Inside Private Equity : le capital investissement, un marché immense

Dans cet épisode de rentrée d’Inside Private Equity, il est question de prendre la mesure du marché de cet univers d’investissement dans l’économie réelle : tailles des actifs sous gestion, levées de fonds, montants déployés. Également au menu de cette émission particulièrement riche : la success story d’EcoVadis, une rencontre avec Isabelle Pagnotta, Partner chez Inflexion, le regard de Louis Flamand (Altaroc) sur le marché asiatique, sans oublier l’expertise en relations investisseurs de Jean-Philippe Keravec (Iroise Partners).

Private Equity : mode d’emploi

Frédéric Stolar, Managing Partner d’Altaroc, dans la 4ème émission, présentait les rendements des fonds de Private Equity les plus performants, appartenant au premier quartile. Cette fois-ci, l’univers d’investissement est traité par le prisme de la taille du marché, en prenant soin de distinguer « la taille des encours, la taille des fonds levés et la taille des montants déployés chaque année ». Les chiffres dévoilés sont impressionnants, chiffres que Frédéric Stolar accompagne d’une analyse de tendance : la décision pour un nombre croissant d’entreprises cotées de sortir des marchés boursiers.

La success story

Rencontre avec Frédéric Trinel, co-fondateur et co-CEO d’EcoVadis, spécialiste de l’évaluation des performances RSE. La 27ème licorne française, dont le développement a en partie été financé par le Private Equity, propose un outil de notation de la responsabilité sociale et environnementale des acteurs de la chaîne d’approvisionnement.

« EcoVadis aide les grands groupes à avoir une bonne compréhension du portefeuille achat, par le prisme du développement durable ».

L’entrepreneur explique les raisons d’un appel au Private Equity, à un moment clef de la vie de son entreprise. Une levée de « smart money », qui va bien au-delà d’un simple chèque…

Au cœur des fonds

Isabelle Pagnotta, Partner chez Inflexion, leader du Private Equity européen sur le segment des petites et moyennes entreprises, insiste pour sa part sur l’esprit collaboratif qui règne entre ses équipes et les entreprises en portefeuille. Et ce tant sur les plans opérationnels (l’optimisation des processus, la transformation numérique) que stratégiques (acquisitions, expansion internationale). La professionnelle insiste sur « l’aventure humaine » que constitue un investissement en PE, « une alchimie créée avec une équipe de management ». Sans occulter les « diversités d’opinions » qui peuvent se manifester dans les relations entre représentants des fonds et dirigeants des entreprises.

Les tendances structurelles du Private Equity

Louis Flamand, directeur des investissements chez Altaroc, décrypte le marché du non coté en Asie. Performances, maturité, profil de risque, culture, opportunités, impact du Covid, spécificités : tout est passé au crible par le décideur, qui tranche la question de la place que peut occuper la zone géographique dans un portefeuille de Private Equity diversifié. M. Flamand distingue le géant chinois du sous-continent indien et des autres marchés émergents d’Asie du Sud Est, tout en classant le Japon et la Corée du Sud parmi les marchés matures, proches des standards occidentaux.

L’expert

Jean-Philippe Keravec est co-fondateur d’IRoise Partners, une société de conseil spécialisée dans les relations investisseurs (IR). Après avoir présenté le rôle d’intermédiaire que joue sa société dans l’écosystème du Private Equity, l’expert explique pourquoi certains fonds ont « besoin d’agents », et d’autres non…

Ce qu’il faut retenir :

• Les encours sous gestion dans le monde du Private Equity avoisinent les 5 500 Milliards $.
• Le cœur du marché mondial du Private Equity est américain
• Parmi les sociétés réalisant un Chiffre d’Affaires > 100M€ en Europe et aux Etats-Unis, 94% ne sont pas cotées en Bourse

Avertissement : ceci est une communication publicitaire. Investir dans le Capital Investissement/Private Equity comporte notamment des risques de perte en capital et de liquidité. La performance d’un FIA n’est jamais garantie, elle dépend de la rentabilité des actifs en portefeuille. Les performances passées ne présagent pas des performances futures.

Ce contenu a été réalisé en partenariat avec Altaroc. La rédaction de BFM Business n'a pas participé à la réalisation de ce contenu.

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