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La vente directe, un secteur amené à perdurer

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[CONTENU PARTENAIRE] Une étude de la Fédération de la Vente Directe, en collaboration avec l’IFOP, a révélé un attrait de plus en plus fort autour des métiers de la vente directe. Et pour cause ! QN Europe, entité du groupe asiatique QNET, spécialisé dans ce secteur, a réalisé 800 recrutements en 2021. L’entreprise se caractérise par un modèle de vente modernisé. Le conseil reste physique, mais l’acte de vente est digital. Elle noue également une relation de proximité avec ses vendeurs indépendants, qu’elle considère comme des partenaires à part entière. Explications avec Jérôme Hoerth, PDG de QN Europe, spécialiste de la vente directe. Il est accompagné de Jean-François Launay, DG et CEO de Shan, agence de conseil en communication stratégique.

Comment expliquez-vous le boom de la vente directe ?

Jérôme Hoerth : La vente directe n’a pas attendu l’arrivée de la pandémie pour décoller ! Ses chiffres sont en constante augmentation depuis plusieurs années, en France comme en Europe. Cela s’explique avant tout par son business model : il est sans risque pour toute personne souhaitant tester l’entrepreneuriat. C’est aussi une opportunité intéressante pour des personnes frustrées par leur métier initial, car sans perspectives d’évolution.

Par ailleurs, la Covid et ses diverses restrictions ont mis à mal certains business models. Se tourner vers un secteur qui a le vent en poupe, comme la vente directe, peut apporter une certaine sérénité, et surtout une flexibilité appréciée. Son fonctionnement est en effet hybride, entre rencontres physiques et digital, signe que la vente directe reste un métier d’avenir.

Jean-François Launay : N’oublions pas que les attentes du marché du travail ont évolué, et plus particulièrement chez les jeunes ! Cette tendance participe bien sûr à la croissance de la vente directe. Le travail à distance peut faire partie des critères de choix pour se lancer dans le milieu de la vente, et c’est également ce que propose QN Europe. Son modèle digitalisé a été anticipé avant la Covid. Ainsi, l’entreprise n’a pas connu de perte de croissance !

La conjoncture a-t-elle modifié les habitudes des consommateurs ?

J-F. L. : Oui ! Ils souhaitent s’équiper de produits capables d’améliorer leur qualité de vie, qu’il s’agisse de leur bien-être, de leur sécurité ou de leur santé. QN Europe avait déjà anticipé cette tendance il y a quelque temps. Ses vendeurs indépendants ont recommandé avant la Covid un purificateur d’air et un purificateur d’eau. Le purificateur d’air est aujourd’hui le produit phare de QN Europe.

J.H. : C’est le cas en Allemagne, qui impose les purificateurs d’air dans les écoles. En parallèle, nous proposons aussi depuis plusieurs années des compléments alimentaires, fabriqués dans nos laboratoires en Allemagne et répondant à des certifications très strictes. Ils sont maintenant dans l’air du temps, puisque pensés pour booster le système alimentaire avec des ingrédients comme du zinc, du sélénium, de la vitamine D…

Comment accompagnez-vous vos vendeurs indépendants ?

J.H. : Qui dit autonomie ne dit pas solitude ! QN Europe aide chaque futur VDI à bien comprendre le monde de l’entrepreneuriat, selon ses propres objectifs. Voilà aussi pourquoi QN Europe est devenue entreprise à mission dès la fin de 2021. Elle est même la première du genre, en France, dans le secteur de la vente directe. Nous offrons à nos vendeurs indépendants un système clé en main pour les voir s’épanouir et évoluer à nos côtés, à commencer par un support de formation sur les produits.

Des informations leur sont aussi données sur la manière dont fonctionne l’animation d’un réseau de vente, s’ils désirent recruter et former de futurs vendeurs. Nous leur fournissons également un support d’expertise comptable. Un cabinet les aide ainsi à déterminer leur statut juridique en fonction de leurs revenus et de leur situation.

J-F. L. : Des personnes qui se lancent dans la vente directe peuvent cumuler une superbe énergie de vendeur et avoir un très bon relationnel, mais être aussi bridées dans leurs ambitions par des tâches administratives ou financières. QN Europe se distingue sur le marché en considérant ses vendeurs comme des partenaires. À ce titre, elle les aide en s’occupant de leur gestion administrative pour leur permettre de se concentrer sur leur cœur de métier.

Comment choisissez-vous vos produits ?

J.H. : Nos vendeurs nous partagent les requêtes entendues sur le terrain ! Nous prenons en compte ces suggestions en analysant le marché et en travaillant avec nos laboratoires pour essayer de répondre au mieux à la demande. Ce sourcing au plus près des consommateurs est d’autant plus précieux que QN Europe gère actuellement 13 pays européens.

Quels sont les profils de vos VDI ?

J.H. : Ils varient ! QN Europe tient à recruter des personnes souhaitant rester dans le métier de la vente directe. Nous recrutons aussi bien des mères de famille à la recherche d’un complément de revenu, que des personnes en reconversion. Un exemple typique est celui d’un restaurateur prêt à changer de voie tout en conservant son indépendance, sans les freins liés à un business traditionnel. Des étudiants peuvent également nous rejoindre, mais ils sont souvent amenés à quitter la vente directe pour exercer le métier auquel ils sont destinés.

J-F. L. : C’est un bon tremplin pour tout individu avec un tempérament commercial et qui espère faire carrière dans ce domaine ! Environ 60 % des VDI exercent cette activité en complément de revenu. Les 40 % restants en ont fait leur métier à temps plein. En moyenne, deux ans sont nécessaires pour étendre son réseau et produire un revenu correct.

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Ce contenu a été réalisé avec SCRIBEO. La rédaction de BFMBUSINESS n'a pas participé à la réalisation de ce contenu.

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