DIRECT. Sommet de l'IA 2025: Emmanuel Macron veut une IA "au service de l'humanité"
C'est la fin du premier jour au Sommet de l'IA
C'est la fin de ce direct du Sommet de l'IA. Merci d'avoir suivi cette première journée avec nous. Rndez-vous demain pour al deuxième journée.
Pour retrouver nos articles sur le sujet, vous pouvez vous rendre sur le site de Tech&Co. Vous pouvez également retrouver le replay de l'émission spéciale Sommet de l'IA juste ici.
Bonne soirée à tous et à demain !
EDF veut accueillir des data centers sur ses terrains
EDF souhaite accueillir des centres de données de l'IA sur six sites de son patrimoine foncier "déjà raccordés au réseau électrique", a annoncé le groupe électricien.
"EDF a pré-identifié 4 sites industriels, sur son propre foncier, disposant d'une puissance totale déjà disponible estimée à 2 GW. L'identification d'espaces fonciers se poursuit avec pour objectif de retenir 2 sites supplémentaires à l'horizon 2026", a indiqué le groupe dans un communiqué.
Ces 6 sites, dont EDF restera propriétaire, font partie des 35 sites "prêts à l'emploi" pour accueillir de nouveaux centres de données sur le territoire national annoncés en fin de semaine dernière par l'exécutif.
L'intérêt de ces sites, souligne EDF, réside dans le fait qu'ils sont "déjà raccordés au réseau électrique". "Nos sites étant pour la plupart des anciens sites de production d'EDF, ils sont aujourd'hui tous dotés de postes de transformation, soit de 225.000, soit 400.000 volts, ce qui nous permet en fait de passer outre la recherche d'un nouveau poste de transformation ou la recherche d'une connexion", souligne Stéphane Raison, directeur d'EDF en charge de l'installation de grands sites de consommation, lors d'un point avec la presse.
EDF assure que cela "permettra de réduire de plusieurs années la durée nécessaire à la réalisation des projets", selon son communiqué.
Xavier Niel relativise sur le succès de Deepseek que "Mistral tuera dans deux mois"
"Mistral fera un bon modèle qui tuera Deepseek dans deux mois." C'est ce que prophétise Xavier Niel, fondateur d'Iliad, au micro de Tech&Co La Quotidienne.
Si le milliardaire, qui est aussi investisseur dans Mistral, reconnaît que l'IA chinoise a fait sensation, il tient à relativiser son succès. "La force de Deepseek, c'est qu'ils arrivent avec deux annonces très fortes, ils arrivent avec un prix très bas, et ils disent qu'ils sont open source, et puis ça s'emballe", ajoute-t-il.
Pour Xavier Niel, l'avenir de l'IA est en France. "L'important, c'est d'avoir la base, et elle est ici, en France, ils ne l'ont pas en Allemagne, en Italie... Il y a des choses dont on peut se réjouir." L'Hexagone peut en effet compter sur Le Chat, le chatbot développé par Mistral AI. Les délais de raisonnement, de réflexion et de réponses de l’assistant sont parmi les plus rapides du monde et rivalisent avec les géants de l'IA comme ChatGPT ou Deepseek.
Emmanuel Macron appelle à un "sursaut" européen et à une stratégie d'action à la "Notre-Dame de Paris"
Emmanuel Macron a appelé les Européens à un "sursaut" pour combler leur retard dans l'intelligence artificielle, suggérant d'agir en mode "Notre-Dame", en référence aux procédures simplifiées pour la reconstruction en un temps record de la célèbre cathédrale de Paris.
"Il est temps de se réveiller et (d'avoir) une stratégie européenne", a-t-il lancé en anglais. "Nous avons montré au reste du monde qu'avec un calendrier clair, nous pouvons y arriver", a-t-il ajouté en référence à Notre-Dame, en plaidant aussi pour une "rationalisation des procédures" et un pilotage simplifié.
