Covid-19, en immersion avec les soignants lyonnais: l’intégrale de nos reportages à l’hôpital Édouard-Herriot

Des soignantes à l'hôpital Edouard-Herriot. - BFM Lyon
Du stress de la réanimation aux liens avec les patients, en passant par les difficultés psychologiques pour gérer l'intensité d'une crise sanitaire... Pendant une semaine, BFM Lyon est allé à la rencontre des soignants lyonnais confrontés à deuxième vague d'épidémie de coronavirus, plus violente que la première dans la région. Retrouvez ci-dessous les cinq épisodes de notre série en immersion à l'hôpital Édouard-Herriot.
Épisode 1: "Tensions en réa"
Au cœur du service de réanimation de l'hôpital Édouard-Herriot, dont plus de 90% des lits sont occupés, les soignants ont été mis à rude épreuve lors de la deuxième vague de l'épidémie de Covid-19.
Épisode 2: "Tous au front"
Pour faire face à la deuxième vague de l'épidémie, l'hôpital Édouard-Herriot a dû se confronter à un challenge en coulisses pour organiser et coordoner le travail des 34 infirmières et 20 aides-soignantes, mobilisées chaque jour au sein du service de réanimation.
Épisode 3: "Derrière les masques"
Éprouvés par des mois de lutte contre la crise sanitaire, les soignants sont nombreux à avoir rencontré des difficultés psychologiques ces derniers mois. Infirmières et aides-soignantes se confient sur ces coups durs et parfois moments de détresse.
Épisode 4: "Garder du lien"
À l'hôpital Édouard-Herriot de Lyon, comme dans les autres établissements hospitaliers de France, les visites aux patients ne sont pas autorisées. Les visages des aides-soignants, des infirmiers, des médecins sont les seuls que voient les malades frappés par le Covid-19. Ils leur permettent au quotidien de garder le lien avec leurs proches.
Épisode 5: "Second souffle"
Une fois la bataille contre la maladie remportée, une nouvelle épreuve se dresse face aux patients: la rééducation. Mais après plusieurs semaines alité, dans le coma pour certains, le simple fait de pouvoir marcher en extérieur et de sentir la brise sur son visage est une réelle satisfaction. La reconstruction physique, comme la reconstruction psychologique, reste cependant un combat sur le temps long.