Hosho : l’opportunité de l’immobilier à Dubaï

[CONTENU PARTENAIRE] Pour les investisseurs en quête de diversification, la société Hosho s’est spécialisée dans l’achat, la transformation et l’exploitation de biens à Dubaï, où le marché de l’immobilier est en plein développement. Frédéric Vincent, associé fondateur, nous en parle.

Quel est le concept de Hosho ?

Hosho - Home Sweet Home - est une société de marchands de biens à Dubaï, qui réunit des investisseurs en direct et via un club deal en France, Hawk Invest. Elle a pour vocation d’acheter des appartements ou des villas sur le marché secondaire à Dubaï, puis, si nécessaire, de les rénover, décorer et meubler afin de les exploiter, pour et ensuite de les revendre sur un horizon de 3 à 5 ans.

Qu’est-ce qui vous a inspiré pour créer Hosho ?

Je me suis régulièrement rendu aux Émirats ces dernières années et lorsque mon fils a dû faire un stage, je l’ai encouragé à le faire là-bas. Je lui ai donc cherché un logement et je me suis rendu compte que c’était compliqué de trouver en raison du manque d’offre, mais aussi car à Dubaï, si vous n’avez pas un contrat de travail ou une entreprise, vous ne pouvez louer qu’en courte durée, d’une nuit à un an, avec un contrat commercial au lieu d’un bail.

En discutant avec le propriétaire de l’appartement que j’ai trouvé, je me suis aperçu que son bien lui apportait une rentabilité assez exceptionnelle : il avait acheté cet appartement de 55m2 un an auparavant pour 130 000€ et le louait 1500€ par mois. Vu mon appétence professionnelle et personnelle pour l’immobilier, j’ai donc fait une étude de marché globale sur l’immobilier à Dubaï, qui m’a permis de cerner un vrai intérêt à investir dans le marché secondaire, sur des biens anciens de 2 à 10 ans.

Quel type de clients vise l’offre d’Hosho ?

Nos appartements s’adressent à des stagiaires, des digital nomads, des gens qui viennent pour une mission, ou bien des expatriés qui attendent de trouver le bien qui va leur convenir.

Nos investisseurs sont des gens avec un intérêt, une appétence pour l’immobilier, qui veulent diversifier leurs placements et dynamiser leur rendement. Notre promesse est de leur apporter minimum 8% de rentabilité locative, ce qui est le standard à Dubaï : le double de la France et le triple de Paris. Les loyers se payent d’avance à Dubaï, ce qui permet aux investisseurs de récupérer une partie de leur rentabilité immédiatement.

Vous allez lancer une Conciergerie Champagne à Dubaï ?

Lors de mes visites, j’ai découvert que la conciergerie telle que nous la connaissons - avec un panier d’accueil, un contact humain, un ménage régulier - n’existe pas encore à Dubaï. Il n’y a pas sur ce marché de prise en compte de l’expérience client. Nous nous sommes donc associés à Chloé Champagne qui a une conciergerie à Paris et gère plus de 600 appartements, majoritairement des locations moyen terme, pour offrir la même qualité de services à nos clients à Dubaï.

Quel est l’état du marché de l’immobilier à Dubaï ?

L’économie de Dubaï reposait et repose énormément sur l’immobilier. L’impact de la crise des subprimes a eu la vertu d’assainir et réguler le marché immobilier et a donc ouvert la porte à beaucoup de projets immobiliers variés et solides, aussi bien financièrement que techniquement. Depuis 2020, le nombre de transactions immobilières double chaque année et l’offre reste largement en dessous de la demande quelles que soient la typologie et la gamme des biens. Le prix de l’immobilier, même très haut de gamme, reste raisonnable comparé aux standard européens avec des prestations et finitions de très haute qualité.

De facto, le marché secondaire a pris de la valeur car le pays attire des talents extérieurs, et il n’y a pas assez de biens disponibles. Cette tension se ressent sur les loyers, qui ont doublé dans le centre-ville de Dubaï entre 2022 et 2023 pour les locations courte durée.

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