"Plug, baby plug": Emmanuel Macron vante l’électricité française bas carbone face à la volonté de Trump de "forer"
Pour attirer les datacenters en France, Emmanuel Macron a mis en avant l’électricité française bas carbone face à la volonté de Donald Trump de forer à tout-va aux États-Unis:
"Dans ce monde où j’ai de bons amis de l’autre côté de l’océan qui disent ‘Drill, baby drill’ -‘forez, forez et forez encore’- ici il n’y a pas besoin de forer: c’est ‘Plug baby plug’. Il faut brancher, brancher et encore brancher. L’électricité est disponible, vous pouvez vous brancher", a ironisé le président.
Pour le chef de l’État, l’électricité française largement produite grâce au nucléaire permet d'offrir une énergie disponible, pilotable et bas carbone, ce qui "est tout à fait unique si on se compare avec le reste du monde".
Plus d'informations ici.
Emmanuel Macron veut que l'IA soit "au service de l'humanité, pour vivre mieux"
Depuis le Grand Palais, Emmanuel Macron a présenté l'intelligence artificielle comme une "formidable évolution technologique et scientifique pour le progrès et au service deu progrès" qui doit être "au service de l'humanité, pour vivre mieux".
"Ce sommet montre que l’IA est un moyen pour l’humanité d’aller plus vite, d’innover plus vite et clairement pour transformer la santé, l’énergie, la mobilité, les services publics, afin d'être plus efficace", a poursuivi le président.
Le chef de l'État a également confirmé 109 milliards d'euros d'investissements privés et français dans l'Hexagone. Le détail de ces investissements est à retrouver dans notre article.
Elon Musk ne viendra pas à Paris pour le sommet sur l'IA
Le milliardaire et fondateur de la start-up spécialisée en IA, xAI, a fait savoir qu'il ne pouvait pas venir à Paris pour le sommet sur l'IA. "Malheureusement, je suis en plein milieu d'un travail critique à Washington DC", a indiqué Elon Musk sur X.
"Je peux participer via vidéo", a-t-il ajouté. D'autres patrons de grandes entreprises américaines ont, eux, fait le déplacement, notamment Sam Altman (OpenAI) et Sundar Pichai (Google). Les États-Unis y seront en outre représentés par le vice-président américain J.D. Vance.
OpenAI, Google, Roblox... Des entreprises lancent une fondation pour rendre internet plus sûr avec des outils open source
ROOST pour "Robust Open Online Safety Tools". Derrière ce nom se cache une nouvelle initiative lancée par OpenAI, Google, Roblox, ainsi que d'autres entreprises et organisations à but non lucratif à l'occasion du sommet sur l'IA à Paris.
Comptant aussi l'ancien patron de Google, Eric Schmidt, parmi ses membres, cette organisation à but non lucratif vise à rendre internet plus sûr en promouvant des outils d'IA open source.
Comme l'indique un communiqué, ROOST offrira notamment "des outils gratuits, open source et faciles à utiliser pour détecter, examiner et signaler les contenus pédopornographiques".
"OpenAI est très fier de soutenir ROOST (...) La mission de ROOST est d'identifier le type de systèmes de sécurité ou de travail (...) qui peuvent être construits par une entreprise, une grande entreprise, mais qui doivent être partagés avec un écosystème plus large, en particulier pour les développeurs ou les petites entreprises qui ne disposent pas de fonds ou de l'ingénierie nécessaires pour construire ces outils en interne", a déclaré Ryan Beiermester, vice-présidente en charge de la réglementation produit chez OpenAI, sur BFM Business.
Le fondateur de Linkedin attend de la France qu'elle soit "un leader de l'intelligence artificielle en Europe"
"Etre un leader de l'intelligence artificielle en Europe". C'est ce que Reid Hoffman, le cofondateur de Linkedin attend de la France à l'occasion du sommet sur l'IA. Et ce, pas uniquement sur les questions de régulation.
"La France dispose de nombreux atouts naturels, d'universités incroyables et de talents technologiques extraordinaires", a-t-il assuré sur BFM Business. Reid Hoffman estime que la France est en bonne voie pour rivaliser avec les États-Unis et la Chine, avec un bon "début".
"L'une des choses que je pense être une leçon intéressante de Deepseek est que si vous avez les bons partenarias (...) vous pouvez réellement faire de la distillation", a souligné le cofondateur de Linkedin.
