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Inside Private Equity : performance sur le temps long et market timing

Inside Private Equity - Emission 24 avril 2024

Inside Private Equity - Emission 24 avril 2024 - Altaroc

Dans ce nouvel épisode d’Inside Private Equity, il est question de l’évolution des performances historiques des fonds du 1er quartile, les plus performants, sur une longue période. Tout en soulevant la question du point d’entrée : quel est le meilleur moment, s’il en existe un, pour entrer dans cet univers d’investissement ? Également au programme, de nouvelles rencontres avec des acteurs de premier rang, tant côté fonds avec Thomas de Villeneuve, que côté entrepreneur avec Daan De Wever, sans oublier Eric de Montgolfier, CEO d’Invest Europe, l’association professionnelle référence du Private Equity sur le vieux continent.

Private Equity : mode d’emploi

Dans la troisième émission Inside Private Equity, Frédéric Stolar, Managing Partner d’Altaroc, comparait les performances du Private Equity à celle des marchés cotés, tout en rappelant les différences structurelles de ces deux catégories de classes d’actifs. Dans ce nouvel épisode, l’expert franchit une nouvelle étape en zoomant sur les fonds les plus performants, ceux qui appartiennent au premier quartile. En l’espace de 20 ans (2000 – 2020), « ces fonds leaders ont délivré annuellement entre 15% net de frais et 30% ». Il revient sur quelques millésimes remarquables dans la jeune histoire de l’industrie, et partage sa vision sur les tendances du marché en 2024 : « les fonds vont rentrer aujourd’hui sur des prix plus favorables », dans « un marché qui va se fluidifier de nouveau ».

La success story : Dstny

Daan De Wever, PDG et co-fondateur du groupe Dstny, leader européen des communications sécurisées pour les PME dans le cloud, est fier de parler de la croissance et de l’internationalisation de son groupe, financée en partie par des opérations de Private Equity. Le fonds qui accompagne actuellement Dstny est Seven2, qui ne s’est pas contenté de « mettre un chèque sur la table [...] ; il nous a apporté du soutien, tant sur les plans stratégique, qu’opérationnel et décisionnel », estime Daan. Rencontre avec un homme « de vision », l’occasion également de revenir sur un point fondamental du Private Equity : l’entrepreneur doit choisir à chaque étape de son développement « un fonds partenaire qui est adapté à sa morphologie, à sa taille et à ses ambitions ».

Au cœur des fonds

La transition est parfaite puisque Thomas de Villeneuve, responsable des investissements Tech et Telecom chez Seven2 vient compléter les échanges en plateau. Le gérant insiste sur sa vision stratégique, par « spécialisation par secteurs et sous-segments de marché prioritaires ». Avec « l’alignement d’intérêt », c’est une des clefs de la performance. « En brut, Seven2 a délivré 2,5 fois la mise sur [ses] 31 dernières sorties depuis 2000 ». Animé, l’intervenant présente quelques projets emblématiques qu’il a réalisés, dont Dstny, et s’appuie sur son savoir-faire et son expérience pour répondre à une question que beaucoup d’investisseurs se posent : est-ce le bon moment d’investir en Private Equity ?

Les tendances structurelles du Private Equity

Dimitri Bernard, directeur d’investissements chez Altaroc, fait le point, chiffres à l’appui, sur l’investissement en Private Equity et emploi. Créations de postes en volume et en qualité, opportunités de carrière, environnement de travail : ces tendances sont décortiquées, pour les entreprises dont tout ou partie du capital a été acquis par des fonds de PE. « Pour créer de la valeur, on a besoin de recruter », conclue M. Bernard, en insistant sur l’aide que peut apporter un fonds de private equity sur la politique de recrutement.

L’expert

Éric de Montgolfier, Président d’Invest Europe, l’une des principales associations professionnelles de l’industrie, partage sa vision à la fois fine et globale du marché de l’investissement dans le non coté en Europe, notamment sur la question de la (sur)performance du Private Equity. Véritable « voix institutionnelle de l’industrie », cet « institut de tutelle du Private Equity » qu’est Invest Europe est l’interlocuteur privilégié de Bruxelles et des régulateurs.

Ce qu’il faut retenir

  • Sur les 20 dernières années, même le « pire » millésime pour les fonds du premier quartile a délivré +15% net.
  • À titre de comparaison, le pire millésime du MSCI World (2008) flirte avec les -40%.
  • L’alignement d’intérêt entre les gérants de fonds en Private Equity et l’entreprise financée est fondamental.

Avertissement : ceci est une communication publicitaire. Investir dans le Capital Investissement/Private Equity comporte notamment des risques de perte en capital et de liquidité. La performance d’un FIA n’est jamais garantie, elle dépend de la rentabilité des actifs en portefeuille. Les performances passées ne présagent pas des performances futures.

Ce contenu a été réalisé en partenariat avec Altaroc. La rédaction de BFM Business n'a pas participé à la réalisation de ce contenu.

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