Disparition de Lina en Alsace: aucune vague de ratissage n'est prévue vendredi
L'ESSENTIEL
- 80 gendarmes se sont mobilisés ce jour pour deux nouveaux ratissages de la zone. Lire l'article
- De nouvelles recherches ont été menées sur place notamment dans deux plans d'eau mais n'ont finalement rien donné. Lire l'article
- La cellule d'urgence médico-psychologique, mise en place mercredi après-midi à Plaine pour venir en aide aux habitants et aux camarades de classe de Lina, n'est pas reconduite aujourd'hui. Lire la brève
- Fanny, la mère de Lina, a indiqué ce midi sur BFMTV "essayer de garder le cap" et a ajouté se "battre" quatre jours après la disparition de sa fille. Lire l'article
Ce direct est désormais terminé
Ce direct consacré à la disparition de Lina est terminé, merci de l'avoir suivi. Pour suivre l'évolution de l'enquête, vous pouvez consulter notre nouveau direct, daté du vendredi 29 septembre.
La mère de Lina assure que "rien" ne lui enlèvera l'espoir
Interrogée ce soir par BFMTV, Fanny, la mère de Lina, s'est montrée combative. Elle assure que "rien" ne pourrait lui faire perdre espoir de retrouver sa fille.
"On se bat, on se bat, on continue aujourd'hui, ce soir à chaque instant", affirme-t-elle.
"Je remercie tout le monde", a-t-elle encore déclaré, "toutes les bonnes ondes je les prends et je les envoie à Lina, de tout mon cœur".
Retourver notre article complet ici.
Aucune vague de ratissage n'est prévue demain
Aucune nouvelle vague de ratissage n'est prévue demain, a appris BFMTV d'une source proche de l'enquête.
Les recherches sont terminées pour la journée
Les opérations de recherches menées aujourd'hui sont désormais terminées, a appris BFMTV ce soir de source proche de l'enquête.
Cinq jours après la disparition de l'adolescente, 80 gendarmes ont été mobilisés aujourd'hui pour effectuer deux nouvelles opérations de ratissage dans le secteur où Lina a disparu.
Les gendarmes poursuivent le ratissage, à la recherche de "tous types d'indices"
Les militaires sont mobilisés pour effectuer un nouveau ratissage sur les zones déjà inspectées lors des battues citoyennes, afin d’explorer le secteur avec un œil plus professionnel, a appris BFMTV de source proche de l’enquête.
Lors de ces recherches, les gendarmes avancent en ligne à la recherche de "tous types d’indices qui pourraient donner des informations supplémentaires".
"Ça peut être des branches cassées, ça peut être des vêtements, ça peut être des objets particuliers, appartenant à la victime notamment", explique Antoine Jouclas, chef d'escadron de la gendarmerie de Molsheim, au micro de BFMTV.
De nouvelles zones sont également ratissées cet après-midi.
Les opérations de ratissage en cours
Les opérations de ratissage sont en cours dans le Bas-Rhin pour tenter de retrouver Lina qui n'a plus donné de signe de vie depuis samedi.
Les 80 gendarmes mobilisés sont divisés en plusieurs groupes. Chacun s’occupe de ratisser une zone en particulier.
Les militaires inspectent minutieusement les buissons et les recoins. Ils soulèvent les branches et scrutent les cours d’eau à la recherche d’indices.
"Un peu plus de 43.000 signalements de disparitions de mineurs" recensés chaque année en France
"Un peu plus de 43.000 signalements de disparitions de mineurs" sont recensés en France chaque année, annonce Julian Landureau, responsable plaidoyer et communication de la fondation Droit d'Enfance aujourd'hui sur BFMTV.
"Je parle bien de signalements car un mineur qui aurait fugué dix mois au cours d'une année serait signalé systématiquement", poursuit-il.
Sur ces 43.000 signalements, "95% d'entre eux sont des fugues. Les 5% restants se partagent entre les enlèvements parentaux et les disparitions inquiétantes".
Plus d'informations ici.
La cellule d'urgence psychologique n'est pas reconduite à Plaine
La cellule d'urgence psychologique n'est pas reconduite aujourd'hui à Plaine, a appris BFMTV.
La cellule a été ouverte hier pour venir en aide aux habitants qui en ressentaient le besoin après la disparition de Lina. "Une dizaine de personnes" s'étaient présentées aux professionnels de santé, a indiqué Dominique Mastelli, responsable de la cellule d'urgence à BFM Alsace.
La gendarmerie "encourage les personnes qui se trouvaient autour des étangs samedi" à la contacter
"On reçoit beaucoup d'appels" depuis la diffusion de l'appel à témoins lancé après la disparition de Lina, indique le colonel Marie-Laure Pezant, porte-parole de la gendarmerie sur BFMTV ce matin.