Autrement dit, "Deepseek pourrait également être construit ici avec les bons talents techniques et tout le reste" grâce à cette méthode consistant à utiliser les données d'un modèle d'IA pour en entraîner un autre et développer des capacités similaires plus facilement.
Placer la France et l'Europe au cœur de la course de l'IA: un enjeu "civilisationnel", selon la ministre du Numérique
Face aux États-Unis et à la Chine, qui dominent le secteur de l'IA, il est nécessaire de placer la France et l'Europe au coeur de cette course mondiale. Il s'agit d'un enjeu "civilisationnel", a déclaré Clara Chappaz, ministre française du Numérique.
À l'occasion du sommet sur l'IA à Paris, elle a défendu "l'attractivité" de la France dans ce domaine au Grand Palais, assurant que l'énergie "décarbonné" dont dispose le pays avec le nucléaire et son réservoir de chercheurs très qualifiés le placent "au centre du jeu de l'intelligence artificielle".
"On accueille aujourd'hui toutes les personnes du monde entier qui parlent d'IA parce qu'on est crédible", a affirmé Clara Chappaz, ajoutant que "cet avantage compétitif et concurrentiel fait qu'on peut avoir ces conversations à l'échelle du monde entier".
La géographie, atout majeur de la France dans l'IA ?
Ce n'est pas un secret, l'IA mobilise énormément de ressources et nécessite des datacenters et des réseaux de communication très puissants. Et sur ce point, la France a une carte à jouer au niveau européen.
"La France a un poids central", estime Sami Slim, PDG de Telehouse Performance, sur le plateau de BFM Business.
"On a Marseille qui est en gros la porte d'entrée de l'Afrique et du Moyen-Orient. Puis, à 9 millisecondes de Marseille, on a Paris, qui est un centre de connectivité énorme pour l'Europe, parce que c'est à 10 millisecondes de Francfort, de Londres et d'Amsterdam", souligne le spécialiste.
"Et donc on a une zone de distribution de l'IA qui est extraordinaire. C'est là où il faut placer les datacenters d'inférence et de fine tuning. On peut architecturer les datacenters, comme si on architecturait des aéroports et des gares de manière à servir une IA durable et à rester dans nos objectifs bas carbone."
La France veut conforter sa place de leader en Europe
Avec les 109 milliards d'investissements annoncés par Emmanuel Macron, La France espère encore accélérer sur l'intelligence artificielle. Cela tombe bien, elle dispose de nombreux atouts: des entreprises performantes comme Mistral AI mais aussi une formation pointue sur le sujet.
Reste donc à multiplier les datacenters qui devraient arriver dans les années à venir.
"Un lieu très particulier pour l’IA": comment la France est devenue une plaque tournante de l’intelligence artificielle >> notre article est à lire ici
AMD va installer ses dernières puces IA à Grenoble
Le géant des puces AMD, rival de Nvidia, a annoncé le déploiement de ses dernières puces AMD Instinct, "alimentant l'une des installations de calcul d'IA les plus puissantes de France", à Grenoble.
La valeur de l'investissement n'a pas été précisée mais il fait peut-être partie des investissements annoncés la semaine dernière par les Emirats arabes unis. Le partenariat a en effet été annoncé par G42, l'entreprise d'IA leader du pays.
Les Emirats arabes unis vont construire en France un "campus" axé sur l'intelligence artificielle avec un data center géant d'une capacité de calcul pouvant aller jusqu'à un gigawatt, "ce qui représente des investissements d'un ordre de grandeur de 30 à 50 milliards d'euros".
Plus de 60 entreprises s'allient pour faire de l'UE un "leader mondial" de l'IA
Baptisé "EU AI Champions Initiative", cette alliance vise "à accélérer l'élan de l'IA en Europe en coordonant les actions dans la technologie, l'industrie, le capital et les politiques publiques".
Elle réunit de grands groupes tels que Mistral, Spotify, Airbus ou encore L'Oréal, qui souhaitent faire de l'Europe un "leader mondial" de l'IA, mais aussi débloquer son "potentiel plein et entier".
