BFM Business
JMLECO
Partenaire

Le syndic de copropriété, précurseur dans l’approche client

placeholder video
[CONTENU PARTENAIRE] Depuis plus de 70 ans, Loiselet & Daigremont innove pour anticiper les demandes d'un marché en constante évolution. Philippe Loiselet, directeur général de cette société familiale implantée en Ile-de-France, à Nantes et à Bordeaux, détaille comment son entreprise relève les défis du secteur.

Quel est le rôle exact du syndic de copropriété ?

Nous sommes une entreprise de services immobiliers. Notre principale mission relève de la gestion de copropriétés et de la gestion locative pour compte de tiers. En tant que syndic de copropriétés, nous gérons, à la manière d’un maire qui gère les espaces communs d’une ville, les parties communes d’immeubles pour faire en sorte que les occupants s’y sentent bien. Nous cumulons ce rôle avec celui de percepteur : nous appelons auprès des copropriétaires les sommes nécessaires au fonctionnement des installations communes, à leur maintenance, à leur dépannage et leur amélioration, en recherchant l’optimisation de leur utilisation. En revanche, à la différence d’un maire, un syndic est en général élu chaque année. Il doit rendre des comptes et prendre des directives auprès des copropriétaires. Chez Loiselet & Daigremont, nous gérons plus de 1 500 immeubles, soit le nombre d’habitants de la ville de Nantes.

Après 70 ans d’existence, qu’est-ce qui fait la force de votre entreprise ?

Notre mode de fonctionnement repose sur trois piliers principaux : la proximité, la qualité et l’innovation.

La proximité avec nos collaborateurs d’abord. Je suis convaincu qu’un salarié heureux a plus de chance de faire un client heureux qu’un salarié qui ne l’est pas, d’après le précepte de l’homme d’affaires indien Vineet Nayar. Cela se ressent avec un turnover très bas dans nos équipes, inférieur à 7% en 2020. Cela passe aussi par la proximité avec nos clients. Nous sommes géographiquement implantés au plus près d’eux et nous sommes joignables 24h/24 - 7j/7.

La qualité ensuite : nous sommes certifiés ISO 9001 pour l’ensemble de nos activités et avons un taux de satisfaction client supérieur à 90%.

Troisième pilier, l’innovation. Nous lançons de nouveaux produits, services et méthodes de travail qui sont très régulièrement repris par la profession. Nous sommes à la pointe de ce qui se fait.

Comment anticipez-vous les enjeux de votre secteur ?

Nous avons mis en place un programme de formation important, parce que nous sommes persuadés que l’alliance de la formation et de l’assurance qualité délivre le meilleur service possible pour satisfaire nos clients. Et surtout, nous nous mettons à leur place pour avoir de nouvelles idées et améliorer leur vie au quotidien.

Par exemple, nous sommes partis du constat que les gens recyclaient peu leurs piles et ampoules. Nous avons donc proposé la mise en place de conteneurs dédiés à l’entrée des immeubles, avec un système de collecte qui repose sur les électriciens. Depuis, le recyclage a augmenté significativement.

Comment vont évoluer les besoins en matière de syndic dans les années à venir ?

Il y a près de 20 ans, nous avons lancé le concept de syndic 24h/24, 365 jours/an et nous continuons de croire que cette initiative est bénéfique à nos clients. Parce que, par exemple, les fuites ne démarrent pas pendant les seuls horaires de bureau ! Nous misons aussi beaucoup sur la présence de nos collaborateurs dans les immeubles pour aller à la rencontre des résidents. Aujourd’hui, la mode dans le métier est de prôner la digitalisation, mais Internet ne gèrera jamais un immeuble tout seul. Pour nous, l’humain passera toujours avant le reste.

Ce contenu a été réalisé avec SCRIBEO. La rédaction de BFMBUSINESS n'a pas participé à la réalisation de ce contenu.

En partenariat avec SCRIBEO