Le dynamisme confirmé des fintech françaises

[CONTENU PARTENAIRE] L’écosystème français des fintech est le deuxième d’Europe. Focus sur ce dernier via deux exemples : VeraCash et Cashlee.

Elles révolutionnent l’univers de la banque et de la finance. Les fintech (contraction des termes anglais « financial technology »), bousculent les acteurs historiques du secteur, à commencer par les banques.

Les établissements traditionnels sont concurrencés par ces startups innovantes qui proposent des solutions financières plus pratiques, efficaces et personnalisées. Ces dernières offrent des produits et des services innovants. Ils viennent répondre aux nouveaux usages (comme les paiements en ligne ou en mobilité) qui se développent depuis quelques années.

Dans cet ensemble, les fintech françaises sont particulièrement dynamiques. Aujourd’hui, l'Hexagone est le deuxième écosystème européen après le Royaume-Uni. Selon des chiffres 2022, le secteur compte 900 entreprises (dont plus d’une vingtaine de licornes) et pèse 1,9 milliard d’euros de chiffre d’affaires.

VeraCash, un compte de paiement adossé aux métaux précieux

Certaines fintech se distinguent réellement par l’originalité de leur offre. C’est notamment le cas de VeraCash. L’établissement de paiement propose aux particuliers d’ouvrir en ligne un compte (associé à une carte Mastercard) entièrement adossé à l’or et à l’argent. « Nous voulons démocratiser l’investissement dans les métaux précieux, explique Ignacio Sainz Iglesias, directeur général délégué de VeraCash. Notre offre s’adresse au plus grand nombre. C’est pourquoi, l’ouverture du compte peut se faire à partir de 1 euro. »

A l’heure où la flambée des prix frappe durement les portefeuilles (l'indice des prix à la consommation s'est finalement établi à 4,9 % sur un an en août 2023), la solution VeraCash peut « permettre de se prémunir contre l’inflation en investissant dans les métaux précieux », affirme encore Ignacio Sainz Iglesias.

Avec Cashlee, les commerçants se passent de la carte

Mais les particuliers ne sont pas les seuls concernés par la révolution fintech. Les entreprises le sont tout autant. La preuve avec Cashlee. La société s’adresse aux commerçants qui n’acceptent pas les cartes de paiement (principalement en raison des coûts qui lui sont associés). A ces derniers, Cashlee offre une alternative moderne, rapide, sécurisée et moins coûteuse. « Nous sommes dix fois moins chers quand le panier moyen est assez élevé », confirme Emmanuel Dreux, président de Cashlee.

Concrètement, la solution d’encaissement repose sur la possibilité d’envoyer un lien de paiement via SMS, WhatsApp ou email. Ou bien de présenter un QR code quand la transaction se fait en face-à-face. « Cela enclenche alors le paiement qui s’effectue via un virement d’un compte A vers un compte B, détaille Emmanuel Dreux. Ce choix explique que nous sommes très concurrentiels en ce qui concerne les prix pratiqués ».

On le voit. Les fintech transforment au quotidien l’univers de la finance. Un mouvement qui n’est pas près de s’arrêter.

Ce contenu a été réalisé avec SCRIBEO. La rédaction de BFMBUSINESS n'a pas participé à la réalisation de ce contenu.

En partenariat avec SCRIBEO