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Gap: Daniel Galland se met en retrait de la vie publique et politique pour des raisons de santé

Daniel Galland, deuxième-adjoint à la ville de Gap en charge des Sports, sur le plateau de BFM DICI.

Daniel Galland, deuxième-adjoint à la ville de Gap en charge des Sports, sur le plateau de BFM DICI. - BFM DICI

L’adjoint emblématique de la ville de Gap, actuellement touché par des problèmes de santé, se met en retrait de la vie publique. Il se repose entouré de ses proches.

Daniel Galland, deuxième adjoint à la ville de Gap en charge des Sports et conseiller départemental délégué aux grands événements, est actuellement absent de la vie publique et politique pour des raisons de santé.

Affaibli à la suite d'une opération d’une tumeur frontale en mai 2023, Daniel Galland avait suivi une rééducation dans l’établissement spécialisé L’Eau vive à Turriers. "Dany" n’avait qu’une volonté à cette époque, "retrouver Gap pour me balader et rencontrer des gens", confiait-il à BFM DICI.

Un objectif tenu puisqu’il avait de nouveau repris des forces et le chemin des évènements sportifs, comme lors du rallye Monte-Carlo. Mais sa santé s’est de nouveau fragilisée et le Gapençais de 73 ans n’a eu d’autre choix que d’arrêter ses activités pour se soigner et se reposer.

Une figure locale

Depuis plusieurs semaines, il est absent des conseils municipaux de la ville de Gap et des séances plénières au conseil départemental. Une situation difficile pour lui et ses proches, mais également pour les élus et de nombreux Gapençais qui l'apprécient.

Tous espèrent son retour rapidement. Daniel Galland est une figure de la vie locale haut-alpine. Connu de tous, ou presque, il est considéré avec les frères Libermann, Alain Vinard ou Dominique Pelloux, comme une véritable légende des Rapaces de Gap, du temps où le club servait de vivier à l’équipe de France de hockey.

Alors que les Hautes-Alpes et Gap s’apprêtent à accueillir le Tour de France en juillet et que la candidature des Alpes françaises sera officiellement validée dans la foulée pour l’organisation des JO d’hiver en 2030, "Dany" Galland ne devrait pas vivre ces grands moments sportifs de l’intérieur, mais plutôt depuis chez lui avec ses proches.  

Valentin Doyen