Les Orres: la station célèbre les 40 ans de carrière des "2 Éric"

Éric Crespin, responsable adjoint exploitation technique, et Éric Philip, chef de secteur exploitation hiver, ont eu le droit à une haie d'honneur ce mercredi 20 décembre pour leurs 40 ans de carrière au sein de la SEMLORE aux Orres.

Célébrés comme des rois. Le 16 décembre 1983, Éric Crespin et Éric Philip faisaient leurs premiers pas dans la station des Orres. Âgés de 17 ans à leur entrée, cela fait aujourd’hui 40 ans qu’ils marquent de leur empreinte la SEMLORE. 40 ans de descentes audacieuses, de virages serrés et de moments intenses, mémorables et conviviaux, sur les pistes comme avec l’équipe.

Si Éric Crespin ne quitte pas encore la station, Éric Philip entame sa toute dernière saison et passera le flambeau en avril prochain pour profiter d’une retraite amplement méritée!

Des skis signés et un joli souvenir

À l'occasion de cet anniversaire, plus d’une quarantaine de collègues et amis se sont discrètement réunis ce matin sur le front de neige, devant le bâtiment de Prélongis, pour leur organiser une belle haie d’honneur. Accueillis par des applaudissements nourris et des hourras, les deux hommes, qui se sont vus offrir également des skis signés par toutes les équipes, ont vécu un beau moment d'émotion.

"Quelle surprise, que d'émotions ce matin en arrivant, c'était un beau moment... Imaginez, je suis arrivé en décembre 1983, j'avais 20 ans et je sortais juste de l'armée. J'ai intégré la SEMLORE en tant que perchman et j'ai ensuite évolué dans l'entreprise en passant tous les examens de téléski, télésièges fixes et débrayables jusqu'à atteindre le poste de chef de secteur que j'occupe pour la dernière saison...", déclare Éric Philip.

"Je célèbre avec émotions ces 40 années mais je ne quitte pas les Orres, ni la station pour autant! Ce n'est pas encore l'heure de la retraite pour moi et je veux continuer à travailler dans cette bonne ambiance. Mes collègues, c'est devenu des amis, on partage un lien très fort. Alors tant que la santé et là, je continue", conclut Éric Crespin.

Valentin Doyen et Benjamin Rieth