Pour le patron de Mistral, Arthur Mensch, cette iniaitive "arrive à un moment clé pour les dirigeants d'entreprises afin de positionner l'Europe aux avant-postes de l'IA et transformer notre économie".
Google Deepmind s'inquiète des "dérives potentielles" de l'IA
Interrogé en amont du Sommet pour l'action de l'IA, Demis Hassabis, patron de Google Deepmind et prix Nobel de Chimie, est revenu sur l'importance d'être enthousiaste, mais aussi prudent, vis-à-vis de l'IA qui a besoin de garde-fous pour le bien de l'humanité.
Même s’il se dit "profondément optimiste", Demis Hassabis reconnaît que l’IA est une technologie à double tranchant et dépend de la façon dont nous décidons de l’utiliser.
"Si nous l’orientons vers la science et la médecine, elle sera une force bénéfique", juge-t-il. "Mais il existe aussi des risques, notamment si des acteurs malveillants détournent cette technologie."
L'article complet est à lire ici
Pour le patron de Bpifrance, "tout le monde doit travailler avec Mistral"
"Mistral est la chance européenne. C'est pas la chance française, c'est la chance européenne. Il n'y en a qu'une, c'est Mistral", a déclaré Nicolas Dufourcq, directeur général de Bpifrance, sur BFM Business.
Raison pour laquelle "tout le monde doit travailler avec Mistral". Le patron de Bpifrance a d'ailleurs assuré qu'il faisait le tour de France pour "dire aux entreprises" de l'utiliser.
Selon Nicolas Dufourcq, la start-up spécialisée en IA doit se concentrer sur les revenus pour l'année 2025. "Le sujet n'est pas la levée de fonds, ils peuvent lever 2 ou 3 milliards en un claquement de doigs. Le sujet, c'est les revenus. Il faut que Mistral fasse 500 millions de chiffres d'affaires en 2025", a-t-il affirmé.
Un investissement de 109 milliards d'euros en France "dans les prochaines années"
À la veille de l'ouverture du sommet sur l'IA à Paris, Emmanuel Macron a annoncé "109 milliards d'investissement dans l'intelligence artificielle dans les prochaines années". Un investissement qu'il a comparé à celui des États-Unis pour leur projet d'intelligence artificielle baptisé Stargate.
Le président français a également annoncé que jusqu'à 100.000 jeunes seront formés en IA, contre environ 40.000 aujourd'hui. Estimant que l'IA permettra de "mieux vivre, mieux apprendre ou encore mieux soigner", Emmanuel Macron a toutefois jugé nécessaire de réguler cette technologie.
Un travail qui doit se faire "à l'échelle de la planète" avec une "régulation mondiale" et des "gouvernements du monde entier qui s'y engagent".
Iliad (Free) va investir 3 milliards d'euros dans l'intelligence artificielle
Le groupe Iliad (Free) a annoncé un investissement de trois milliards d'euros dans l'intelligence artificielle. Une enveloppe qui "se répartir d'abord dans des investissements dans les infrastructures (...) Et donc, on va construire des data centers pour les besoins de l'intelligence artificielle", a précisé Aude Durand, directrice générale déléguée du groupe.
"On en a déjà une quinzaine et on va investir 2,5 milliards pour en construire d'autres", a-t-elle ajouté.
Free s'est en outre associé à Mistral AI pour offrir la versin premium du chatbot de la start-up, Le Chat Pro, à ses 15,5 abonnés pendant 12 mois.
À travers ce partenariat, le groupe vise à "démocratiser l'usage de l'intelligence artificielle et puis, mettre en avant un des fleurons français qui est Mistral, qui est dans toutes les bouches aujourd'hui, mais qui n'est pas encore si connu que ça du grand public", a déclaré Aude Durand.
Pour Arthur Mensch, PDG de Mistral, "l'Europe a les meilleurs talents du monde en IA"
Dans une interview au Parisien, le patron de Mistral, est revenu sur les atouts et les limites de l'Europe en IA. "Il y a bien sûr, des narratifs américains qui expliquent que nous n'avons plus rien à dire. Mais l'Europe a les meilleurs talents du monde en IA et, avec un bon produit, vous levez des capitaux considérables", a-t-il déclaré.
