Maison Marignan : la médecine esthétique aux valeurs humaines

La Maison Marignan souhaite mettre à disposition les outils pour réparer la perte de confiance et les complexes violents, tout en décelant la dysmorphophobie afin d'aiguiller au mieux les patients. - BFM Business
La médecine esthétique non invasive
Née d’une rencontre entre Manon Rouas, psychothérapeute, Olivier Maison, praticienne en greffe capillaire et Gustin Hocine, dédié au relationnel entre patients et cliniques, la Maison Marignan s’est donnée pour mission l'embellissement par des techniques non invasives, à l’aide d’injections ou encore de greffe capillaire, sans incision, sans cicatrice, sa spécialité, sans oublier leur laser d’épilation définitive sans douleur.
La Maison Marignan souhaite mettre à disposition les outils pour réparer la perte de confiance et les complexes violents, tout en décelant la dysmorphophobie afin d'aiguiller au mieux les patients. “Avec le phénomène Covid, nous voyons des patients qui veulent se sentir beaux et profiter de la vie. Ils passent le cap, notamment lorsque les complexes provoquent des insomnies et génèrent de la souffrance", indique Manon Rouas, directrice générale et associée de Maison Marignan, et d’ajouter : “nous sommes en partenariat avec des chirurgiens si les besoins sont trop lourds. Maison Marignan est une clinique de médecine esthétique, pas de chirurgie”.
Une dimension humaine pour traverser les épreuves
Parallèlement à cette expertise esthétique, Maison Marignan adopte une politique très humaine. “Si les demandes sont d’abord narcissiques, les patients ont besoin d’être entendus et accompagnés, justement parce qu’ils traversent une période de doutes”, déclare Manon Rouas. Les patients se présentent donc en consultation afin de partager leur projet et leur ressenti, puis en postopératoire. Ces derniers bénéficient d’un suivi pendant un an et demi tous les trois mois où chaque membre de la clinique est joignable 7j/7j.
Établissement de soin engagé, Maison Marignan souhaite mettre beaucoup d’Humain au cœur de la clinique. C’est d’ailleurs pour cela qu’elle crée avec le chirurgien réparateur, le Docteur Benjamin Sarfati, la Maison Noé, une clinique dédiée aux patients atteints d’un cancer qui propose un panel complet qui associe soins esthétiques, psychologiques et bien-être. Par exemple, en recréant l’aréole mammaire pour les cancers du sein, ou encore des séances ciblées de kinésithérapie. "Il faut des endroits où les gens puissent se sentir vivants”, conclut Manon Rouas.
Aujourd’hui, les soins non invasifs séduisent. Selon une étude de la Tribune IMCAS, le marché mondial devrait atteindre 1,2 billion de dollars d’ici la fin de l’année. Une tendance qui n’en est plus une et tend à s’humaniser pour répondre à la problématique de l’image de soi.
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