"C'est le crack": après douze jours de voyage, Inoxtag a traversé l'Atlantique et est arrivé en Martinique

Sur un maxi trimaran à voile, le Youtubeur Inoxtag s'est embarqué à l'assaut de l'Atlantique en compagnie de Guirec Soudée, participant du Vendée Globe. Ils ont réussi leur exploit en un peu plus de dix jours.

Ils avaient prévu "entre dix et quinze jours", il leur a fallu moins de deux semaines pour arriver au bout de leur aventure. Dans la soirée du 20 juillet 2025, le Youtubeur Inoxtag est arrivé en Martinique, au terme d'une traversée de l'Atlantique en bateau sans moteur, qui a duré une dizaine de jours.

Il était accompagné dans cette tâche par le marin breton Guirec Soudée, qui a participé au Vendée Globe.

En Martinique, le jeune homme, qui a également gravi l'Everest en 2024, a été accueilli par les acclamations de milliers de personnes, comme l'attestent plusieurs vidéos diffusées sur les réseaux sociaux. Il a brandit le drapeau de ce territoire d'outre-mer

"Merci à tous, merci l'équipe," a lancé Inoxtag face à la foule.

Sur X, il a tenu à rendre hommage à son coéquipier "car sans lui, il n'y aurait pas eu de traversée, c'est lui le crack".

Cette traversée de l'Atlantique, dangereuse pour des marins peu confirmés, est un nouvel exploit dans la carrière de ce youtubeur devenu aventurier. Depuis deux ans, il s'est spécialisé dans les défis extrêmes. Son exploit sur l'Everest en mai 2024 avait donné lieu à la sortie d'un documentaire sur Youtube et au cinéma couronnée de succès, Kaizen: un an pour gravir l'Everest.

Quelques mois plus tard, il montait au sommet de l'Aiguille du Dru, en Haute-Savoie, sans corde fixe.

Son voyage à travers l'Atlantique fera l'objet d'une nouvelle vidéo: "Je vais essayer de filmer un maximum", avait-il promis. "J'ai hâte de sortir la vidéo pour que vous découvriez ça !"

Sur Instagram, Inoxtag ajoute que "12 jours sur un bateau seul en mer, c'était une expérience incroyable" et précise que la vidéo sortira "à la rentrée".

Ses fans attendent désormais les images avec impatience.

Sylvain Trinel