Estimant qu'il faut se réjouir des investissements étrangers en Europe, Arthur Mensch ne pense également pas "qu'il faille disposer de 100 milliards d'emblée pour avoir les meilleurs du monde".
"C'est en ramenant une soixantaine de scientifiques des États-Unis en leur expliquant que nous avions la meilleure équipe du monde que nous avons réussi à créer Mistral AI", a affirmé son patron. "Nous sommes plus efficaces, plus frugaux, plus créatifs, plus rapides et nous faisons moins de politique", a-t-il ajouté.
Une formation sur l'IA pour les élèves français
Très utilisée pour les devoirs ou la recherche d'information, l'IA générative sera à l'honneur dans les écoles françaises, comme l'a annoncé Elisabeth Borne, ministre de l'Education nationale.
Elle a en effet révélé que dès la rentrée 2025, une formation à l'IA sera dispensée pour les élèves de 4e et ceux de Seconde afin de "les éduquer aux biais et aux limites" que représentent cette technologie.
Pour ce faire, l'Education nationale s'appuiera sur la plateforme Pix qui permet de développer les compétences numériques via des tests et des certifications. Il y aura des sessions obligatoires, mais aussi d'autres optionnelles mais "ouvertes à tous ceux qui le souhaitent tout au long du secondaire."
Au total, une dizaine de modules seront dispensés, qui s'adapteront au niveau initial de l'élève, et ce, pour une durée comprise entre 30 minutes et 1h30.
Mistral AI se lance sur iOS et Android
"Le Chat", le chatbot de la start-up française Mistral AI, disponible jusqu'alors uniquement sur navigateur, l'est désormais aussi sur smartphone, via le Play Store d'Android et l'App Store d'iOS.
Dans le même temps, l'entreprise valorisée à 6 milliards de dollars a revu ses offres et en propose désormais trois, dont une gratuite, accessible aussi bien aux particuliers qu'aux professionnels.
Il y a quelques jours, Mistral AI avait également lancé Mistral Small, un modèle de langage dont la particularité est de pouvoir être lancé en local, sur un ordinateur.
Cette série d'annonces cherche surtout à replacer Mistral AI dans la course à l'intelligence artificielle. Réputée, sa solution n'en est pas moins inconnue du grand public face à OpenAI et ChatGPT, ou encore Deepseek.
Un data center géant en France dans les prochaines années
Juste avant le début du Sommet pour l'IA, Emmanuel Macron a annoncé la signature d'un accord avec les Emirats arabes unis dans le but de construire un campus consacré à l'intelligence artificielle.
L'investissement représente entre 30 à 50 milliards d'euros et doit permettre de créer "un consortium de champions franco-émiratis".
Les détails seront révélés lors du Sommet Choose France 2025 attendu pour le mois de mai. Selon l'Elysée, ce campus pourrait être le plus grand du genre en Europe.
Au sein de ce campus, un data center géant qui permettra de faire tourner les serveurs qui accueilleront les différents modèles de langage.
Bienvenue sur ce live dédié au Sommet de l'IA 2025
L'intelligence artificielle n'a jamais été aussi présente dans la vie des habitants du monde entier. Pour l'occasion, la France et l'Inde organisent du 10 au 11 février le Sommet de l'IA 2025, événement où se tiendront des conférences, des annonces, qui seront à suivre en direct sur Tech&Co et BFM Business.
Pendant deux jours, c'est un dispositif spécial à suivre sur les antennes de BFM Business et sur le site de Tech&Co avec des invités exceptionnels qui viendront parler de l'IA de demain, de ses enjeux et du futur de la technologie avec l'IA générative.
Sont notamment attendus lors de ce sommet Sam Altman, patron d'OpenAI, Elon Musk, co-fondateur de xAi, Tesla et SpaceX, ou encore Donald Trump, président américain qui a lancé le projet Stargate. Ils se réuniront autour d'Emmanuel Macron, qui va annoncer des investissements importants liés à l'IA.
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