"On a un travail de tri pour savoir si les éléments peuvent apporter quelque chose à l'enquête ou pas", poursuit la porte-parole de la gendarmerie.
Cinq jours après la disparition de l'adolescente de 15 ans, "on encourage encore les personnes qui se trouvaient autour des étangs ou qui auraient pu être sur cette zone-là samedi, à nous contacter si elles ne l'ont pas encore fait", lance le colonel Marie-Laure Pezant.
"Même quelqu'un qui n'a rien vu dans les horaires où Lina était susceptible d'être là", ajoute la porte-parole. Ces appels peuvent apporter des éléments à l'enquête.
Deux opérations de ratissage organisées à Plaine ce jeudi
Des nouvelles opérations de ratissage sont organisées aujourd'hui à Plaine, cinq jours après la disparition de Lina.
"Le ratissage va être fait par des gendarmes avec une méthode bien précise et un oeil aiguisé", indique le colonel Marie-Laure Pezant, porte-parole de la gendarmerie sur BFMTV.
Les gendarmes mobilisés ratisseront les zones déjà couvertes au cours des battues citoyennes et précédents ratissages.
"On reste sur les zones qui ont été définies car elles l'ont été dès le départ en fonction des éléments qu'on avait en notre possession", détaille la porte-parole de la gendarmerie.
"En fonction des témoignages, on pourra couvrir de nouvelles zones", ajoute le colonel Marie-Laure Pezant.
Une dizaine de personnes prises en charge par la cellule d'urgence psychologique à Plaine
"Une dizaine de personnes se sont présentées" à la cellule d'urgence psychologique ouverte mercredi à Plaine pour venir en aide aux habitants qui en ressentent le besoin après la disparition de Lina, a indiqué Dominique Mastelli, responsable de la cellule d'urgence à BFM Alsace.
"Quand cette cellule a été ouverte, elle avait déjà des rendez-vous et des actions programmés, a-t-il ajouté. Des personnes se sont aussi présentées spontanément."
"J'ai peur qu'il lui soit arrivé un truc de grave": l'inquiétude des amis de Lina
L'inquiétude grandit parmi les proches de la jeune femme. Léa, une amie de l'adolescente, se confie ce mercredi sur son état d'esprit alors que toutes les pistes continuent d'être exploitées par les enquêteurs.
"Moi, j'ai peur qu'il lui soit arrivé un truc de grave. Dans ma tête, c'est le pire", raconte-t-elle auprès de BFMTV.
Léa décrit Lina comme une jeune fille "souriante", "de bonne humeur", qui "allait bien" et "rigolait". Elle évoque enfin la relation qu'entretenait l'adolescente avec son petit ami Tao.
Les plongeurs n'ont rien trouvé lors de leur quadrillage de mercredi
Mercredi, une équipe de plongeurs de Strasbourg a sondé mercredi après-midi deux étangs. Plusieurs véhicules de la gendarmerie et des équipes spécialisées venues de Strasbourg sont arrivés sur les lieux peu après 14h mercredi. Une camionnette de la police allemande faisait également partie du convoi.
Les plongeurs ont ensuite quadrillé méthodiquement les deux étangs du Breux, au bord desquels passe une piste cyclable que Lina aurait dû emprunter samedi.
Sous les yeux de quelques proches et de nombreux journalistes, les plongeurs, répartis en petits groupes, ont exploré les lieux jusqu'à environ 18h30. Dix personnels, dont sept plongeurs, ont participé aux recherches, qui n'ont rien donné.
Les auditions de l'entourage se poursuivent
Plusieurs amis de l'adolescente de 15 ans ont été entendus avec leurs parents, parfois même à plusieurs reprises, selon les informations de BFMTV de sources concordantes.
L'une de ses amies est actuellement auditionnée par les enquêteurs qui vont poursuivre ce travail de recueil de témoignages dans les prochains jours.
80 gendarmes mobilisés pour ce jeudi
Au cours de la journée, 80 gendarmes seront mobilisés pour effectuer deux nouvelles opérations de ratissage dans le secteur où Lina a disparu, a annoncé mercredi la procureure de la République de Saverne, Aline Clérot.
Après plusieurs jours de recherches, les enquêteurs explorent toujours toutes les hypothèses, selon les informations de BFMTV confirmée par le parquet de Saverne.
Selon une source proche de l'enquête, le départ volontaire de l'adolescente n'est toujours pas à exclure.
Bienvenue dans ce live
Bonjour, bienvenue dans ce direct consacré à la disparition de Lina, 15 ans, qui n'a plus donné signe de vie depuis samedi passé dans le Bas-Rhin.
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