses tentatives de renverser le résultat de l'élection présidentielle de 2020, l'ancien président Donald Trump a saisi la Cour suprême américaine pour savoir s'il bénéficiait d'une immunité totale. Dans sa décision, la plus haute juridiction estime que tout président américain "a droit au moins à une présomption d'immunité pour ses actes officiels".
Cette décision crée "fondamentalement un nouveau principe et un dangereux précédent car le pouvoir (de président) ne sera plus limité par la loi", a dénoncé le président démocrate lors d'une allocution télévisée à la nation.
Steve Bannon, condamné pour entrave à l'enquête parlementaire sur l'assaut du Capitole, dot purger une peine de quatre mois dans une prison fédérale du Connecticut, au nord-est des États-Unis.
La Cour suprême américaine à majorité conservatrice a renvoyé aux juridictions inférieures la question de l'immunité pénale de Donald Trump en tant qu'ex-président, retardant encore la tenue de son procès fédéral à Washington, à quatre mois de l'élection.
La Cour suprême avait été saisie par Donald Trump qui revendiquait l'immunité totale dans le cadre de l'enquête sur l'assaut du Capitole par certains de ses partisans le 6 janvier 2021. Elle lui a reconnu un "présomption d'immunité pour ses actes officiels".